Dissertation de français « L’école des femmes »
Dissertation : Dissertation de français « L’école des femmes ». Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar HyFaw • 14 Octobre 2021 • Dissertation • 749 Mots (3 Pages) • 2 033 Vues
Leo heuraux
2nd1
Dissertation de français « L’école des femmes »
Le XVIIe siècle est l’un des siècles les plus riches en théâtre, durant lequel s’illustrent plusieurs artistes comme Corneille et Racine principalement dans le thème de la tragédie, mais un écrivain était plus spécialisé dans la comédie, Molière.
Il a écrit plusieurs pièces de théâtre comme « L’école des maris » en 1661, » les précieuses ridicules » en 1659, « l’avare » en 1668 Mais aujourd’hui on va s’intéresser à une œuvre qu’il a nommée « L’école des femmes », écrite en 1662
Cette œuvre composée de 5 actes met en évidence une personne aristocrate qui se marie, ou essaie de se marier avec une prénommée Agnès, une femme ingénue selon lui mais au fur et à mesure de la pièce un piège se tend à ses pieds et se referme peu à peu.
Un personnage peut il émouvoir le spectateur ?
Dans un premier temps nous allons essayer de voir si à partir du personnage d’Agnès qui est un personnage de comédie, le spectateur peut être ému.
Ensuite nous allons nous poser exactement la même question mais avec le personnage nommé Arnolphe.
Dans un premier temps, je trouve qu’Arnolphe est un stéréotype d’un vieux barbon jaloux, je peux justifier ça car, durant la scène I de l’acte II , Arnolphe fait un monologue qui peut être preuve de folie, amoureuse ou simplement une crise de colère ;il vient de découvrir qu’un « ami à lui », Horace, parle à sa conquête ingénue. Il en vient donc à montrer qu’il commençait déjà à ressentir quelque chose pour Agnès. Cette situation le laisse perplexe et commence à entretenir une relation à double rôle, Arnolphe du coté d’Horace et Monsieur de La souche pour Agnès.
Cette situation est pour lui une aubaine qui au final va se retourner contre lui.
Ensuite durant l’acte IV scène I Horace fait encore une fois un monologue et utilise un langage comique pour exprimer sa colère : « Godelureau », « S’amourache ».
Alors qu’il a conditionné Agnès pendant 13 ans pour en faire ce qu’il en voulait « Mitonner », Agnès le laisse tomber ce qui amplifie sa jalousie.
Arnolphe est hanté par la crainte d’être cocu. Pour échapper aux misères d’infidélité, le barbon Arnolphe a pris soin d’élever dans une complète ignorance d’amour et du monde, une fillette recueillie dès l’âge de 4 ans. Chez Arnolphe, l’obsession de ne pas être cocu tourne à la monomanie, elle le rend ridicule, pathétique, par exemple quand il tombe dans l’excès en parodiant le tragique, tout cela se passe Acte III scène V.
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