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L'Art Et l'Empreinte.

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autre de temps plus anciens ont laissé, c’est-à-dire en somme que tout œuvre étant modification de la matière dans un vu de pérenniser une idée et une empreinte.

Toujours en suivant cette idée on peut emmètre le commentaire suivant : l’empreinte est la conséquence de tout acte du moment où celui-ci entre en contact avec quelque chose d’autre que lui-même, que ce soit l’action de peindre, ou de crier lors d’une manifestation, ou bien encore de s’assoir tous les jours à la même places, râpant de son arrière train toujours et toujours la même chaise.

Ainsi dans les empreintes utilisées par l’artiste on pourra aussi classer celle qui repose sur une empreinte collective sur nos modes de vie nos corps et le monde

On s’intéressera au cours de cet exposé aux différents de l’empreinte

En débutant tout d’abord par l’empreinte en tant que procédé plastique simple, puis en tant que trace du passé, pour s’intéresser à l’empreinte de l’homme sur le monde, puis l’empreinte de l’homme sur son propre corps et donc son identité, afin de voir l’empreinte de l’homme sur l’homme

Pour répondre au questionnement suivant : L’art et l’empreinte sont-ils dissociable ? Peut-il exister un art, sans utilisation à quelque niveau que ce soit de l’empreinte ?

I) L’empreinte : procédé plastique de premier ordre.

A) L’empreinte préhistorique et ses déclinaisons plus moderne : l’anthropométrie

-L’art préhistorique, cette art est intéressant pour plusieurs raison :

* Ces images incorporent le principe primitif, et primaire de l’anthropométrie, c’est-à-dire de l’empreinte à la fois identitaire et esthétique.

* L’hommes qui a réalisés ces empreintes a peut-être voulus faire une signature ? Que le dessin sur les parois de la grotte soit désigné pour le groupe comme sienne ? Une marque de propriété et identitaire, c’est la main du chef ou du chaman par exemple

* Ainsi peut être que l’homme préhistorique qui posse son empreinte sur le mur de la grotte, dans un lieu sacré essaye d’y accéder, de passer au statut de divin ? on peut donc dire que l’empreinte est lié au rituel ex : rituel catholique le signe de croix a l’eau bénite, rituel de nombreuse tribut,

* On n’est pas loin avec cette idée de passer dans un statut semi divin ou divin, ou du moins religieux, au rituel quasi-canonique des stars hollywoodienne qui on leur étoile avec la trace de leur mains

* Mieux encore peut être que laisser une empreinte dans un lieu sacré, dans un lieu de passage entre vivant et mort, comme certains archéologue le pense, c’est s’assurer une survivance au moins en mémoire , c’est-à-dire accéder a l’immortalité via l’empreinte et la trace, on laisse un indice de son passage

* Plus loin encore grâce a la technologie moderner on sait non seulement que ces traces négative sont faite le plus souvent dans des grottes inhabité mais que non seulement elles suivent un schéma , avec une organisation basée sur le sexes des individus car il apparaitrait même que ces empreinte est était réalisé en groupes et serait donc a proprement parler des œuvres d’art.

Déjà au niveau préhistorique on retrouve les composantes de base du travail de l’empreinte

Mémoriel, rituel, sauvegarde, présence et histoire qui sont la base du travail de l’empreinte en art .

* Yves Klein et Jasper Johns

C) L’empreinte par destruction et modification du support

* Jaccard : Il brule les matériaux, afin d’obtenir un nouveaux motif qui sera l’empreinte de celui-ci les flammes laisse des trace de suies et la ligne de Zinc, ou de métal n’est plus qu’une éphémère trace de combustion. Il y’a alors une dialectique entre l’empreinte et l’acteur, car on dire que rien n’est plus éphémère qu’une flamme, vacillante et évanescente, l’artiste capture l’incandescence et la transcende en une image à la fois abstraite mais pleine de signification voir de figuration

* Il y’a une dimension rituel du feu, encore une fois on voit un liaison forte entre le sacré, le divin voir le chamanisme et l’empreinte, on peut dire que la trace qui reste après une combustion est à la fois un reste mais aussi une empreinte, à la fois de l’action mais aussi de l’entité ayant été, l’exemple type sont les cendre de la grand-mère qu’on garde dans l’urne .

