L'Enfant
Mémoire : L'Enfant. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresl’enfant ne réponde pas => remèdes insuffisants ? Inadaptés ?
Cela prépare la réponse de l’enfant : « Je veux de la poudre et des balles » : l'enfant veut la vengeance et le combat
Paradoxe : la consolation tend à atténuer le contexte tragique qui n’en revient qu’avec plus de force à la fin du texte.
Caractère farouche et déterminé de la réplique du dernier vers. Chute de l’enfant => Destruction non seulement matérielle mais aussi de l’âme des enfants. Oiseau des bois = oiseau bleu = espérance.
Conclusion
Dénonciation de la guerre => elle fait sortir de l’innocence et jette dans le monde violent des adultes. La cruauté de la vie remplace les jeux.
Inversion des rôles : l’adulte consolateur est « dépassé » par la détermination de l’enfant.
Cf. lutte en faveur de l’enfance malheureuse par Victor Hugo
. Passage de l’innocence à la violence.
L'Enfant De Victor Hugo Les Orientales
La guerre est l’axe principal du poème car Victor Hugo veut en dénoncer les méfaits pour cela il utilise un registre plutôt pathétique, mais elle est souvent énoncée de manière implicite. Le texte nous donne à la fois l’impression d’être proche du narrateur, complice mais il nous demande aussi de réfléchir sur ses conséquences et de se rallier à sa cause. En effet la guerre n’est jamais évoquée directement. Il n’y a que dans le première hémistiche du premier vers de la première strophe que l’on peut comprendre qu’une guerre horrible à eu lieu. L’ellipse (vers 1) « Les Turcs ont passé par là » nous pousse à deviner qu’une terrible bataille c’est déroulée et nous pousse aussi à deviner le pire. L’autre hémistiche du vers et le vers suivant sont au présent, contrairement aux quatre autre vers qui suivent et qui eux sont au passé, ce présent ne donne plus une impression de description mais l’impression d’être presque le témoin de la scène, du massacre. Le narrateur utilise de nombreuses métaphores et comparaison comme par exemple (vers 29-30) « qu’un cheval au galop met toujours en courant cent ans à sortir de l’ombre » Cet enjambent qui dans le contexte historique nous parle du peuple grecque qui cherche à sortir de la domination Turcs, le cheval représentant le peuple grec et l’ombre le peuple turc. Dans ce poème Victor Hugo parle aussi de l’Iran qui est également envahi par les Turc (vers26-27) « Est-ce d’avoir ce lis, bleu comme tes yeux...
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