Dissertation sur l ecrivain

r les découvertes scientifiques pour développer l'esprit critique et lutter contre toutes les formes de préjugés.

Ainsi, ils sont des professeurs d’espérance qui ont foi en l’humanité et le progrès.

De même, les humanistes du 16ieme S enseignaient l’espoir a travers leurs écris.

-Pantagruel est le premier livre de François Rabelais publié en 1532.

Rabelais a mis tout son talent au service du rire et de l’ouverture d’esprit. Pantagruel, le fils de Gargantua est le héros, géant, de cette farce éclairée qui oppose le Moyen Âge obscurantiste et l’extension des savoirs de la Renaissance.

Ainsi, les philosophes des lumières et les humanistes enseigne l’espérance grâce a leur foi en l’homme.

L’écrivain apparaît comme un enseignant. Il nous montre l’espoir qu’il a en l’homme, il nous guide et nous fait rêver le professeur de l’espérance.

Cependant motivés par diverses raisons, il a également incarné le rôle de professeur du désespoir

II) écrivain prof du désespoir

L’écrivain est aussi celui qui donne a voir le coté obscure de la vie.

a)romantisme

En France, on a donné le nom de romantisme au grand courant littéraire qui a commencé aux environs de 1820 et s'est poursuivi jusqu'aux alentours de 1850, pendant la Restauration et la Monarchie de Juillet.

L'expression "mal du siècle" fut utilisée pour la première fois par Musset en 1836 dans La Confession d'un enfant du siècle. Dans cette œuvre, il analyse le désarrois de la jeune génération face à leur rêve de liberté et d’ascension sociale qui sera brisée par le retour de la monarchie. À cause de ce désenchantement, cette génération recherche un ailleurs et se retrouve dans un état de rêve qui lui permet de fuir la réalité.

Les écrivains romantiques nous enseignent le désespoir de toutes une générations.

b) récit témoignage / théâtre de l absurde

Certains auteurs ont mis en valeur le désespoir en dénonçant les horreur de la guerre.

Voyage au bout de la nuit est le premier roman de Céline, publié en 1932.Il s'inspire principalement de l'expérience personnelle de Céline au travers de son personnage principal Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à la qualifier « d'abattoir international en folie ». Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule façon raisonnable de résister à une telle folie : la lâcheté.

Ce roman se distingue par son refus total d’idéalisme, c’est pourquoi il a pu apparaître totalement désespéré.

Céline comme Ionesco, sont des professeurs de l’absurdité de la condition humaine.

Voyage au bout de la nuit est un récit à la première personne dans lequel Bardamu raconte son expérience de la première guerre, du colonialisme en Afrique et de l'Amérique de l'entre-deux guerres.

Bardamu a vu la Grande Guerre et l'ineptie meurtrière de ses supérieurs dans les tranchées. C'est la fin de son innocence. C'est le point de départ de sa descente sans retour. Ce long récit est une dénonciation des horreurs de la guerre mais aussi le point de départ du pessimisme qui traverse tout le récit.

-Le théâtre de l’absurde est un style de théâtre apparu dans les années 1950. C'est un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours à la mort

. La particularité de Eugène Ionesco et Samuel Beckett est qu’ils ont exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence à l’intrigue et toute logique aux propos tenus sur scène.

L’absurdité des situations mais également la destructuration du langage lui-même ont fait de ce style théâtral un mouvement dramatique à part entière. Ce type de théâtre montre une existence dénuée de signification mettant en scène la déraison du monde dans laquelle l’humanité se perd.

c) tragédie catharsis

Finalement, ces écrivains ont voulut monter aux lecteurs le désespoir qui règne et l’absurdité de l’homme pendant la guerre.

Le théâtre classique et ses dramaturges ont également exposé des situations désespérés dans le but de purger les passions des spectateurs.

-La catharsis est l'épuration des passions par le moyen de la représentation dramatique : en assistant à un spectacle théâtral, l'être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. En s'identifiant à des personnages dont les passions coupables sont punies par le destin, le spectateur de la tragédie se voit délivré, purgé des sentiments inavouables qu'il peut éprouver secrètement

EX dom juan

Le dramaturge nous enseigne le désespoir afin de nous libérer de nos passions.

Nous venons de voir que l écrivain enseignait le désespoir de certaines générations et d’une période difficile tel que la guerre. Certains auteurs de théâtre mettent en scène le désespoir afin de provoquer pitié et terreur aux spectateurs.

Cependant, l écrivain ne peut être considérer seulement comme un professeur d’espérance ou de désespoir. En effet, il est avant tout « écrivain » c’est a dire celui qui écrit et utilise le langage avec lequel il joue.

III) professeur du langage

Il est celui qui nous apprend le vocabulaire.

b) naturalisme

Le naturalisme est la suite logique du réalisme : ce dernier n'entendait peindre la réalité de la manière la plus précise possible, y compris dans ses aspects immoraux ou vulgaires. Le Naturalisme poursuit cette idée.

Zola se met lui même en scène, dans l'Œuvre sous le patronyme transparent de Sandoz, dans le personnage de l'écrivain. Sandoz est visiblement composé de la réunion du nom de Sand (l'écrivain que dans sa jeunesse Emile disait admirer le plus) et de oz (le début de « Zola », retourné). Il fait dire à Sandoz : « ...J'en sais dont le crâne est trop différent du mien, pour qu'ils acceptent jamais ma formule littéraire, mes audaces de langue, mes bonhommes physiologiques, évoluant sous l'influence des milieux... ». Dans ce tome des Rougon Macquart, Emile Zola écrira ses pensées, ses convictions sur l'art moderne, et la difficulté qu'il éprouve à écrire ses romans. Mai les écrivains se renseignent d’avantages sur leurs sujets et nous donne du vocabulaire plu technique.

La besogne a été la même