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Ecriture d'invention, incarner un poilu

Thèse : Ecriture d'invention, incarner un poilu. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  28 Mai 2018  •  Thèse  •  499 Mots (2 Pages)  •  741 Vues

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Mercredi 5 mai 1915                                                        

                                                            Victor Olivier Guénard

Je suis Victor Olivier Guénard je suis née le 28 mai 1895 à Ferney-Voltaire, j’ai 17 ans, je suis le fils de Jacques Guénard et de Jeanne-Marie Bouvier. Je suis boulanger c’est ma profession. J’ai les cheveux bruns, les yeux gris, le front bas, le nez moyen et le visage ovale, je mesure 1m58.

Mon numéro de matricule et le 297. J’ai un casier judiciaire, j’ai été condamne 8 jours pour abus de confiance mais la condamnation a été retirer par mon capitaine.

Par ma bravoure et par ma marche audacieuse sous le feu de mitrailleuse à l’attaque du village d’Ormanli j’ai montré l’exemple a toute la compagnie et permis a deux sections de s’installer sur un piton occuper par l’ennemi aux abords du village c’est là où j’ai été blesser le 6 novembre 1915 mais je suis revenue au front

Je suis un homme très courageux et très dévouer.

Mon ordre de régiment est le numéro 145, c’est un régiment de mitrailleuse.

J’ai vécu la première guerre mondiale et je peux dire que pour moi c’est la pire guerre du monde, cette guerre est atroce et terrible mais la pire bataille reste la bataille de Verdun c’était un paysage lunaire le pire c’était de s’embourber dans la boue car si on n’arrivait plus a sortir elle submergeait les personne. On était souvent en manque de nourriture et d’eau ce qui a tuer plusieurs de mes camarade mais ce qui reste de pire c’est quand il fallait sortir des trancher pour aller dans le no man's land ou je voyais mes camarade d’hier mort dans un trous d’obus. L’arme que je redoutais le plus est le gaz et quand on avait perdu son masque c’était la mort assurer

Enfin je meurs le 15 mai 1916 à Damloup près de Verdun en train d’exécuter des travaux urgents sous le feu de l’ennemi ce qui ma couter la vie. 

Me voilà en photo

[pic 1]

Lettre adresser au :

                                                        Commandant

                                                        

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