Le monologue de Figaro dans "le mariage de figaro"
Cours : Le monologue de Figaro dans "le mariage de figaro". Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar laura.1459 • 24 Février 2022 • Cours • 1 940 Mots (8 Pages) • 431 Vues
ORAL DE L’ANALYSE DU MONOLOGUE DE FIGARO ACTE V SCÈNE III
texte du monologue du mariage de figaro
Originaires de la comédie latine et repris par la commedia dell'arte, les valets apparaissent traditionnellement rues, ingénieux, fourbes mais jamais commes des personnages à part entière, ayant des sentiments tels que la souffrance ou la tristesse :
Nous allons étudier un extrait du monologue interprété par figaro dans la pièce du théâtre du mariage de figaro plus précisément son analyse linéaire. Le Mariage de figaro est un pièce de théâtre écrite par Beaumarchais en 1784, à la période des lumière. Beaumarchais était un homme d'affaire français, ainsi que poète et dramaturge. Il est né le 24 janvier 1732 à Paris et mort le 18 mai 1799. Beaumarchais est aussi connu pour son oeuvre “Le Barbier de Séville”. Cet auteur a une figure emblématiques du siècle des lumière car il fut l'annonciateur de la révolution française. nous allons faire une analyse linéaire d'une partie du monologue de figaro. l'intérêt majeur de cet extrait est ici que, le valet figaro s'affranchit de son rôle traditionnel, doté d'un passe d'une épaisseur physiologique, et d'une personnalité hors “normes”.
Les trois grand mouvement qui s'inscrivent dans ce texte sont :
- le premier : l. 1 à 11 : Figaro nous fait le récit de sa vie et de son passé.
- le deuxième : l.11 à 16 : il nous fait un questionnement existentielle sur le sens de la vie.
- le troisième : l.16 à la fin : il utilise l'expression d’un “moi” hors norme.
LECTURE DU TEXTE l.13 DE “FORCE DE...” A LA FIN
- MOUVEMENT PREMIER
Pour commencer on peut remarquer que ce texte est écrit au passé simple ainsi qu'à l'imparfait. Dès le début du texte et dans le premier mouvement, on voit l'utilisation du conditionnel passé avec le verbe aurait pus a la première ligne ceci nous annonce une introspection ainsi qu'un retour sur le passé. 3 actions en cour de déroulement sont remarquer, elle sont à l’imparfait “commençais” l.1, interrompue par des actions au passé simple “fusse” l.3 et au présent “m’appelle”l.4 Il y a ensuite un mouvement ascendant-descendant ce qui crée les haut et les bas de la vie avec ligne 1 “me remonter” ; ligne 3-4 “vingt brasses d’eau m’en allaient séparer” et ligne 4 “me rappelle mon 1er état”. Deux expression de rupture sont utilisés à la ligne 2 avec l’adverbe “mais” et la ligne 4 avec la conjonction “lorsque”. Figaro semble ensuite attribuer les coups du sort a une volonté supérieure à la ligne 4 “ un dieu bienfaisant”. On découvre aussi un homme d’action qui montre un rythme vif de la l.1 a la l.7 “me remonter” l.1 “je commençais” l.1 “je fusse” l.3 “je quittait” l.3 “m'en allait” l.4 “m’appelle” l.4 “je reprend” l.5 “je vais” l.6 “je vis” l.7. Figaro raconte son histoire on remarque de la narration dans ces paroles, c’est une récit vivant et il revit sa situation passe. Ligne 7 “ je vis enfin sans soucis” cela veut dire que ses soucis sont derrière lui et qu’il atteint une situation d'équilibre. Toujours à la ligne 7 “ un grand seigneur passe” c’est ici un élément perturbateur et déclencheur car il lance l'histoire du Barbier de Séville et pour finir à la ligne 7 on remarque des propositions autour des verbe “passe” l.7 , “reconnaît”l.7 et “marie”l.7 c’est une juxtaposition de proposition très brefs nommer une asyndète cela crée un effet rythme ou même vif. A la ligne 8. il y a une complement circonstancielle de but “pour le prix d'avoir eu par mes soins son épouse, il veut intercepter la mienne!” souligner par pour le prix et par veut intercepter la mienne, c’est donc une contradiction qui est ironique, l’ironie résume l'histoire du mariage de figaro. Les point d'exclamation qui sont présent tout au long du texte montre