De l'usage de se vêtir

De l’usage de se vêtir, Montaigne

- Les coutumes pervertissent l’état naturel des hommes.

- Un autre argument pour prouver l’idée de l’origine de la nudité originelle c’est que nous ne sommes pas complètement couverts.

- Différences sociales, les vêtements d’un paysan et les siens propres. En général c’est la diversité des hommes. Le code n’est pas universel. Il y a des différences entre lui et un paysan. Question directe, ce n’est pas un syllogisme. C’est lui qui s’interroge.  

- Chaîne d’exemples qui parcours le monde et démontrent son idée principale. Juxtaposition d’exemples.

- Gueux : pordiosero. Différences : les gueux ne sont pas des personnages célèbres, ils sont pauvres. Plus bas que les paysans. Il descende dans les classes sociales.

- Il y a encore des gens d’une autre couche sociale.

- Indiens (nus), les paysans et les gueux (héritiers du monde sauvage, ils représentent les bons sauvages près de la nature).

- Anecdotes qui présentent des variantes → personnes enchaînées (Italiens, roi, Égyptiens…). Numéroté de nombreuses personnes.

- Après on revient à la première personne du singulier et on parte de la coutume. Il va toujours très bien habillé. Il ne va jamais déboutonné. Il est différent des paysans.

- Les paysans qui ne se soucient pas de bien se vêtir sont plus proches de la nature.

- Montaigne s’habille suivant la tradition de sa famille (blanc et noir).

- Deux informations sur lui : la manière parfaite de s’habiller et les couleurs qu’il aime.

- Il y a trois types d’arguments jusque-là : syllogisme, citations (anecdotes qu’il a lu, il interrompre ses idées pour les citer) et

- Il n’y a pas de conclusion. Du début jusqu’à la fin il ne suit pas un ordre, c’est un enchaînement d’idées et de justifications de ces idées.

- Le point de départ c’est de briser la coutume. Ce chapitre est une métaphore de la démarche suivie dans les essais, se dépouiller de toutes les idées qu’il a reçues pour mieux connaitre la philosophie.