D) Le moulage

* L’arbre au voyelle de Penone

E) Le geste

II) L’empreinte, la présence et le passage du temps

A) L’empreinte de l’individu, une empreinte historique individuelle

* Lors des recherche préliminaire sur l’empreinte, il nous est apparus que le terme est fortement lié à la notion d’évocation tout autant qu’à celle du temps d’où la présentation du travail très connus de Christian Boltanski qui nous montre des êtres passés, des individus qui on marquait un certain nombre d’objets et que Boltanski essaye de ressusciter.

* On peut dire tout de même que ces objets portent l’empreinte de leurs propriétaires et que Boltanski utilise un pouvoir évocateur de l’objet.

* Avec cette artiste l’objet au pouvoir évocateur fonctionne de manière presque similaire à certaine vanité, on use de l’empreinte en tant que signe d’un passage pour signifier que la mort a pris les individus et donc du même temps les rappeler.

* Il use d’une dramatisation de la mise en scène pour mettre en branle son évocation et amener a l’idée d’individualité plus qu’a l’idée d’homme et femme du passé, on passe d’une vague empreinte , a une empreinte identitaire il n’y a plus une masse grouillante de mort, mais une multitude d’être qui sont nos égaux par leurs unicité et qui sont disparus.

* Ce qui est intéressant dans le travail des journaux est cette idée d’archivé l’individu qu’il reste après lui des images et des textes, qui réduise l’être en une empreinte que tout le monde peux héler mais ne peux voir le souvenir

Il y’a chez lui un travail presque d’historien ou d’archéologue du contemporain il va chercher, il fouille et ramène.

* Car c’est bien cela le travail de Boltanski c’est ramener les mort, ou les non présent par la mémoire et l’imagination du spectateur

B) La présence

* L’empreinte étant le résultat d’une action passé, elle évoque par un volume, l’image ou la trace d’un objet ayant disparu au moment où l’on l’interroge, on peut donc dire qu’il y’a dans l’empreinte une dialectique entre le présent et le passé ainsi que entre le temps et l’espace, l’objet dont on fait l’empreinte et convertit, et sa matérialité en trois dimension est transformé, il devient fantomatique et est plus invoqué et évoqué que présent. Le voilà devenu un spectre une présence dont on a que la trace d’un passage.

* Parmiggiani

Avec cette artiste on est dans la forme peut être la plus primaire de création d’empreinte mais sans doute aussi la plus poétique.

C) Le corps et le cadavre

III) L’anthropisation du monde, l’homme pose son empreinte sur son environnement

L’homme est le seul être a modifié de façon choisi et durable son environnement, il le contrôle et le modifie sous le poids de ses action.

On parle de nos jours d’une empreinte environnementale par ex.

Cette capacité a bien sur était repris dans l’art, ou les artiste vont poser leurs empreinte, créer des empreintes dans la nature elle-même c’est le land art.

A) Goldsworthy

B) Richard Long

* Dés le milieu des années 60 richard long constate que le paysage a été négligé par les artiste non pas dans la représentation mais dans l’utilisation, dans sa perception existentielle et en particulier dans sa relation au temps

* Les œuvres sont laissés sur places, et sont fixé par de simple photographie qui deviennent à la fois œuvre en vente et trace d’existence, d’empreinte de la trace du passage de richard Long

* L’intérêt de l’œuvre de richard Long est qu’elle associe l’empreinte au temps et a l’espaces, c’est une œuvres qui est donc ainsi purement humaine

* C’est aussi une démarche qui utilise un geste ordinaire la marche pour modifier le paysage tout en le respectant, ce n’est pas une force exercer sur la nature mais une action qui va de concert avec elle

* L’empreinte ici est la trace du passage de Long, un itinéraire, et une trace qui associe temps présent et temps passé. C’est le chemin qu’a parcourus un cours qui n’est plus, un résidus d’une action et de la présence d’un homme qui marque le paysage, c’est réellement l’action humaine de la

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