La Place De La Littérature Aujourd'Hui...
Documents Gratuits : La Place De La Littérature Aujourd'Hui.... Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresdes trois grandes maisons d’édition (Gallimard, Grasset, Seuil) est incontournable, si l’on souhaite se faire un nom et être le lauréat d’un grand prix littéraire (Prix Goncourt, …), ceci confirme la thèse que l’argent est supérieur à tout autre valeur.
Ensuite, nous pouvons analyser l’impact des média sur le lancement d’un livre. Lorsqu’un nouvel auteur est interviewé par un journal ou lors d’une émission télévisée
quelconque, celui-ci a plus de chance de se faire connaître et donc d’augmenter la vente de son œuvre. Profitant ainsi de la puissance médiatique sur la scène publique, l’écrivain peut compter sur l’accroissement du gain sur les ventes de son livre. Les média ont une forte influence sur l’opinion des gens, formatant peu à peu leur manière de raisonner, les amenant vers un certain type d’œuvre plutôt qu’un autre. Certains auteurs se voient alors dans l’impossibilité de se faire reconnaître car ils ne correspondent pas aux clichés que les média prônent. Il est devenu courant que la presse et les média dans leur globalité proposent certains sujets plutôt que d’autres, des comportements à adopter et pour ce faire perdent toute objectivité.
Et enfin, nous allons vous parlez de la domination de l’empire Lagardère et des grandes maisons d’édition qui lui appartiennent. Ce dernier impose ses idées par le fait qu’il est dix fois plus puissant que n’importe quel éditeur français ! Le groupe qui risque de mettre en péril la créativité littéraire en imposant ses propres visions et en limitant la liberté d’expression de l’auteur. L’écrivain risque d’être incité à traiter certains sujets plutôt que d’autres, s’il veut bénéficier du soutien du « monstre » de l’édition française. De plus, pour Lagardère l’intérêt économique prend plus d’importance que l’intérêt culturel d’une œuvre car le seul souci de cette entreprise est de réaliser un chiffre d’affaire le plus haut possible. Preuve est faite de cette hypothèse puisque le géant de l’édition a comptabilisé près de deux milliards d’euros : un chiffre bien supérieur à toutes maisons concurrentes !
En conclusion, la créativité littéraire est bien en péril vu que le pouvoir financier a pris beaucoup plus d’ampleur que la pensée, les idées ou les envies de l’écrivain. Sur le point de vue des prix littéraires, nous pouvons dire que la pression des grandes maisons d’édition poussent les juges à un certain manque d’objectivité vis-à-vis de la capacité de l’auteur. Concernant les média, il est un fait avéré qu’ils contribuent à une source de gains pour l’auteur, qui profite de la publicité faite. Quant à Lagardère, société cotée en bourse aux côtés des plus grandes, il se borne à dominer les autres maisons d’édition, par sa puissance économique et financière. Etant devenu incontournable et imposant sa loi, le groupe Lagardère fait la pluie et le beau temps dans le milieu littéraire. Il existe deux sortes de littérature : l’une de la connaissance et de l’émotion, l’autre de la puissance. La différence ? L’une
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