Dissertation Le Clézio
Commentaires Composés : Dissertation Le Clézio. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresante de plaisirs tout aussi variés et qui ensuite en redemande. Cette ville est représentée comme une ville peuplée de gens accroc à l'or et au plaisir. -Dans le deuxième texte la ville est représentée comme neuve, c'est un prisonnier qui s'est évadé de prison et qui visite le nouveau marché de halles sept ans plus tard, c'est neuf il y a beaucoup de magasins, trois rues l'inquiètent car elles sont blindées de voitures «Les trois rues du carrefour (…), l'inquiétèrent car elles étaient encombrées de voitures de toutes sortes». Il marche le long des rues, et à chaque rue un nouveau magasin. Il essaie de prendre des rues mais elle sont souvent pleine et n'ont plus de place pour le laisser passer car «des légumes couvraient le trottoir». La ville est devenu infranchissable, beaucoup trop de magasins sont installés, et donc il ne peut traverser des rues normalement il doit contourner les rues une à une, mais il y a énormément d'obstacles qu'il n'arrive pas à franchir donc il essaie beaucoup de rues «les halles débordaient», «il essaya de sortir (…) il tenta la rue de la Cossonerie, la rue Berger (…)». Mais la ville est encombrée, c'est devenu un vrai labyrinthe «cette infernal rondes d'herbes qui finissaient par tourner autour de lui en le liant aux jambes de leurs minces verdures». La ville est remplie, elle est représentée comme un vrai labyrinthe où on ne peut y sortir car il y a beaucoup trop d'obstacles et on ne sait pas quel chemin prendre. -Dans le troisième texte la ville est représentée comme «la vieille ville». Une ville plutôt sale «égout qui sent fort», avec de vieux murs «vieux murs lépreux», une ville sale partout avec plein de traces au sol, de traces étranges «par terre il y a plusieurs tâches rouges comme le sang». Cette ville qui commence à faire peur a la jeune femme. La rue de la ville a des fenêtres fermer «les fenêtres au ras du sol sont fermées par des grillages (...)». C'est une ville déserte, il n'y a personne, il fait noir. La on pourrait penser que la ville est représentée comme une villa déserte et fantôme. 2) Commun les descriptions sont construites? : Nous pouvons constater au travers de ces trois textes, une similitude dans le mode descriptif des différents lieux et personnages, utilisé par les auteurs. Effectivement, la physiologie des rues, des habitats, et de ses habitants dont avec précision mis en évidence. Dans chacune des descriptions il y a l'explication de la rue, avec son nom, comment elle est, ce qui l'entoure... Pour le 2ème texte on a le quartier des Halles de Paris, dans le 3ème, ce sont quelques rues de Marseille. Les auteurs utilisent très souvent une succession de termes afin d'accentuer le caractère descriptif, et afin de créer une dynamique, un mouvement. «...masques de faiblesses, masques de joie, masques de misère, masques d'hypocrisie» (Incipit de la fille aux yeux d'or, Balzac, (1835)). «Il tenta la rue de la Cossonerie, la rue Beger, le square des innocents, la rue de la ferronnerie, la rue des Halles». (Le ventre de Paris, Zola, (1873)). «Il y a de drôles de choses blanches mêlées aux tâches rouges, comme des cartilages, des os brisés, de la peau, et la sirène... de Lalla». (Désert, Le Clézio, (1980)). Ainsi, on participe au fur et à mesure aux trajets empruntés par les différents personnages, comme ci on y était, permettant aux lecteurs de s'imaginer de manière presque filmographie les scènes. Les émotions nous sont également retranscrite avec une très grande précision. Toujours s'accompagnant du même procédé, avec l'utilisation de termes, d'adjectifs, utilisés à la suite, on imagine ce que les personnages vivent à l'instant où se passent les scènes. «...découragé, effrayé, ne pouvant se dégager de cette infernal ronde d'herbes...de leurs minces verdures» (Le ventre de Paris, Zola, (1873)) «La couleur rouge résonne dans la tête de Lalla, fait un bruit de sirène, un sifflement qui creuse un trou, vide son esprit» (Le Désert, Le Clézio, (1980)) Les points communs: -une ville sale -une ville encombrée -une ville avec beaucoup de gens ( sauf dans le dernier texte car c'est le désert) Commentaire littéraire: Introduction: Le Clézio est un auteur contemporain atypique du 20ème siècle. «Le Désert» est un roman de 1980. Il nous raconte ainsi comment une jeune fille se prénommant Lalla née dans le désert , a vécu une enfance heureuse dans un bidonville d'un grande cité marocaine, puis comment elle fut obligée de fuir et d'émigrer à Marseille où elle découvre la misère et la faim, «la vie chez les esclaves». L'extrait à commenter nous parle d'une jeune femme immigrée venue d'un bidonville marocain et récemment arrivée en France, se promenant dans les rues de la veille ville de Marseille; la ville paraît effrayante à ses yeux, et sa marche prend peu à peu des allures de fuite. Il s'agit d'un texte narratif et descriptif qui appartient au genre romanesque. Ce texte exprime les émotions et les sentiments de cette jeune femme étrangère. Il révèle du registre lyrique. Tout d'abord nous allons examiner la représentation dont se fait la jeune fille sur la ville de Marseille dès son arrivée, puis nous étudierons les sentiments qui en découlent. Développement: Vision de la jeune femme sur cette vielle ville: Pour Lalla, la ville de Marseille se veut menaçante, cette ville est représenté par deux métaphore filées: celle de la prison et du tombeau (de la mort) Une ville abandonnée: Champ lexicale de la solitude: «il y a personne dans les rues», «les maisons semblent abandonnées», «déserte», «rues silencieuses». Un paysage livré à «seulement quelques chiens au poil hérissé», qui «grognent». La ville paraît donc hostile à l'étrangère qui nous communique son angoisse au moyen de deux métaphore filées. La prison: Champ lexicale de l'enfermement: «fermées», «tirés», «grillages», «barreaux» écrit deux fois et «prison» exprimer aussi deux fois mais a la variante de prisonnier. Les hauts murs «gris» limitent le regard, les intérieurs restent inaccessibles. Il faut un porche pour que la vue puisse s'échapper. A cause de l'absence de personnes visibles, Lalla passe de la geôle au tombeau. En effet, «elle croit que c'est une prison où les gens sont morts». Le tombeau: Champs lexicale de la mort et de ténèbres: «os», «mort» exprimé trois fois, connoté par «froid», «noires», «pourris», «nuit», «caves», tout sa condensé dans le «tombeau» du dernier paragraphe. Les sentiments de Lalla: Au travers de cet extrait nous pouvons percevoir un sentiment de peut émanant de la jeune fille. Effectivement, en fille du désert habituées aux grands espaces où le regard peut se déployer, elle éprouve très vite un peur irrépressible. Les origines de sa peur:
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