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Stupeur Et Tremblement

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quelle certains contenus sont accessibles gratuitement et d’autres payants.

- parfois aussi subventions publiques qui aident à la mise en ligne d’un certain nb de contenus.

Cette modalité de publication existait déjà.

Publication autoritative : ex du blog ou fanzine de personnes qui s’autorisent elles-mêmes à publier. Tire sa philo de l’esprit de l’échange de contenus, de la mise à dispo gratuite des savoirs. S’illustre dans les webzines, blogs…Une seule et mm personne ou gpe d’individus se charge des contenus et de la mise en ligne, pas de médiation de l’éditeur donc.

La source essentielle de valeur est une certaine originalité de contenus. Un certain nb d infos que l’on trouve d ns les blogs st des infos originales.

L’auteur diffuseur doit animer le site, tisser relations étroites avec les visiteurs. Idée qu’il faut constamment rentrer ds régime de conversation avec les internautes (et donc pas only de publication).

Mode de financement : principale motivation des auteurs n’est pas lucrative mais démarche bénévole. Parfois financement publics (qd webzine d’associations par ex) mais c’est assez rare.

Publication distribuée : ex de Facebook, Twitter sur lesquels les gens publient et recommandent à leurs pairs certaines publications.Renvoie à ce qui existait avant avec les réseaux peer-2-peer.

Les acteurs sont les utilisateurs de la plate-forme qui st connectés et forment réseaux d’utilisateurs. Certains sont des auteurs qui produisent des contenus. Il y a aussi l’opérateur de la plate forme, qui la gère et en conçoit le dispositif et les fonctionnalités.

Les sources de valeurs résident dans l’échange principalement : échange de biens, vidèos et textes que l’on se recommande. Mais aussi « jugement », recommandations interpersonnelles. C’est car on fait confiance à d’autres internautes qu’on consultera un contenu culturel donné.

Principaux financements : côté auteurs, ce n’est pas une démarche de recherche de profit, principalement altruisme. Pour l’opérateur en revanche, volonté de monétiser l’activité avec entre autres liens pub type search, liens sponsorisés.

Niveau méta-éditorial: Ex des moteurs de recherche qui permettent d’accéder à un certain nb de contenus culturels et médiatiques.

L’acteur central est l’agrégateur qui ne va pas produire les contenus mais agréger des contenus déjà édités (d’où « méta éditorial » :se place au dessus de l’édition ???? ).

La source essentielle de valeur est la condensation de l’accès à l’offre. ‡

Principaux modes de financement :

- courtage pub (on personnalise la pub par rapport à sa requête), search.

(Svt les moteurs de recherche utilisent 2 critères de classement du référencement:

- IDM ( indice de densité de mot qui calcul le ratio nb de fois où le mot cherché apparaît vs le nb total de mots du texte)

- l’indice de popularité de la page : relevé du nb de liens hypertextuels vers la page (liens entrants): plus une page connaît de liens entrants, plus elle est citée.

En //, liens sponsorisés, qui ont payé pour un mot donné et apparaître en premier ds la liste quand ce mot est requêté (résultats qui apparaissent en jaune chez Google). C’est là-dessus que Google se rémunère).

- la vente de contenu. Ex de l’Apple store qui vend des contenus qu’ils ne produisent pas (comme certaines appli).

La 1e modalité est dans la continuité des IC&M, la 2e s’inspire d’avantage d’internet et du libre accès au savoir, la 3e a un certain nb de logiques relevant des télécommunications et la 4e est plutôt ds le monde de la base de données et informatique. On voit coexister ds les industries de la communication des modalités qui ont des origines différentes et qui correspondent à chacun des secteurs amené à converger.

3.2 Logique d’appariement, fonction d’infomédiation et modèle du courtage informationnel (quels modèles socio eco d’ensemble se dégagent ?)

Ce seraient les 2 dernières modalité qui domineraient. D’abord car se caractérisent par le fait d’assurer service d’appariement entre surproduction de contenus numérique et un accès individualisé des internautes.

De plus, ces 2modalités sont réalisées par des acteurs que l’on peut assimiler à des infomédiaires.

Puis ces 2 modalités reposent sur un mode de financement qu’est le courtage pub.

