Les femmes savantes, littérature
Commentaire d'oeuvre : Les femmes savantes, littérature. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar TARIK0 • 13 Janvier 2018 • Commentaire d'oeuvre • 349 Mots (2 Pages) • 1 073 Vues
Tarik Muranovic
Les Femmes savantes
« Les Femmes savantes » est une comédie écrite par Molière le 11 mars 1672.
Au XVIIe siècle, la société française est divisée en trois ordres dont les fonctions sont hiérarchisées en dignité et en richesse : le clergé, la noblesse, et le tiers-état.
Dans notre œuvre, Molière s’intéressent particulièrement aux femmes nobles.
A cette époque la plus part des femmes sont illettrées et leurs rôle dans la société et de s’occuper des enfants et faire le ménage mais contrairement à tout cela les femmes nobles deviennent de plus en plus cultivées et obtiennent de plus en plus de pouvoir dans la société. Molière, après avoir ridiculisée les précieuses dans sa première comédie de mœurs « Les précieuses ridicules » il s’attaque encore à la préciosité mais plus précisément aux femmes qui se donnent un « air savant ». Lors de l’acte II scène 5 on retrouve la servante Martine qui sort de chez Philaminte dans un état de colère. La servante apprend à Chrysale qu’elle vient d’être chassée injustement par sa maîtresse qui l’a de plus menacée de coups de bâton. Chrysale lui promet d’intervenir en sa faveur. Dans notre passage, après avoir croisée Martine, Philaminte la poursuit à nouveau et ordonne qu’elle s’en aille. Chrysale essaye de protégé Martine mais, menacé à son tour par son épouse il prend lâchement son parti contre Martine. Alors nous allons nous demander comment est traduit le comportement des personnages ? Tout d’abord nous analyserons le comique de la scène, ensuite nous évoquerons la lâcheté de Chrysale, puis nous observerons les effets de stichomythie.
Ce passage est sans doute l’un des plus animée et les plus comiques « Des Femmes savantes ». Nous pouvons distinguer différents types de comiques. Tout d’abord le comique de comportement avec l’affrontement du caractère arrogant et autoritaire de Philamante et le caractère lâche couard de Chrysale. Ensuite on retrouve le comique de mots ou l’on distingue le patois de Martine, ses fautes de langages et le langages pédant des femmes savantes. Le contraste entre ces deux langages met Martine
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