Apollinaire, Zone

OLSéance 3 :L1 « ZONE »(du vers 1à24)

introduction

1er poème:poème liminaire,c’est le poème d’ouverture du recueil il date de 1912 le dernier poème écrit par Apollinaire pour Alcools.

-Clé de lecture du recueil image du recueil

-155 vers= long

-strophes irrégulières

-en vers libres

-recueil=forme cyclique zone qui vient du grec qui veut dire »ceinture,boucle »

problématique:Comment le poète donne t-il dans « ZONE » des clés de lecture du recueil ?

progression du texte : il mélange la tradition et la modernité vers 1 à la 11

                        il fait l’éloge et valorise la modernité vers 11 à la fin

I-le mélange et la tradition

vers 1 : « a la fin » CCT surprenant  car au début du poème , «tu» renvoi au poète parle de lui à la deuxième personne attribut du sujet « las » marque la fatigue la lassitude (écho au vers 3 évoque la lassitude du poète) « de ce monde ancien » CCL=monostiches

vers 2: métaphore entre bergère et tour Eiffel entre les pont et les troupeaux fait référence a Paris mais aussi a la campagne + interjection « o »=monostiches

vers 3:=monostiches CCL « dans l’antiquité

=évoque la lassitude de la tradition et évoque la modernité / paradoxal

vers 4: tercet  attribut du sujet  « ancien » au sujet« automobiles » mélange la modernité et la tradition

vers 5:tercet « attribut du sujet « neuve » alors que la religions est ancienne l’adjectif nouveauté et un nom a la tradition +répétition de religion

vers 6:tercet un mélange de tradition et de modernité  comparaison

vers 7:huitain négation avec « ne pas » + interjection « o » renvoi au registre lyrique personnifie la religions,

vers 8:huitain  superlatif « le plus moderne » conservateur mais beni des aviateur donc il est train de changer rentrer dans la modernité? + vouvoiement marque de respect

choses reste ambigu a qui il s’adresse ?.  trace de la modernité

vers 9:huintain   personnification de la fenêtre = curieux, la honte expression des sentiments donc au lyrisme, renvoi a la tradition ambiguïté qui montre la lassitude une nouvelle ere

vers 10:huitain « ce matin » tremes récurent utilisé au vers 2 10 15 18 19 , contraste avec le début  «  a la fin » + matin symbolyse le renouveau

vers 11:huitain personnification des catalogue symbole de modernité

LE POÈTE FAIT PART DE LA LASSITUDE ENVERS LA TRADITION MAIS UNE ENVIE DU RENOUVEAU LE MÉLANGE ON APPELE CA LE LYRISME RENOUVELE

II-il valorise la modernité

vers 12:  « voila » présentatif qui annonce « ce matin » CCT qui montre qu’on parle d’actualité , « poésie »l’idéé de la poésie nouvelle et « prose » s’oppose par une antithèse

vers 13:locution verbale impersonnelle qui annonce « les livraisons à 25 centime,pleines de manières»

il précise les journaus le prix et le contenu sous forme ennumeration marque la profusion et la modernité avec des rimes suivies tout le long

vers 14 :

vers 15 : «  j’ai vu » = + adjectifs « jolie neuve » eloge de la rue melioratifs

vers 16 : métaphore du clairon du lyrisme renouvelè =mobilise l’ouie la vue les sens et le vocabulaire du sens + thematique de la ville

vers 17 :énumération montre la diversité des passants + les nouvelles technologie de l’epoque steno dactylographes + champs lexical du salariat

vers 18:

vers 19:énnumération + champs lexiacl du bruit = une ville bruyante qui vit + comparaison avec les   peroquets

vers 20: animalisation « aboie vers midi », caractéristiques humains  atribué à la cloche des sentiments « rageuse » bruyante avec sonrité dessagreable

vers 21 :

vers 22 :

vers 23 : « verbes aimer » démonstratifs cette + surprise du verbe aimer qui traduit que c’est agréable

vers 24 : « a paris » CCL une rue qui fait l’alliance entre la modernité et la tradition

