L Origine De La Vie

comme les acides aminés. L'énergie nécessaire pour ces réactions aurait été fournie par des éclairs. Cette hypothèse a obtenu un appui considérable surtout après l'expérience de Stanley Miller, qui a simulé les conditionnes de l'atmosphère primitive telle une preuve indirecte.

Oparin a aussi démontré que des attachés moléculaires de protéines et polysaccharides ceux qu'il a nommés gouttelettes de coacervats ont pu avoir donné le lieu pour les premières cellules. Ses recherches sur les propriétés de cette gouttelettes artificielles ont révélé qu'ils pouvaient acquérir une couverture lipidique, pareille à une membrane, à travers de laquelle des molécules pouvaient être échangées avec le milieu externe. Oparin a aussi suggéré que les cellules ont pu avoir pris naissance par gemmation de dites gouttelettes.

Des expériences plus récentes ont démontré que les composants des nucléotides (les <<briques>> d'une construction des acides nucléides : ribose, désoxyribose, purines et pyrimidines) ils peuvent se former dans des conditions similaires à elles de l'expérience de Miller. Une manière est égale, le nucléotide ATP, qui est le porteur principal d'énergie dans les cellules vivantes, peut se produire par l'action ultraviolette des rayons dans un mélange de ses composants (une adénine, ribose et phosphate).Certaine évidence existe c'est pourquoi, de celui ce que plusieurs des ingrédients fondamentaux des cellules vivantes il peut avoir été présent dans l'océan de la planète récemment formée. À ce mélange de substances elle est dénommée <<un bouillon primitif>>. Les scientifiques ont démontré que ce bouillon a pu avoir donné le lieu pour des molécules de plus en plus complexes. Par exemple, si des mélanges très concentrés d'acides aminés se chauffent, ceux-ci se joignent (ils sont polymérisés) en formant de plus grandes molécules c'est-à-dire des polypeptides s'ont rendu dans des mares exposées aux rayons solaires. On croit que les acides nucléides ARN et ADN peuvent l’avoir produit, dans des conditions similaires, à partir des nucléotides qui les constituent.

Le monde primitif Durant des millions d'années après sa formation, la Terre était un lieu inhospitalier et sans vie. Une activité intense volcanique a laissé faire courir des gaz chauds du noyau dans une fusion, en formant ainsi l'atmosphère et les océans primitifs. Les premières formes de vie peuvent avoir pris origine dans les mares tièdes des roches dans les bords des océans primitifs. |

L'expérience de Miller En 1953 le chimiste nord-américain Stanley Lloyd Miller (né en 1930) a construit un appareil pour simuler l'atmosphère primitive. Il a fait circuler d'une forme continue un mélange de vapeur de l'eau, d'hydrogène, de méthane et d'ammoniac en passant pour une étincelle électrique. Au bout d'une semaine il s'avait formé une crème moussante brunâtre, qui contenait quelques composés organiques, entre lesquels apparaissaient 8 de 20 acides aminés qui se trouvent dans les organismes vivants. |

Les premières cellules Le pas crucial pour la transformation de n'importe quelle matière organique inerte dans une cellule vivante devait avoir consisté en incorporation d'un acide nucléique comme l'ARN. Les molécules d'acide nucléique qui peuvent transformer une information génétique et se autorépliquer ont dû attribuer à une cellule primitive la propriété vitale de contrôler l'assemblage ordonné de ses protéines et transmettre l'information sur cette capacité à ses descendants. Pour une cellule rudimentaire un autre progrès vital doit avoir été l'habileté de fabriquer son propre ATP, en utilisant un glucose ou d'autres molécules obtenues de l'environnement comme fontaines d'énergie chimique. Cette forme primitive de nutrition hétérotrophe doit avoir présenté l'inconvénient de dépendre de la fourniture d'ATP, formé au hasard dans le milieu qui s'entourait à la cellule au moyen de la lumière ultraviolette. Plus loin, et une fourniture de molécules riches en énergie a été assurée par les cellules qu'ils réalisaient la photosynthèse