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Interview a Zola

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ste:Donc vous avez commencé très tôt a vendre des livres. Et tandis que nous parlons de livres, j'ai lu le livre que vous avez publié cette année, «L'Oeuvre» et il y a une très grande ressemblance entre la vie de Sandoz et la votre, avez vous choisi de faire une autobiographie? vous vous êtes inspiré de votre vie?

Zola:Oui sans doute je me suis appuyé sur mes expérience, tout comme j'ai fait pour Claude qui n'est en réalité qu'un reflet de Paul Cézanne.

Journaliste:À propos il paraît qu'il n'a pas aimé cette manière de vous inspiré en lui, en utilisant le portrait d'un peintre maudit et pourchassé par son destin qui n'est pas capable d'achever sa grande œuvre. Avait vous encore une amitié avec lui?

Zola: Paul était un très bon ami depuis toujours, mais il a cassé récemment, après la publication du livre, tout contact avec moi.

Journaliste:C'est dommage. Et comment avez vous commencé vos critiques journalistes?

Zola: En 1862 j’étais un habitué du Café Guerbois . C'est là que j'ai rencontré beaucoup de peintres comme Manet, Degas... qui m'ont fait figurer dans leur «ateliers». À partir de 1868, mes critiques littéraires et artistiques ont devenu de plus en plus régulières dans de nombreux journaux, c'était pour moi un levier puissant qui me permettait de me faire connaître et d'augmenter mes rentes.

Journaliste: Vous nous avez parlé des critiques littéraires mais si je ne me trompe pas vous êtes pour autant connu par vos critiques politiques si débattues.

Zola:C'est tout à fait vrai. En 1868, la libéralisation de la presse m'a permis de participer activement à mon expansion. C'est dans le journal «La cloche» que mes articles les plus acides contre le Second-Empire on était publié. Ce sont ces critiques qui m'ont permis à la fois de me faire connaître au monde politique et de gagner de solides amitiés mais aussi beaucoup inimitiés, je préfère ça a rester seul( rires) comme dirait Victor Hugo «L'enfer est tout entier dans ce mot:solitude».

Journaliste: Tandis que nous parlons de Victor Hugo, avait vous eu des modèles quand vous étiez jeune?

Zola: Bien sur, justement c'est lui qui m'a servi de modèle, quand j’étais jeune mes intentions étaient surtout de devenir un grand poète romantique comme lui, mais peu a peu je me suis rendu compte que ce n'est pas ça qui m’intéresse dans la vie. Victor Hugo est sans doute un très grand écrivain mais je le considère comme un sentimentaliste. Il écrit sur des thèmes qui maintenant ne m’intéressent plus du tout.

Journaliste: C'est très intéressant comment un avis peut changer au cours du temps. Comment avez vous passé des critiques au succès littéraire?

Zola: En 1871, après avoir connu de célèbres écrivains, le projet de Rougon-Macquart à commencé et continue de nos jours, comme vous avez dis avant cette année viens de sortir le 14ème exemplaire.

Journaliste:Wow, 14 exemplaires pensez vous que c'est le dernier ou vous comptez en faire plus?

Zola: Non, bien sur que non, j'ai l'intention d'en écrire au moins un ou deux plus.

Journaliste:Excelent...

Zola: Avez vous d'autres questions?

Journaliste:Non c'est bon, je voulais seulement vous souhaiter un très grand succès avec votre livre,et avec les suivants s'il y en a. En tout cas je vous remercie

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