François Nompar

Francois Nompar jeune noble écrivain, fervent admirateur de Montaigne se rendit au bal princier organisé par le prince Henry IV. A son arrivée, il vit Raymond Wolrad un écrivain germanique à l’air guère  sympathique. Pour lui, les idées d’Ambroise Paré sont une certitude.

 Plu-tard dans la soirée les deux hommes se mirent à discuter au bord d’un balcon sur la politique ou ils échangent de longs d’ébats, les deux hommes ne s’apprécient pas beaucoup et très vite leurs discutions s’engagent sur les origines des monstres et leurs fonctions sur terre et le ton commença à monter.

Francois Nombar : « Attendez… monstre ? Vous avez dit monstre ? »

Raymond Wolrad : « Oui ce type de créature dans notre société peux être uniquement nommé comme tel ! »

Francois Nombar : « Comment osez vous, ce monstre comme vous le dites si bien est un être humain, c’est un phénomène naturel et non surnaturel »

Raymond Wolrad : « Arrêtez voyons jeune fou ! Ce n’est pas humain ce genre de choses ! Ils sont créés par des infâmes et rejeter par tous »

Francois Nombar : « Que voulez vous me dire en dénonçant ces gens infâmes ? »

Raymond Wolrad : « Cest monstres sont.. »

Francois Nombar d’un air énervé lui coupa la parole

Francois Nombar : « Ne dites plus ce mot en ma présence si vous le voulez bien »

Raymond Wolrad : « Me couper la parole n’arrangera pas ce débat jeune homme »

Francois Nombar : « Si vous le dites.. »

Raymond d’un aire convaincu et sur de lui même

Raymond Wolrad : « Je poursuis. Ces MONSTRES sont créés au moyen de plusieurs raisons.

La  pratique du (coït a tergo) le fait de copuler tels bêtes brutes !

Les femmes souillées de sang menstruel qui viennent à s’accoupler tels des animaux qui engendreront des monstres terribles encore ! Ce n’est pas naturel ! Tout vient de la volonté de Dieu . Vous et moi nous sommes physiquement pareil. Nous avons été créés naturellement. Ces anomalies ont été jugé par Dieu. C’est lui même qui en a décidé ainsi. »

Francois prudent et raisonnable pris la parole calmement

Francois Nombar :  « D’ou tenez vous ces insanités ? Du ambroise paré je suppose ? »

Raymond Wolrad : « Cest exact »

Francois Nombar : «  Vous savez, votre Ambroise Paré n’a jamais vu mais seulement entendu parler de ces monstres, l’image ne peux être que négative. Montaigne quand à lui m’a prouvé à l’aide de ses textes que le monstre qu’il a vu est un être humain ordinaire qui se tient debout, qu’il marche et qu’il gazouille a peu prêt comme les autres enfants de son âge. Je vais vous dire quelque chose monsieur Wolrad !