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Les causes de la révolution Française

Fiche : Les causes de la révolution Française. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  4 Novembre 2016  •  Fiche  •  1 852 Mots (8 Pages)  •  1 320 Vues

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LES CAUSES DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE

                « C'est une révolte? (- Non, Sire, c'est une révolution) »

Le duc Rochefoucauld-Liancourt, annonce au rois Louis XVI la prise de la Bastille, le 14 Juillet 1789, et précise donc la gravité de la situation par cette « réplique ». Ici cette réplique nous montre la situation de la nation à l’aube d’une grande révolution Les milices civile s’est dirigé vers la Bastille symbole arbitraire royal. Mais que signifie vraiment le mot révolution ?

        Une révolution est un changement, un bouleversement important et brusque dans la vie d'une nation. Le terme de révolution s'applique à de nombreux domaines : social, politique, économie, culture, morale, science, techniques…

Sur le plan politique, une révolution est la suppression de manière brutale et parfois sanglante de l'ordre établi et du régime politique en place ainsi que son remplacement par une autre forme de gouvernement. Si on s’intéresse de plus près aux causes qui amène a cette révolution, l’analyse doit être porter sur la France avant la révolution.

        La France est gouvernée par un monarque absolu de droit divin. Ce monarque absolu gouverne pratiquement seul. A partir du 17e siècle, l’absolutisme va être remis en cause. Certains s’emparent du mécontentement général et affirment que le régime doit être modifié. Ces critiques sont aussi liées au fait que la monarchie absolue n’a pas mené les réformes nécessaires pour modifier les institutions. La France devenait mécontente et il devenais judicieux de repartager les privilèges. La révolution est donc en marche, face à la situation désastreux des finances de l’Etat, la seule solution possible est la convocation des Etats Généraux. Le 8 aout 1788 un arrêt du conseil est rendu, la convocation est prévu pour le 1er mai 1789. La société est composé de 3 ordres ,le clergé,  la noblesse et le Tiers Etats qui représente 96% de la population. Le clergé et la noblesse jouissent des privilèges au sein de la société, ce qui amène a dire que lors des élections des Etats généraux, le tiers Etats se trouvera vite minoritaire. Un cahier de doléances va être mise en place au niveau des trois ordres qui réclament entre autre des réformes économiques sociales et politiques. Le 9 juillet 1789,  l’assemblée constituante va être crée avec les trois ordres réunis. La Révolution semble faite, les Etats Généraux se sont attribué le pouvoir législatif.

        L’intérêt ici, est d’analyser les éléments déclencheur de cette « Revolution », qui montrera la gravité de la situation. D’envisager la France avant la Révolution et les raisons qui ont conduit à mettre un terme à un régime que l’on estimait trop ancien.On prend conscience que la monarchie est détentrice de trop de pouvoir et le peuple va être intellectuellement éveillé par certains individus qui prennent la tête de mouvements intellectuels qui diffusent des idées nouvelles et de nouvelles réformes. L’intérêt également est bien de distingué les causes structurelles et conjoncturelles.

        Le climat sociale, politique et économique sont assez tendus, pourquoi les choses ne s’améliore pas ? Pourquoi les institutions semblent-elles désormais obsolète ?

On commence entre autre à relever des dysfonctionnements dans le système. L’abolustime deviens en effet source d’abus dans un régime qui se fait ressentir ancien (I) ce qui enclenchera les crises pré-révolutionnaires (II)

PLAN :

I) Un absolutisme devenu source d’abus dans un régime qui deviens ancien

        La France est gouvernée par un monarque absolu de droit divin. les places sont convoitées, comme toutes les places à la fonction publique dans cette période. le roi, puissant, peut limiter l’action des Parlements, institution  qui pouvais arbitrait la monarchie. Le roi néglige également l’institution des Etat Généraux. Il ne les a pas réunis depuis 1614. On est dans un cadre où les institutions de la monarchie tempérée ont été mises de côté. A partir du 17e siècle, l’absolutisme va être remis en cause. Il y a une certaine forme d’hésitation car le roi a des moyens de punition assez sévères.

Certains s’emparent du mécontentement général et affirment que le régime doit être modifié.

Ces critiques sont aussi liées au fait que la monarchie absolue n’a pas mené les réformes nécessaires pour modifier les institutions. Ces réformes ont été souhaitées et sont menées par les ministres afin d’éviter la Révolution. Ils avaient senti que la France devenait mécontente et qu’il était judicieux de repartager les privilèges.

Ces abus de la monarchie ont plusieurs manifestations.

  1. Les abus Sources de la crise

  1. Abus dans l’ordre politique et sociale

                — Concentration du pouvoir au sein des mains du roi

                — Opposition abusif du parlement sur les projet de réforme proposer                         par le roi

                — Des reformes juste qui sont rejeté par le parlement qui sont en                                 autre des privilégiés

                — Monter en puissance des mécontentement contre les droits                                 fédéraux

  1. abus dans l’ordre administratif et financier

                —Ils dominent la justice, la police et les finances

                — Il y a aussi une participation très insuffisante des populations locales.

                — l’inégale répartition des impôts

                — Des charges fiscales ne cessent de peser sur les individus et ne cessent                 d’augmenter tout au long du 18e siècle

  1. abus dans l’ordre judiciaire

                —l’organisation de la justice est devenue extrêmement confuse.

                — Nombreux dysfonctionnements

                — Les peines sont atroces car doucereux

B)  Un pouvoir royal affaiblit

                — L’affaiblissement du pouvoir royal dû à l’affaissement de la croyance religieuse et l’essence d’une nouvelle philosophie remet en cause le pouvoir royal et la conception de l’État.

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