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Victor Hugo

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. Des faits sur la misère, sur la pauvreté, ainsi que des exemples de personnes en pleine misère.

Dans un premier cas, Victor Hugo dénonce que des familles entières n’ont que pour habits, couvertures, lits, des « monceaux infects de chiffons en fermentation ». Il arrive donc à nous faire comprendre que les gens de Paris n’ont pas les moyens de se vêtir correctement, ainsi que d’acheter tout le textile nécessaire à une vie normale. Il nous dit aussi que toutes ces personnes, que chaque famille dans le besoin vit « pêle-mêle », autrement dit, ils vivent tous entassés dans de petits espaces car ils n’ont pas les moyens de se payer un bon foyer.

Dans un deuxième cas, Victor Hugo dénonce la famine en nous montrant deux exemples : un premier où un homme de profession libérale est mort de faim, et un second où une mère et ses enfants cherchent de la nourriture dans des débris. Ces deux exemples sont là pour nous montrer que la misère touche tout le monde, elle touche aussi bien des familles que des personnes seules, elle touche aussi bien des personnes de profession libérale ainsi que des personnes de profession manuelle, comme nous le fait remarquer l’auteur. Il veut juste bien nous faire comprendre que la misère n’épargne personne.

Après nous avoir bien exprimer son sentiment sur la misère, Victor Hugo finit par nous dire que la société ne fait rien pour aider ces personnes, ce qui nous amène à notre seconde partie.

En effet, pour Victor Hugo, la société ne fait rien pour aider ces personnes, comme il l’insinue dans tout le dernier paragraphe. Il le dit très clairement avec les multiples répétitions des phrases : « vous n’avez rien fait tant que … », « tant que… ». Pour Victor Hugo, tant que des personnes souffrent encore, tant « qu’une partie du peuple désespère », tant que des personnes meurt encore de faim et de froid, tant que ceux qui « sont dans la force de l’âge et qui travaillent ne sont sans pain », tant que ceux qui « sont vieux et ont travaillé sont sans asile », alors rien n’est fait. L’auteur nous donne une multitude de phrases dans le fait de bien nous faire comprendre que tant que tout cela existera encore, la société n’aura rien fait, et qu’elle devra réagir et agir sur tout cela.

Auparavant, l’auteur nous décrit ce que devrait faire, ce que devrait dépenser la société pour aider ces personnes. Pour lui, la société devrait tout donner, tout dépenser pour aider ces personnes. Il dit très clairement que la société devrait « dépenser toute sa force, toute sa sollicitude, toute son intelligence, toute sa volonté ». Pour résumer la chose, la société ne doit pas attendre que les choses s’aggravent, elle doit agir maintenant en mettant en place ses meilleurs moyens. Comme le dit l’auteur « de tels faits, dans un pays civilisé » devraient engendrer « la conscience de la société toute entière. » La société devrait se sentir concernée par la misère et agir le plus vite possible. En fait, Victor Hugo cherche à rassurer les gens présents à l’Assemblée que la misère n’est pas une fatalité, et qu’il n’est pas trop tard pour la détruire.

En plus d’essayer d’émouvoir l’assemblée par des faits, il utilise de nombreux procédés pour essayer de choquer, provoquer et même de révolter les gens dans la salle afin que ceux-ci réagissent à ses propos. Par exemple,

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