La Mémoire De Ceux Qui Ont Oubliées
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En anglais, le livre s’appelle « Sarah’s Key » qui fait donc référence
• L’illustration de première de page :
C’est un montage de photo fait par Julien Bonet. Ces photos proviennent du film « Elle s’appelait Sarah » réalisé par Gilles Paquet-Brenner (2010).
A l’arrière-plan, on peut voir donc le ciel nuageux, un peu confus. Il y a aussi la mer au loin avec un soleil qui brille à l’horizon. Au bord de la plage, on peut y voir une jeune fille blonde habillé en rouge de dos. Et en gros plan, on a une femme, à l’air pensif, habillé d’une veste bleue avec un journal à la main.
On peut donc conclure que la femme au grand plan est Julia Jarmond, la journaliste américaine qui fait un article sur le Vélodrome d’Hiver (le Vél d’Hiv) et par conséquent la rafle du 16 juillet 1942. Lorsqu’elle s’est rendue compte que la famille Tézac (sa belle-famille) vivait dans l’appartement de la famille de Sarah, elle se met à sa recherche ce qui laisse donc penser que la jeune fille sur la plage est Sarah.
III. Document en rapport avec le livre
Source : http://www.jfr.org/images/content/pagebuilder/16459.jpg
Cette photo date de 1942. C’est donc une des rares photographies du Vél d’Hiv lors de la fameuse rafle. Elle a été prise par un certain Yad Vashem.
Cette photo représente bien donc le livre vu que la partie de l’histoire évoquée en grande partie du livre est celle de la rafle du Vél d’Hiv par la police française lors de l’occupation. Le voisinage n’était pas trop au courant de ce qui se passait à l’intérieur. Cette photo est donc un bijou ! On peut remarquer qu’il n’y a pas de siège, les gens sont affalés sur le sol ou debout. Elle représente donc bien la description de la souffrance qu’a vécue Sarah et ses parents dans le livre.
IV. Pertinence et fiabilité
Ce livre est pertinent car il concerne bien le sujet des déportations de la deuxième guerre mondiale. Malgré qu’il soit fictif, il est basé sur des faits réels et ce passe dans des lieux qui ont vraiment existés. A propos de sa fiabilité, le livre étant un roman fictif les faits sont légèrement romancés. Donc il n’est pas fiable.
V. Rapports du livre avec le cours.
• Premier rapport
Extrait du livre : « En 41 et 42, il y a eu une exposition au palais Berlitz, si je me souviens bien, sur le boulevard des Italiens, intitulée "Les Juifs et la France". Les Allemands avaient fait en sorte que ça dure des mois. L’expo a eu un grand succès auprès du public parisien. Mais qu'est-ce que c'était finalement ? Un grand déballage d'antisémitisme. »
(Source : « Elle s’appelait Sarah » page 107)
Extrait du cours : « Le "moral" sur le front et à l'arrière est entretenu par des campagnes de propagande et par la censure des nouvelles "démoralisantes". La Nation doit faire bloc derrière son armée. Les mutineries de 1917 montrent néanmoins que la guerre est insupportable : les sacrifices sont trop élevés compte tenu des résultats sur le terrain »
(Source: Synthèse : "Le Nationalisme, C'est la guerre ?", la guerre totale, III. Censure et Propagande)
On peut donc voir que les Allemands ont utilisés le système de propagande afin de sensibiliser les Français au sujet de Juifs. Ils les ont presque « appris » à détester les Juifs avec, ici, l’exposition « Les Juifs et la France » qui a vraiment eu lieu du 5 septembre 1941 au 15 janvier 1942.
• Deuxième rapport
Extrait du livre : « C’était une chose terrible qui se passait en Pologne, des familles entière avaient été tuées, des maisons brûlées. Ne restaient que des cendres et des ruines. »
(Source : « Elle s’appelait Sarah » page 65)
Extrait du cours : « En septembre 1939, devant le refus de négociation de la Pologne concernant la ville libre de Dantzig, Hitler fait envahir sans déclaration de guerre la Pologne. »
(Source : synthèse « La seconde guerre mondiale. », chapitre 1 : La marche à la guerre, III) L’attitude des démocraties et de l’URSS, conclusion : 2))
Dans cet extrait, on illustre bien les dégâts dus à l’arrivée des Allemands en Pologne.
• Troisième rapport
Extrait du livre : « « Un beau petit garçon que vous avez là », sourit l’officier en passant sa main immense sur les cheveux en brosse de Sarah. « Des yeux bleus, des cheveux blonds, comme chez nous, non ? » »
(Source : « Elle s’appelait Sarah », page 219)
Extrait du cours : « Supériorité de la race arienne (allemand). Les nazis vont faire une politique xénophobe (rejet de l’autre). »
(Source : La Dictature Nazis (1933-1945) : ein volg)
• Quatrième rapport :
Extrait du livre : « Il y avait un mois de cela, sa mère avait cousu les étoiles sur tous leurs vêtements. […] Quelque temps auparavant, leurs cartes d’identité avaient été tamponnées des mots « juif » ou « juive ». Puis il y eut tout un tas de choses qu’ils ne furent plus autorisés à faire. Jouer dans le square. Faire de la bicyclette. Aller au cinéma. Au théâtre. Au restaurant. A la piscine. Emprunter des livres à la bibliothèque. »
(Source : « Elle s’appelait Sarah », page 43)
Extrait du cours : Le Ghetto, où l’on concentre les juifs pour les surveiller, les réprimer et provoquer la révolte (vite brisée comme à Varsovie) ou la mort par privations.
(Source : La seconde guerre mondiale, chapitre 3 : guerre totale et génocide, II) les génocides, a) des juifs, 3) a))
• Cinquième rapport :
Extrait du livre : « Elle sentait les pas juste au-dessus de sa tête. […] « Ces messieurs désirent-ils un verre de vin ? » Les patates cessèrent de bouger. Au rez-de-chaussée, le lieutenant s’esclaffa. « Du vin ? Ja wohl » »
(Source : « Elle s’appelait Sarah », pages 190 à 192)
Extrait du cours : « Les populations civiles sont impliquées dans le conflit soit passivement parce qu'elles sont les victimes des bombardements et des massacres soit activement par la collaboration et la résistance. »
(Source : synthèse : La seconde guerre mondiale)
• Sixième rapport
Extrait du livre : « Les parents partirent directement des camps de Loiret pour Auschwitz tandis que les enfants furent
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