Du début jusqu’à « Et par conséquent »

cratie car n’étant pas reconnue aristocrate il en est révolté.), Les nobles sont ici tournés en dérision, la femme Cunégonde sera à l’origine de tout ses problèmes car elle n’est pas du même milieu.

2) Le Baron

Cette présentation s’effectue par de petites « Touches ». Ce personnage a du tonnerre dans son nom, il semble rude avec cette allitération en « T ». Il reviendra ligne 12, la description est axée sur le pouvoir « puissant seigneur » mais aussi sur l’aspect extérieur « Tapisserie », « Meute », « Fenêtres », « Porte », « Une grande salle », « Grand Aumônier »… Les apparences sont celles de la richesse, de la puissance du Baron, Il y a tout de même des distorsions entre la réalité et l’illusion.

3) La Baronne

Elle est tout d’abord décrite comme grosse mais elle est en « grande considération » mais ceci par son apparence extérieur.

4) La fille, Cunégonde.

Elle est discréditée par son prénom, le première et dernière syllabe montre le personnage « Cucu » et « Gonde » pouvant être assimilé a « Ronde » elle est définit comme « Grasse et appétissante » comme un produit de consommation sensuelle. Elle deviendra, à la fin du conte, pâtissière ce qui inversera la tendance.

5) Le fils.

C’est le double du père, aucun caractère propre.

6) Pangloss

Nom portrait :

Pan = Tout et Gloss = Langages. Dans le conte il parle tout le temps, il n’a d’autre consistance que celle des ses discours, il n’est pas décrit physiquement. Pangloss est présenté sous un ton élogieux : « Oracle de la maison » connotation religieuse, « Admirablement ».

L’auteur nous montre la présence du personnage grâce au discours direct, il nous laisse juge du personnage. Il explique la relation de cause a effet.

« Nez » > « Lunettes » / « Pierre » > « Château » …

Cette présentation attire l’attention sur un contexte : celui du conte.

II- Aspects traditionnels du conte.

1) Formules traditionnelles.

C’est un microcosme, l’ouverture du conte est présente « Il y avait », le moment n’est pas précisé. C’est un monde qui semble lointain, le château confirme le conte.

2) Milieu et personnage.

Tout le monde est beau et riche, la merveille de l’aristocratie est présente. Pangloss résume l’histoire « Meilleur des mondes », « Plus beau château », « Baronne plus belle », Le lecteur reçoit une image paradisiaque de Thunder-Ten-Tronck mais il y a un effet de distorsion dans ce paradis.

III- Les effets de décalage qui attirent l’attention du lecteur.

1) Approchement faussement logique.

Quel est le rapport logique entre la puissance du Baron et les fenêtres et portes ? Ce type de raisonnement est vus sur la baronne entre Poids / Considération, ces effets visent a montrer que tout relève de l’illusion.

2) Les confusions.

Tout semble faux, Rapprochement entre les chiens de basse cours (Alors que les chiens de chasse sont des chiens races), Le baron semble désargenté. Palefrenier -> Piqueurs, Vicquaire -> Aumônier. La confusion entre réalité / Apparence. Est montrée ici, le baron pense avoir une meute, des piqueurs et un aumônier alors qu’il n’a rien de tout ca. Il se prend pour un baron alors qu’il est désargenté, ce n’est qu’un paysan de Provence. Cette illusion est liée a la pensé et au raisonnement.

3) Les absurdités du raisonnement de Pangloss.

Il semble enseigner des grandes choses mais discrédité par nigologie qui est la science des nigauds qu’enseigne Pangloss. Ses arguments sont ridicules, les nez n’ont pas d’autres fonctions, les jambes, les chausses non plus de même pour les pierres. Le nez peut servir a respirer, les jambes a marcher … Pangloss raisonne de marnière incohérente de plus la conclusion est inacceptable. « Tout est au mieux » Voltaire discrédite la philosophie optimiste. Tout n’est qu’illusion : Pouvoir,