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Commentaire composé sur Voyage au bout de la nuit de Céline paru en 1932

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habituellement est assimilé aux enfers, aux éléments associés à la mort, est ici décrit comme allègre et bienfaisant : « C’était gai. ». Le feu à un effet positif sur ce qu'il brûle et est capable d’embellir n'importe quoi de ses flammes :Un petit hameau de rien du tout[…] », « Quand il brûle, de l'effet qu'il peut faire ! ». la nature spectaculaire de l’événement est accentué pas la comparaison que fait l'auteur. la beauté, les couleurs luxuriante ainsi que les motif de la fleure associés au mouvement du feu peuvent faire référencé à un feu d'artifice : »on irait une énorme fleure ».Le soldat éprouve un désintégré tel pour la guerre, qu'il trouve refuge dans la beauté et la gaieté du feu qu'il décrit avec une joie qui semble être de l'humour noir.

Le narrateur est tellement dégouté, horrifié par la guerre, qu'il refuse d'affronter la dure réalité du front, et fuit cette vision atroce en se réfugiant derrière cette description méliorative,active d'un scène pourtant tragique.

Le niveau de langue du soldat nous renseigne sur ses origines sociales modeste. Il use d'un langage oral tout au long de la description : « […]ça nous autres[…] « […]comment que ça brule un village[…] ». ce procédé donne à la scène un caractère réel. Le lecteur a l'impression que la scène se déroule devant ses yeux. De plus, Ferdinand Bardamu s'efface du tableau. Il ne fait que décrire la majeste de la scène en fuyant la réalité tragique de la guerre. La vraie nature du texte est absente de la description, la guerre n'est pas abordé lors du passage. Au contraire, le feu y est omniprésent. Le personnage assiste impuissant au massacre de villages sans remplir ses qualités de soldat de l'armée. Cette description fait office de prétexte face au désintérêt qu’éprouve le narrateur pour la guerre

le narrateur ni laitance de la guerre, il ne fait pas allusion au front lors de ce passage. Il est traumatisé par les atrocité et la dure réalité de la Grande Guerre et se refuge derrière un tableau magnifique qu'il peint tout au long de passage. Il est en admiration devant un véritable buché sans éprouvé le moindre sentiment de compassion envers les victimes. Il semble avoir perdu la raison, avoir été véritablement horrifié par la guerre. A travers ce personnage, Céline nous livre son dégout de la guerre. Il fut lui même soldat lors de la première guerre mondiale et faut donc part de son expérience personnelle.

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