La décolonisation de l'Algérie

Canet Timéo                3F

La décolonisation de l’Algérie

En 1939 presque la moitié des habitants de la planète sont dominés par les puissances européennes. L’Algérie est une colonie française. Les mouvements nationalistes organisent la décolonisation de l’Algérie, c'est-à-dire l’indépendance par rapport à la France. Comment c’est dérouler cette décolonisation ?

Premièrement, le FLN (front de libération nationale) revendique l’indépendance du pays à la puissance coloniale française. Elle oppose donc l’indépendance du pays contre les colonies françaises depuis 1830.

Après la Seconde Guerre mondiale, le président américain Roosevelt, dans sa déclaration faite au nom des Alliés, a donné l’assurance que les droits de tous les peuples seraient respectés. Ce qui fait que le peuple algérien revendique sont indépendance.

En 1954 le FLN déclenche une insurrection, la France réagit par l’envoi de l’armée. C’est le début d’une guerre de décolonisation. A cause de ça, les victimes de cette guerre augmentent des deux côtés.

Ensuite, les militaires français vont traqués le FLN, de plus en plus de troupes sont mobilisées. Alors René Coty demande à de Gaulle de former un gouvernement pour résoudre la crise algérienne. Le 4 juin 1958 de Gaulle se rend en Algérie et il opte pour l’autodétermination en Algérie. Ce qui signifie que c’est le peuple décide lui-même de son avenir. Plus tard une organisation armée secrète sera fondé en février 1961 dites l’OAS, qui a pour objectif renversé de Gaulle.

Conformément aux accords d'Évian, l'indépendance est acquise sur le plan politique à travers le référendum d'autodétermination du 1er juillet 1962, par lequel les Algériens se prononcent à 99% en faveur de l'indépendance de l'Algérie. Mais quels sont les conséquences ? Tout d’abord les manifestations de joie tournent au massacre et les français vivant en Algérie dit « les pieds noirs » quittent massivement le pays.

Pour conclure cette guerre fit un bon nombre de victimes, 300 000 à 400 000 morts du côté algérien est le plus probable. On compte 27 500 militaires français tués et un millier de disparus, et chez les civils européens 2 800 tués et 800 disparus.