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Stratégie Walmart

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1.3. Les comptes Cette description de l’activité économique se présente principalement sous la forme de comptes : les comptes de flux ou comptes courants. a) On y enregistre des opérations qui représentent une ressource ou un emploi pour l’agent économique. Toute écriture en ressource d’un compte a nécessairement en contrepartie une écriture en emploi dans au moins un autre compte. b) L’objectif de la construction des comptes est de faire apparaitre des soldes représentant une information économique précise et significative (ex de solde : la valeur ajoutée brute, le revenu disponible brut, l’épargne brute…) Le solde d’un compte est la différence entre la somme des ressources et des emplois enregistrés.

IIVoir Doc. 1

Une description des agents économiques : les secteurs institutionnels

III-

Les opérations économiques (VOIR PHOTOCOPIE)

1. Les opérations sur biens et services L’offre doit correspondre à la demande. Offre : production nationale + les importations Demande : la consommation (finale et intermédiaire) + l’investissement (FBCF et variation des stocks) + les exportations 2. Les opérations de répartition (transferts de revenus entre agents économiques, distribution ou redistribution) On distingue les opérations de répartitions primaire (appelées aussi revenus primaires) qui concerne les revenus associées à une participation directe au processus de production. Revenus primaires : La rémunération des salariés (salaires, traitements et primes ainsi que cotisations sociale versées par les employeurs aux organismes de sécurité sociale). La somme de ces rémunérations correspond à la masse salariale Les impôts liés à la production et à l’importation (droits de douane et impôts liés à l’utilisation des facteurs de production comme par exemple la taxe d’apprentissage) Les subventions d’exploitations (aides versées par les administrations publiques aux unités productrice à l’occasion d’opérations courantes liées aux échanges extérieurs ou à la production : subventions agricole par exemple) Les revenus de la propriété (revenus tirés de la possession d’un actif corporel comme un terrain ou un immeuble, d’un actif incorporel comme un brevet, une licence ou des droits d’auteur, ou d’un actif financier comme des actions ou des obligations)

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On distingue également les opérations de répartition secondaire (appelées aussi revenus secondaires) qui concerne la redistribution effectuée à partir des revenus primaires : pour des raisons d’ordre collectif (assurance et financement des administrations) ou social (pour pallier les inégalités de revenus) Revenus secondaires : Les opérations d’assurance-dommage (primes et indemnités liées aux assurances contre l’incendie, l’accident, le vol…) Les transferts courants (tous les autres transferts sans contrepartie qui ne sont pas liés à des opérations en capital : impôts sur le revenu et sur le patrimoine (IRPP, IS, ISF), cotisations (cotisations prélevé sur le salaire des ménages (pas les patronales)) et prestations sociales (reçus par les ménages) Les autres transferts courants : Transferts liés à des dotations entre sous-secteurs.

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Les transferts en capital : opérations de répartition de l’épargne influant sur l’investissement (aides à l’investissement, transferts de biens de production entre entreprises et impôts en capital tels que les droits de succession et de mutation)

 A travers c’est deux catégorie (biens et services, et répartition), nous décrivons la sphère réelle de l’économie. La sphère réelle décris : La production des richesses d’un pays La répartition de ces richesses sous forme de revenus L’utilisation de ces richesses

3. Les opérations financières Ici la sphère financière (qui s’oppose à la sphère réelle), elle va regrouper l’ensemble des opérations financières réalisées dans une économie. Ces opérations sont la contrepartie sur les opérations dans la sphère réelle.

IVLes comptes courants des secteurs institutionnels 1. Principes d’enregistrement des opérations dans les comptes Les deux premières catégories d’opérations économiques (sur biens et services et de répartition) réalisées, au cours d’une année, par les agents résidents sont enregistrées en emplois/ressources dans les comptes courants (ou comptes de flux) des secteurs institutionnels. Une fois l’exercice comptable terminé, l’INSEE construit les comptes courants (ou de flux) pour chaque secteur institutionnel, soit 6 comptes. Chaque compte courant est lui-même divisé en 6 sous-comptes décrivant l’activité du secteur institutionnel pendant l’année écoulée. Chaque sous-compte fait apparaitre un solde économiquement significatif qui permet l’articulation avec le sous-compte suivant. Les soldes sont des outils indispensables à l’analyse économique.

