Histoire d'Un Naufragé
Recherche de Documents : Histoire d'Un Naufragé. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresleur chef, s’avançât vers moi armé d’une lance. Me sentant menacé je tirai un coup de fusil à ces pieds, cela fit fuir l’homme et sa famille vers la forêt. Nous nous installâmes donc dans la hutte qui Par chance contenait un feu de bois toujours allumé. J’installai un tour de garde pour veiller à ce que le feu ne s’éteigne pas.
4ème jour : A mon réveil personne n’était encore levé a part Klaus dont c’était le tour de surveiller le feu. Je décidai donc d’explorer un peu le périmètre proche de la hutte et découvris un ruisseau, une petite montagne au nord et une vaste étendue de plage à l’ouest. A mon retour les autres étaient levés, ils discutaient entre eux. En fouillant dans mon sac à dos resté au campement, je vis que mon GSM fonctionnait toujours mais comme je m’y attendais il n’y avait aucun réseau sur une ile perdue comme celle-ci. Au moment ou j’aillai le jeter a la mer, je me souvins qu’il possédait un programme de traduction français-japonais que je n’avais jamais utilisé mais qui me serai bien utile pour discuter avec les membres du groupe qui ne parlaient ni le japonais ni l’anglais pour la plupart. Nous ne quittèrent pas le périmètre autour de la hutte de la journée a part pour fouiller la plage où nous trouvâmes un grand nombre de petits mollusques.
7ème jour : On avait fini les rations de survie le matin et il ne restait donc que des mollusques à manger. Je partis donc avec le groupe en direction de l’est, par ou nous étions arrivés, en laissant Klaus et Kristina garder le campement et surveiller le feu sans lequel on ne pourrait pas manger grand-chose vu qu’a part moi les autres n’avaient pas l’air d’aimer la nourriture crue. Non loin de l’endroit ou nous avions fait naufrage, nous découvrîmes un lac habité par un nombre assez impressionnant, pour la taille du lac, de poisson. J’adorai le poisson et je me jetai dans l’eau dans l’espoir d’en attraper à main nues pour le repas de ce soir. Ce ne fut pas très efficace et je demandai aux autres si l’on avait un filet au campement. Ils me répondirent qu’il y en avait même deux, un très grand certainement pas très maniable et un vieux filet fabriqué par les indigènes. Il se faisait noir sur le chemin du retour et je ne voyais presque rien car ni moi ni les autres n’avions pensé à prendre une torche. Nous avons donc dormir pour la 3ème fois sur cette plage ou nous avions fait naufrage.
8ème jour : A mon retour au campement je découvris un carnage, les indigènes avaient attaqués le camp, surement pour reprendre leurs biens, et l’avaient payé de leur vie. Mais il n’y avait pas que des indigènes qui étaient morts lors de cette attaque. La seule personne en vie était Klaus Qui pleurait prés du corps sans vie de Kristina, deux lances figés dans sa poitrine. Je compris que fou de rage contre les indigènes Klaus les avaient tous abattus avec son fusil sans même voir qu’il avait aussi tué Jerry et Manfred. Qui avaient les mains attachées dans le dos par des lianes, les indigènes avaient du les capturer dans la forêt.
Les 6 survivants et moi passâmes le reste de cette journée à enterrer les corps des défunts.
9ème jour : Je fus réveillé en plein milieu de la nuit par un coup de feu et sortit dehors sur mes gardes pour aller voir ce que c’était. Je vis Klaus étendu sur le sol, une balle en pleine tête. Il s’était suicidé, surement qu’il ne supportait pas d’avoir perdu Kristina et tué deux innocents.
Impossible de me rendormir après avoir vu Klaus je l’enterrai donc parmi les tombes que nous avions creusées hier. Seconde mauvaise nouvelle, mon GSM tombât en panne, sa batterie était vide. Maintenant je ne pouvais plus discuter qu’avec Jennifer la seule qui parlait anglais.
13ème jour : Les réserves de mollusques et de poissons diminuant je décidai que l’on devait aller explorer les parties de l’ile ou nous n’étions pas encore allés. Mohammed et Laura partirent vers le foret et je partis avec Jennifer vers la petite montagne pendant qu’Odile et Marie restaient au camp et essaieraient de trouver d’autres mollusques sur la plage bien que j’étais sur qu’il n’en restait plus ou du moins pas assez pour tenir quelques jours de plus.
J’espérai que les secours allaient bientôt arriver. De retour d’une exploration épuisante et raté, il n’y avait rien d’intéressant sur la montagne je vis que l’autre groupe n’était pas encore de retour. Les 2 femmes restées au campement avaient eu de la chance elles avaient réussit à capturer de petites chèvre, non sans mal, avec le grand filet de pêche.
14ème jour : Au petit matin alors que je faisais un tour sur la plage je vis une silhouette seule au loin. C’était Laura, son corps était couvert de profondes entailles et elle perdait beaucoup de sang. Je ramenai la jeune fille en la portant au campement pour essayer de la soigner mais c’était déjà trop tard. Quand a Mohammed il avait certainement été attaqué par la même bête sauvage car je ne le voyais toujours pas revenir alors que la nuit tombait.
18ème jour : Personne n’ose plus quitter les alentours du campement. Moi-même je n’ai pas le courage de dépasser l’entrée de la forêt.
24ème jour : Nous avons fini de manger les chèvres, il va bien falloir que j’aille dans la forêt sinon nous allons mourir de faim.
25ème jour : Sachant que la survie du groupe dépendait de moi je décidai d’affronter ma peur de cette forêt et partir seul avec 1 fusil et les 3 dernières cartouches. Les filles avaient essayé d’abattre des oiseaux en plein vol avec pour seul effet de gaspiller de précieuses cartouches. Pour augmenter mes chances de survie contre la bête qui a tué les deux adolescents j’attache notre hache dans mon dos avant de partir pour la forêt. Il ne me fallut pas longtemps avant que je tombe sur un couple de pumas, visiblement c’était eux qui avaient déchiqueté deux de mes compagnons. Je dégainai vite le fusil et abattit le male de deux balles, une dans le fan et l’autre en pleine tête. Je tirai la dernière balle en direction de la femelle mais le coup ne
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