L'Abénaki
Commentaire de texte : L'Abénaki. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Random48 • 5 Mai 2021 • Commentaire de texte • 635 Mots (3 Pages) • 700 Vues
Le marquis de Saint-Lambert (1716-1803) , de son nom Jean-François, était un militaire mais il fut également philosophe, conteur et poète. En lisant L’Abénaki on se rend compte que ce texte est un conte philosophique, un apologue. Un apologue a pour but de donner une morale, une leçon de vie, il peut aussi critiquer un ou des aspects de la société tel que les mœurs, les institution religieuses. On se demande alors en quoi se texte un compte philosophique ? Dans un premier temps nous verrons ce qui fait que ce texte est un conte puis nous verrons sa porté moralisatrice.
L’Abénaki est donc un conte, ce texte est court mais il également facile à lire. C’est un récit vivant grâce notamment à l’alternance de temps. Nous avons d’abords l’imparfait par exemple : « Qu’étais-tu », « ne servaient », « ne savais », « Serais-tu », « tremblait »… qui va servir pour faire les description ou les actions longue ou des faits passés.
Nous avons ensuite des verbes aux passé simple : « firent », « arrivèrent », « découvrirent », « protesta », « regarda »… qui servent pour des actions brèves et rapides ce qui dynamisme le dialogue présent dans le texte.
On remarque un dialogue grâce au verbe dire qui est utilisé de nombreuse fois : « dit-il », « lui dit », « il dit », « dit l’Anglais », « dis de le Sauvage » mais d’autre verbe nous ramène à cette idée : « s’écria », « prononça », « ajouta », « protesta ». Dans se dialogue le présente est utilisé : « attendent », « Écoute », « As-tu », « qu’il est », « Sais-tu », « Vois-tu »… Tout comme le passé composé : « t’ai sauvé », « t’ai appris », « t’ai conduit », « j’ai quitté », « j’ai été »… On comprend donc la présence d’un dialogue en l’Anglais et le Sauvage.
Ce dialogue et même tout le récit est dynamiser par les nombreux verbe d’action à l'infinitif : « voir », « combattre », « manier », « nourrir »… rendant la compréhension plus simple et mettant en avant les émotions transmise par les personnages.
Les personnages sont donc l’Anglais et le Sauvage qui ont un semblant de lien père-fils, car le Sauvage le dit clairement à l’Anglais : « tu me dois tout », on peut même dire que le Sauvage à selon lui élevé l’Anglais car lorsqu’il l’a recueillis le jeune homme il ne le voyait que comme un enfant incapable de faire quoi que ce soit de ses mains. L’Anglais en est bien conscient et éprouve un respect pour le Sauvage et les autres Abénakis comme nous le montre l’hyperbole « il aimerait mieux perdre mille fois la vie » signifiant sont attache pour les Abénakis.
Comme dis au début c’est un conte philosophique. Il y a donc une morale mais pour que l’on adhère à cette morale l’auteur
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