en placant zone au debut du recueil célèbre un monde nouveau le symbole de sa quête poétique

ouverture : Blaise Cendras il parle aussi d’une ville nouvelle ce poeme a influence la poésie moderne nottamé apolliooonaire il parle de la ville de new york il y aussi le début du matin puis la fin avec je rentre fatigué je descend a grand pas parle de dieux de la solitude...des pauvres vulgaire mélange aussi modernité et tradition notion de boucle

séance 4 :  « nuit rhénane »

 introduction

premier poème de la section des « Rhénanes »

poème qui est écrit dans les années 1901/1902 lors de son séjour en rhénani c(est a dire sur la rhénanie

au moment de son histoire d’amour avec annie pleyden

composé de trois quatrain et un monostiches

des alexandrins, joue avec la tradition et la modernité,

dans la mythologie rhénane il y a des fées méchantes diabolique

sous la lune(astre néfaste des créature néfaste

bateliers référencer a la mythologie fleuve qui fait le passage du monde du vivant au monde des mort

tout le poème rédiger a la première personne  

ivresse poétique  

problématique:comment le poète illustre t-il l’ivresse poétique ?

Progression du texte :le poète ressent les premiers effets de l’ivresse du vers 1 à 8

                        il contrôle revendique une ivresse maîtrisé du vers 9 à 13

I-les effets de l’ivresse poétique

vers 1 :  « mon » possesifs qui traduit que c’est le siens=parle de lui  + comparaison avec le vin trembleur et la flamme= vivacité et passions ill est peu ivre la vu est troublé. Des le début évocation du vin donne le thème du poème

vers 2 : impératif « écoutez » qui annonce ;il dit comment lire le poeme il s’adresse sûrement à un lecteurs les sens sont mobiliser avec la vu «les couleurs» le mot batelier en fin de vers placé a un enjembament pour le mettre en valeur ref à la mythologie  le charon bateau qui fait passé les ames sur le fleuve du sphinx

vers 3 : prop subordonné relative  « CCL » la lune un astre maléfiques

vers 4 : =Ondines être maléfique qui attire et envoûtent

univers surnaturel qui inquiète autant qu’il fascine le poète

vers 5 :encore de l’imperatif,un univers qui semble etre festif « dansant » ronde »

vers 6 :CCB « que je ne t’attende plus » essaie de s’en protèger « ronde » le cercle semble lme projete cette image de circularité qui protège le poète

vers 7 

vers 8 : :mettez  « impératif » celle qui vont le protéger,l’inverse des sirènes= cela peut être des filles allemende opposition avec ces filles blondes=blonde adjectifs mis en valeurs « aux n

vers 9 : au regard immobile=renvoie au visage des morts

 un poète qui fait ref a deux types de femme une de protectrice une de dangereuse il mélange l’imaginaire(mythologie)et le réél. VOILA COMMENT CE MANIFESTE LES PREMIERS EFFETS DU POETE MAIS LA DEUXIÈME PARTIE VA NOUS MONTREZ QUE C EST UNE IVRESSE MAITRISER

IL IVRE DE POÉSIE LA FIN DU POÈME NOUS LE MONTRE

II-Il contrôle revendique une ivresse poétique

vers 10 : répétitions du mots Rhin+ répetition du mots ivresse+double vision qui montre le trouble personnification on donne des caractéristiques humaines ivre placer a la  césure le moment le plus importants « les vignes » renvoit au vins et à l’alcool =une forte repétitioon de l’alcool les vignes il est voit deux fois(dans le reflets du fleuve)

vers 11 :  « tout  l’or des nuits »=périphrase  pour désigner les étoiles allusion on tremblement renvoit à l’ivresse s ‘y refléter écho au vers 10 ;dédoublement des choses confusion entre le rhin l ‘eau confusion des éléments le poète au centre il ne sait plus =en pleine confusion

vers 12 :chant  funèbres  qui l’envoûte retour de la voix cette voix cette voie on ne sait pas qui c’est (ppoète batelier,deuxième personne » adverbe toujours il entend tout le temps ,il invente des mots c’est un néologisme