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Economie et mondialisation

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Par   •  3 Décembre 2020  •  Commentaire de texte  •  1 182 Mots (5 Pages)  •  579 Vues

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Économie et mondialisation

Travail synthèse #2

Travaille présentée à Monsieur

Pierre-Olivier Simard-Couture

Technique de comptabilité à la gestion

 

Marilou Gaudreault

Groupe 30180

CEGEP de Chicoutimi

Le 7 décembre 2020

L’analyse du PIB 

La valeur du produit intérieur brut (PIB) est passée de 2,827 milliards de dollars en 2015 à 2,925 milliards de dollars en 2017, ce qui équivaut à une augmentation de presque 0,1 milliards de dollars en deux ans. Un taux de croissance réel du PIB 1,7% en 2017, pour trouver le PIB par habitant nous devons avoir la base de la parité de pouvoir d’achat divisé par la population pour la même année soit 43 400$ en 2015 avec une augmentation de 900$ en deux ans donc qui est de 44 300$ en 2017 (en dollars de 2017). [1]

Nous utilisons cette mesure pour évaluer le pouvoir économique vis-à-vis d’une économie, le taux de change officiel est de 2,628 milliards de dollars en 2017. Un taux de croissance de la population industrielle est de 3,4% (en 2017) ce qui comprend la fabrication, l’exploitation minière et la construction. L’épargne nationale brute en 2015 à 12,3% du PIB, en 2016 à 12% du PIB et en 2017 à 13,6% du PIB soit une augmentation de plus de 1% en deux ans, ce qui veux dire que le revenu national brute qui se compose de l’épargne personnelle, des entreprise, publique mais qui exclut l’épargne étrangère, on augmenter fasse aux dépenses de consommation finale. Voir annexe 2 pages 6.

La composition, par utilisation finale nous démontre qui fait les dépenses dans l’économie comme les ménages, le publique, les stocks et d’autre. Pour la composition d’origine nous montre où a lieu la production dans l’économie, ce sont les services, l’industrie et l’agriculture.

[pic 1][pic 2]

Le PIB du Royaume-Uni évolue tranquillement, ils sont en expansion économique, cependant ce n’est pas un pays riche. Le coefficient de Gini est de 0,37. Voir annexe 3 pages 7.

Les principales industries

La principale industrie du Royaume-Uni est avec le Brésil, le vrai problème est de savoir si le brésil a souffert de ses relations avec l’Angleterre, s’il a été exploité par elle. En 1805, on observa que le prix du Brésil connaissait les mêmes augmentations que les prix en Europe et en Amérique du Nord nous ne pouvions rien changer à cela car le Brésil s’intégrais au marché international. L’Angleterre n’achetais presque rien au Brésil, mais quand le boom du café fut engendré et qu’il prit son essor alors que les Anglais buvaient moins de café que jamais.

L’industrie britannique n’a pas perdu son pouvoir de séduction, elle reste la première destination des investissement directs étrangers. L’automobile incarne à elle seule la renaissance de l’industrie britannique. En 2015 l’industrie a retrouvé son niveau de 2005, en sortant 1,6 million de véhicules des usines.

Le Royaume-Uni peut aussi miser sur l’aéronautique, les industries de la défense et la pharmacie. Ils veulent se positionner sur les secteurs d’avenir. Ils veulent en aucun cas rater le virage numérique, devenir une entreprise technologique c’est indispensable pour eux.

Le marché du travail

L’état du marché au Royaume-Uni est bien, il n’y a presque pas de chômage et tout se déroule comme prévu. Ce pays a beaucoup de travailleur soit presque la moitié des britanniques sont de la population active donc, 33,5 millions. (2017) Dont 1,3% en agriculture, 15,2% en industrie et 83,5% en services. Le taux de chômage est le population active sans emploie. Il est passé de 4,9% en 2016 à 4,4% en 2017 une belle diminution de 0,5%. Voir annexe 1 page 6.

Les revenues ou consommation du ménage en pourcentage, tout cela ajuster selon la taille du ménage, la qualité des enquêtes d’améliore avec le temps, mais la prudence est la clé dont 31,1% en 2012 soit le plus élevé depuis et le moins élever étais de 1,7%. Le taux d’inflation (prix à la consommation) était de 0,7% en 2016 et à augmenter de 2% (2,7%) en 2017 ce qui veux dire que les gens consomment plus que l’an dernier.

En 2013, 15% du Royaume-Uni est sous le seuil de pauvreté soit un peu plus du 1/8 de la population. De 2016 à 2017 la dette publique a diminué de 0,4% ce qui est minime vu la grosseur de la dette. À noter que qu’elle comprend beaucoup comme, les titre de créances émis, la dette intra gouvernementale qui se composent d’emprunts du Trésor sur les excédents des fond sociaux (retraite, soins médicaux et le chômage) surtout que les titres de créances sociaux ne sont pas vendus aux enchères publiques.

Excédent budgétaire ou déficit, le Royaume-Uni subit un déficit budgétaire de       -1,9% du PIB en 2017 ce qui nous démontre que les dépense ont dépassé les recettes. Nous pouvons aussi savoir si le gouvernement emprunt ou épargne en divisant le solde budgétaire par le PIB. Le solde du compte courant est passé de     -139,3 milliards de dollars en 2016 à -99,21 milliards de dollars en 2017 soit une diminution de 40,09 milliards de dollars une très belle affaire pour le commerce net d’un pays en biens et services. Surtout avec les revenus nets qui provienne des loyers, intérêts, bénéfices et dividendes.

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