L’appariement est l’activité qui consiste à mettre en relation l’offre et la demande (pour simplifier). Ds le cadre de l’internet et des IC&M en gl, l’offre est démultipliée et la NN de plus en plus ciblée. L’appariement, activité de mise en relation (« matching ») entre offre et NN devient de plus en plus sophistiquée et intense.

Pourquoi l’offre est-elle démultipliée ? Car avec le numérique, facilité de publication et de mise en ligne, qui fait que les pro des IC&M vont mettre leurs contenus en ligne mais aussi les non pros, internautes ordinaires, vont aussi mettre en ligne leurs propres prod culturelles et médiatiques . Surproduction numérique au niveau de l’offre car IC&M peuvent inonder internet et aussi car amateurs peuvent mettre en ligne un gd nb de contenus culturels. Va devenir de + en + complexe et décisif de pouvoir faire se rencontrer un certain contenu avec une certaine NN d’autant que NN de + en + ciblée car l’internaute est en position de requête, posture plus active que ds IC&M traditionnels où le consommateur se trouvait en « bout de chaîne ». Il recevait contenus C&M pensés en amont sans être consulté. Avec internet, les internautes peuvent faire part eux mm de leurs demandes. NN individualisée alors qu’avec MdM, les contenus s’abattaient de façon peu distincte sur l’ensemble de la pop.

Cela renforce l’activité d’appariement.

Les acteurs qui viennent se positionner sur ce type d’activité sont les infomédiaires : sont des intermédiaires qui se positionnent entre l’offre et la NN avec particularité de pouvoir engranger un gd nb d infos, de données au sens d’éléments de connaissance par rapport aux NN des internautes et à la localisation des contenus (ex typique de Google qui peut engranger ce que sont les requêtes des internautes).

On accompagne la requête à partir des demandes précédentes : infomédiation algorithmique. L’infomédiation plus sociale : ce qui permet l’appariement sera plus les recommandations des membres d’un gpe. La sélection à l’intérieur de l’ensemble des contenus se fait plus en prenant l’avis de ses « pairs ».

L’acteur central n’est plus celui situé entre la création et la diffusion mais acteur qui se positionne entre édition et diffusion, un peu plus vers l’aval donc que les IC&M.

Le mode de financement : ce qui l’emporte est la pub, particulièrement la search.

Pdt plusieurs années, les internautes étaient réticents à idée de payer contenu. Cela commence à changer progressivement.

Apple fait un certain nb d’infomédiations « transactionnelles ».

La pub reste le mode de financement dominant. Le sponsorisé l’emporte progressivement sur l’affichage d’encart, bannières pub.

On retrouve une cohérence entre mode de financement privilégié, l’acteur qui exerce fonction principale et la nature du bien proposé. Car la pub search dépend de la requête faite par internaute. C’est à partir d’éléments que l’on possède sur l’internaute que l’on propose tel ou tel lien. Les infomédiaires possèdent donc des infos essentielles sur les internautes ce qui permet un ciblage pub plus fin.

Cohérence aussi avec le type de bien proposé : sur internet, les contenus C&M deviennent « modulaires ». Un journal par ex est composé d’articles et illustrations qui forment un tout éditorial. Avec internet, cette unité éditoriale est déconstruite, elle éclate. Si on fait une recherche par ex, la requête ns oriente vers un article situé à l’intérieur du tout éditorial (et n’oriente pas vers le site global du journal).

Sur Facebook, le gpe oriente vers une vidéo ou titre plutôt que vers l’ensemble de l’album.

C est l’infomédiaire qui ne va pas proposer un tout mais une juxtaposition d’unités. Il va amener l’internaute à composer de nouveaux contenus C&M sous la forme de biens composites. Cette modalité de financement qu’est le courtage pub (search) est adaptée à la nature du bien qui est modulaire et non plus tjs rattaché à un tout éditorial. Le mode de financement correspond à l’activité d appariement entre une multitude de contenus modulaires et des NN hyper ciblées. Certains auteurs appellent ce modèle celui de courtage.

II. Socio économie de la musique en ligne

On va partir de la structure socio éco de la musique enregistrée pour voir comment elle évolue avec internet.

2 voies : reproduire

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