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Division sociale du travail

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Par   •  10 Février 2022  •  Cours  •  2 689 Mots (11 Pages)  •  395 Vues

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Division sociale du travail

Pour travailler homme a besoin des autres 🡺 dans son groupe sociale l’individu va choisir une activité qui lui convient naturellement par le fait de ses aptitudes de son tempérament, de ses caractéristiques physiques.

Répartition des tâches naturelles, chacun prends un travail selon ses qualités 🡺 répartition des tâches au sein du grp social

Adam Smith : le principe de la spécialisation des tâches présente des avantages pour le groupe social,

Chaque individu ne peut subvenir seul à l’ensemble de ses besoins, nourriture, vêtement  

  1. Les hommes gagne en temps et en habileté en se spécialisant, grâce à la répétition des geste
  2. Les individus vont pouvoir échanger contre le produit d’autre production, échange de ce qu’il produit contre ce qu’k n’a pas besoin de produire lui-même🡺 coopération, solidarité ; indispensable à la cohésion de toute société humaine.

La division sociale du travail date de la révolution industrielle. Les tâches vont être divisées en geste de plus en plus simple et élémentaires chaque geste est fait par une personne diff 🡺 fragmentation du processus de travail (ex : travail à la chaine, théorisation du travail)

                           Tous cela pour augmenter la productivité du travail[pic 1]

L’ouvrier est dorénavant contraint de suivre le rythme de sa machine. H. Arendt  la condition de l’homme moderne  « tandis que les outils d’artisanats reste les serviteurs de la main, les machines exige que le travailleur les servent et qu’il adapte le rythme naturel de son corps à leurs mouvements mécanique [pic 2]

      L’invention des machines correspond à un progrès technique : ne se fatigue pas et produit plus vite des marchandises, produire plus en moins de temps c’est abaisser le cout du travail le progrès technique semble être avantageux « avantageux »

Peut-on reconnaitre un tel progrès pour le sens du travail de l’ouvrier, l’homme est t-il adapté aux machines qu’il fait fonctionner.

L’homme n’a pas à s’adapter à son outil car l’outils existe dans le prolongement de la main, il la sers, il est dans la proportion de l’énergie musculaire de l’artisan.

Le rapport en l’outils et l’homme est inversé, l’ouvrier sers la machine. L’autonomisation du travail limite le rôle de l’ouvrier et lui impose un rythme soutenu souvent épuisant, ce rythme dépasse souvent la vitesse de la main de l’ouvrier.

      L’ouvrier a perdu la maitrise de son travail, l’artisan contrôle le choix de son outil, quand il est fatigué il s’arrête, il est maitre du produit de son travail. IL aime mettre sa marque dessus (signature) car il se reconnait dans la création.[pic 3]

Le travail industriel : industrie renvoie à une activité de production de l’homme, c’est tous ce que l’homme ajoute à la nature par son travail

2eme sens : l’industrie c’est l’usage des machines dans le but de produire un grand nombre de marchandise avec une dépense d’énergie et un cout financier moindre, dans le travail industriel l’ouvrier ne contrôle plus ses outils. La machine fait face à l’ouvrier elle lui est étrangère, c’est elle qui commande les étapes du processus de production. L’homme ne peut plus se reconnaitre dans le produit du travail car son travail appartient au propriétaire des machines.

       L’ouvrier est devenu étranger à toutes les étapes du travail. Marks 🡺 « le travail aliéné »[pic 4]

Peut-on parler d’un progrès dans le travail industriel ?

Progrès a un sens neutre, un mouvement de transformation, l’homme est un être de progrès il ne demeure pas identique à lui-même, il est façonné par son passé et contribue par son action à avancer

2eme sens : sens d’accroissement, quantitatif, amélioration des connaissance, outils, machines, robots qui peuple son univers familier

3eme sens : moral :

Le progrès des techniques contribue-t-il vraiment à améliorer la vie des hommes, sommes nous plus heureux en augmentant et perfectionnant nos engins machines et robots.

III-La technique libert-elle véritablement l’homme en le rendant plus humain (sens moral de la justice)

Être humain signifie posséder des qualités de justice et compassion.

