La Vérité Si Je Ment
Compte Rendu : La Vérité Si Je Ment. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresrapidement, son mode d’activation répond a une des logique historique et sociologique particulière et abouti a d constat divers. Pr ce qui nous concerne nous nous bornerons a une explication plu sociologique que réellement historique du phénomène d’artistication du supportérisme dans les stades de football.
LIVRE 2
Le sport est un spectacle et le stade est aussi theatron, c’est-à-dire un lieu d'ou l’on voit. Les épreuves sportives s’offre au regard social. Et de nos jours, a l’ère de la médiatisation généralisé, ce phénomène est exacerbé au point que certaine discipline sportive, insuffisamment valorisé comme le lancé de poids par exemple commence a mettre leur épreuves en musique pour les rendre plus attractives. Conte tenu de son caractère intrinsèquement spectaculaire, il n'est pas étonnant que le sport est pu inspiré les artistes, et ce depuis l’antiquité. L'art contemporain n’a pas négligé ce thème, comme l’exposition d'aujourd’hui le prouve.
N’oubliant pas la dimension géographique du colloque, je citerai NICOLAS DE STAEL qui a honoré à la fois le sport et l'île de France avec un tableau de 1952 intitulé « parc des princes ». On lui doit, la même année, un autre tableau très connu, « les petits footballeurs » où l'artiste réitère son hommage au sport sur un mode purement picturale.
Je citerai aussi, pour une anecdote significative, le publicitaire et créateur médiatique Jean Paul Goude. Il réalisa à l’occasion des jeux olympique de 1996 une sertie de photo ode top model qui se livrai aux épreuves olympique fictives les plus variés comme la course, les agrées, la natation... Sur un plan métaphorique le sportif est pourtant couramment qualifié lui même d’artiste. On a ainsi pu considérer habileté, l'intuition, les facultés d’anticipation, les chorégraphies footballistiques de Platini, Pelé ou Zidane comme de l'art, tout se passant comme si la virtuosité de ces joueurs ne pouvait se réduire a une simple maitrise technique, mais faisait appel a des ressources réellement créatrice, analogue a celle déployé dans l’activité artistique. Tirant les conséquences de cette parenté entre art et sport, depuis une douzaine d’années, les rencontre de l’Art et du Sport de Maubourguet organise tous les été, sous l'égide des ministères de la culture et de l’agriculture, une fête où sportif et artistes échangent leur pratique. La finalité de ces rencontres de l’art et du sport reste décidemment plu festive qu’artistique. Il n'en reste pas moins qu’une tel convivialité entre art et sport ne manque pas de vertu pédagogique.
Je rappellerai une dernière évidence. Pour de multiple raison qui tienne a la foie a la dramatisation de toute confrontation sportive, a l’incertitude des résultats au risque toujours possible de l’accident, a l’implication affective du spectateur, le sport produit des réactions émotionnelles fortes. Or ce trop-plein d'émotion appelle, par définition, la nécessité d’une expression. Il ne faut pas oublier que le spectacle sportif impose au public un rythme alterné de tensions silencieuses et d'exubérance ponctuelle.
LART apparaît STRUCTURE COMME UN SPORT
L'art comme le sport se trouve ainsi traversé par l’esprit de compétition.
Parce que le sport est spectacle, l'art emprunte cette « spectacularité » et l'étend à des domaines parfois inattendus. La danseuse américaine TRISHA BROWN, par exemple, à la fin des années 70, utilisé les technique de l’alpinisme pour réaliser des chorégraphies en escaladant des parois de building. L es match d’improvisation dans le domaine théâtrale où les joutes musicale organisé par BERNARD LUBAT, pour qui la music est un sport, viendrait confirmer cette diffusion de la dynamique sportive au sein de l'art. Mais certains créateurs ont cherché à allé plus loin en ne se contentant pas d’exercer un sport en le détournant de sa finalité (comme c’es le cas pour Trisha Brown), mais en essayant d’opérer une transposition comme a tenté de le réaliser
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