une marque d'émotion ou peut être de l’injustice ressenti par figaro c’est surtout le cas ici a la l.8 “la mienne!” Le vocabulaire du théâtre ainsi qu'une métaphore est ici reconnue à la l.8-9 “Intrigue, orage a ce sujet” ici un rapport est créé avec le mariage de figaro en seulement deux mot car cette pièce est remplie de métaphore ainsi que d'intrigue cela se nomme “l’Art de la synthèse”. A la ligne 9 il y a un complément circonstancielle de temps avec 2 groupe antéposée c’est à dire de places un mot ou un termes avant un autre mot cela rend ici un effet d dramatisation ou même de danger imminent je cite “ prêt à tomber dans un abîme, au moment d'épouser ma mère” d’ailleur cette deuxième proposition est choquante ainsi que tabou cela crée un résumé des situation absurde du Mariage de figaro. A la ligne 10 il y a la première didascalie de cette extrait celui signale un style plus théâtrale dans ce texte. Toujours à la ligne 10 l'expression “on se débat” pas de précision avec le pronom “on”. A la ligne 10-11 il y a des paroles rapportées directement a la 1ere pers. et a la 2eme cela crée une dimension théâtrales car le narrateur devient l'acteur; il joue la scène “ c’est vous, c’est lui, c’est toi, c'est moi”. On souligne “Eh! mais qui donc?” il y a un dans la même réplique une exclamation ainsi qu’une interrogation, cela traduit la confusion entre les identités.
- MOUVEMENT SECOND
Nous passons au mouvement second avec une seconde didascalie a l.11 “(il retombe assis.)” cela annonce un changement de registre plus précisément de la comédie à la tragédie donc du bien au mal souligner par “ô” cela annonce encore p;us le registre de la tragédie, le locuteur exprime de façon empathique un sentiment. cela est poursuivi par le mot “bizarre” c'est a dire ce qui est difficile à comprendre en raison de son étrangeté ce qui fait référence au comique du mariage de figaro ou même à un sentiment d'incompréhension ou à un changement de tonalité. A la ligne 12-13 il y a des mot integrative “comment”, “pourquoi”, “qui” cela fait donc apparaître des question ou des interogation partielle c'est des questionnement sur les événement de sa vie. A la ligne 11 “suites d'événement” est reprise par “cela ligne 12 puis “ces choses” ligne 13 cela sont des termes généraux qui désigne l’histoire de sa vie on peut donc voir que figaro n’est pas maître de sa propre vie. Des verbe à la troisième personne sont ici utiliser. A la ligne 13-14 on a une métaphore filée de la vie comme une route “ Force de parcourir un route ou je suis entrée sans le savoir, comme j'en sortirais sans le vouloir” on peut voir aussi dans cette réplique un parallélisme de construction avec deux verbe d'actions qui se répondent et 2 complement circo stenevielle de maneire “ sans le vouloir” et “sans le savoir” et le début de cette phrase souligne l’absence de choix avec “force de” a la ligne 13. A la ligne suivante “je l'ai jonchée” c'est une métaphore de bonheur avec le pronom suis sujet de du verbe “joncher” cela montre le gaieté ce qui est la premiere caracteristique de figaro et “d'autant de fleur que ma beauté men a permis” est une restriction de la liberté de Figaro, c’est la gaieté, ici personnifié, qui a la contrôle de sa vie “m’a permis” l.14, Figaro ne se sent pas maître de sa vie. De suite derrière figaro se reprend avec “encore” ligne 14 et il remet le 1er personne du singulier en question le déterminant possessif “ma”l.14, le pronom personnel “à moi”, et le substantif avec le déterminant ce devant “quel est ce moi” l.15, Figaro se reprend pour recentrer sa méditation sur son individualité. “sans savoir” l.15 est une forme négative car elle revient à l'idée de l'ignorance de figaro et le non contrôle de sa vie. Pour finir ce deuxième mouvement on va se pencher sur l'expression “ni même” à la ligne 15 toujours qui est une valent enrichissante car elle renchérit sur l'idée d'ignorance.
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