2. Description et signification économique des comptes courants - Le compte de production : ce compte fait apparaitre la valeur ajoutée brute (différence entre production et consommation intermédiaire d’un secteur), c a d la richesse réellement créée par le secteur institutionnel à l’occasion de la production (celle-ci donne naissance aux opérations suivantes) - Le compte d’exploitation : Il comptabilise les charges directement liées à la création de la valeur ajoutée brute et fait apparaitre la répartition de celle-ci entre les facteurs de

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production : le facteur « travail » reçoit les salaires alors que l’excèdent brut d’exploitation indique la part restant au « détenteur du capital », soit le profit. Le compte d’affectation des revenus primaires récapitule les opérations de répartition des revenus primaires (participation direct à la prod.) Outre l’EBE, les agents du secteur vont ainsi recevoir ou verser des revenus de la propriété, recevoir des salaires s’il s’agit des ménages ou les impôts liés à la production s’il s’agit des administrations. Le solde brut des revenus primaires indique ce qu’il reste au secteur de la richesse créée après répartition primaire des revenus. Le compte de distribution secondaire du revenu : il décrit la répartition secondaire du revenu c a d la redistribution qui s’opère sur la base des revenus primaires pour des raisons d’ordre collectif (assurance et financement des administrations) ou social (cotisation et prestation). Solde : RDB : revenu disponible brut : revenu dont dispose le secteur après avoir contribué au processus de production (répartition primaire) et une fois que la redistribution a été effectuée (prélèvements obligatoires et prestations sociales) Le compte d’utilisation du revenu : décris les proportions dans lesquelles le rdb est utilisé pour la consommation finale et pour l’épargne. On remarque que l’épargne brute est un solde : c’est la partie du revenu qui n’a pas été consommée et qui est donc disponible pour financer l’investissement. Compte de capital : indique dans quelle mesure, l’épargne ou les transferts en capital ont permis de financer l’investissement.

Une capacité de financement indique que le secteur a dégagé, au cours de l’année passée, une épargne excédentaire qu’il a consacrée au placement (sur marché financier, ou par le biais de sociétés financières) Une besoin de financement : indique le montant de l’endettement que le secteur a dû contracter pour financer ses dépenses d’investissement réalisées au cours de l’année écoulée. (=déficit budgétaire)

V-

Les principaux indicateurs macro- économique (agrégats)

Agrégat : grandeur synthétique qui résume en quelques données le résultat de l’ensemble de l’activité économique. 1. Le PIB : Il mesure la valeur des biens et services nouvellement créés par les agents résidents et disponibles pour des emplois finals (utilisation finale). Trois optiques de calcul : - Optique de la production : intérêt : on connait la contribution de chaque secteur dans la création de richesse, on comprend ici l’origine de la richesse créée. - Optique du revenu : permet d’analyser les conditions de répartition de la richesse entre les principaux facteurs de production (travail/capital), cad la répartition entre les salaires et profits. - L’optique de la dépense : indique les deux origines possibles de la richesse utilisée (production nationale + importations) ainsi, que toutes ses utilisations possibles (consommation, investissement et exportations)

Quelques ordres de grandeurs : voir tableau page 6 pdf Le taux de croissance de l’économie : il mesure l’évolution du PIB sur une période donnée (une année ou un trimestre) PIBN – PIBN-1 PIBN-1 X 100

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Les déterminants de la croissance du PIB : A court terme, quels sont les facteurs qui expliquent la croissance économique ?  L’optique de la dépense désigne les facteurs qui contribuent à la croissance économique PIB = C + I + X – M C, I et X sont les comportements

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