               Pour Platon le progrès technique n’est pas forcement synonyme de progrès moral et politique. Mythe de Prométhée, ambivalence du pouvoir de la technique, (ambivalence des sentiments= l’amour est inséparable de la haine, ces deux sentiments sont inséparablement liés, pour l’homme l’habileté technique est un force d’émancipation b=vis-à-vis de l’ordre naturel ainsi qu’un danger possible de destruction)

              Dans ce txt Platon s’interroge sur l’origine de la technique, qu’est-ce qui explique le besoin dans la condition humaine le besoin de technique. Il trouve son origine dans le dénuement originel de l’homme, contrairement au présupposé que l’homme est supérieur aux animaux, il est pourtant l’animal le moins capable de subvenir seul à ses besoins. 🡺 loin de l’anthropocentrisme (Homme crée à l’image de dieu, comme quoi Dieu l’aurait choisi pour protéger l’ensemble des animaux.)

La transformation de la nature peut permettre un certain confort de vivre ou, faute d’un manque de justice au service de la destruction.  

Analyse du texte de Platon : La technique, un auxiliaire au dénuement naturel de l’homme.

           Dieu artisan qui forme l’homme (=démiurge). Donner naissance aux animaux c’est donner des qualités et capacité à chacun qui vont leur permettre de survivre dans la nature, cette distribution va se faire selon un principe d’équilibre, il ne s’agit pas de donner tout aux uns et rien aux autres 🡺 équité affin qu’une espèce ne finisse pas par nuire aux autres. Pourtant l’homme est “sans chaussure, nu et sans arme” il est donc l’être le plus dépourvu, dans la forme naturelle il est incapable de se défendre face aux prédateurs et à la météo, il manque de tout, il incarne le dénuement. Ce manque est compensé par la bipédie (première rupture dans l’évolution), ou encore la libération des bras et mains, 3eme rupture, augmentation du volume crânien, 4eme rupture, la parole.

         « L’homme est donc en possession du savoir qui concerne la vie »il a donc une puissance d’origine divine entre ses mains, la religion est donc normalement au cœur de la vie humaine. Spirituel fait parti du monde de la culture.

Les hommes ne peuvent pas vivre ensemble sans amitié justice et valeur morale. La politique s’assure d’assurer la coexistence des hommes dans la paix et ola concorde.

De quoi le vol du feu est-il le symbole. Sans le feu l’existence de l’homme serait resté à un stade archaïque, par ce vol il a permis de multiplier sa capacité à faire des objets ainsi que des objets de désir 🡺 confort. Au près du feu l’homme se revigore, chaleur, la flamme du feu est aussi la lumière dans l’obscurité qui fait fuir les prédateurs. La lumière dans toutes les civilisations est symbole de la culture.

Le siècle des lumières représente la culture pour le plus grands nombre le feu permet un pouvoir de transformation des matériaux offerts par la nature. Dans une société de consommation le travail et le progrès des technique permet aux êtres humains de satisfaire tous ces désirs, de même il crée des désirs en les faisant passer pour des besoins naturels. Le processus de production produit des déchets dans la proportions de notre consommation, le paradoxe est que nous produisons des biens qui n’ont d’autres but que d’être détruit le plus rapide possible (ingurgités, absorbé, devenir obsolète).

            La technique a un usage démesuré qui vise à remettre en question la vie de l’homme dans la nature « l’homme prend conscience qu’il va falloir lui apprendre à maitriser sa connaissance de la nature » Serre. La puissance technique est infinie dans les mains d’un être finis, tous les échecs techniques s’expliquent par des erreurs humaines. L’homme peut donc mettre à disposition la puissance technique au service du mal. Cette puissance est telle qu’elle peut conduire à une destruction du milieu naturel. L’homme possède ajd des moyens techniques qui permettre de détruire plusieurs fois la terre. C’est les conditions même des générations futures qui sont remisent en jeu. LE progrèsb technique a amélioré notre condition matérielle mais aussi nos capacités de nuisance.

Tous perfectionnement technique implique-t-il un perfectionnement moral ?

          Dans la notion de progrès il y a une notion de changement et d’évolution, amélioration des machines et techniques. L’accroissement du volume des objets technique a-t-elle entrainé une amélioration de notre humanité 

Le progrès dans sa dimension moral implique une amélioration dans le genre humain plus à l’écoute plus solidaire, plus de sympathie et empathie. Une amélioration des aptitudes vis-à-vis de son semblable.

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