Le Lac, Alphonse de Lamartine

Texte d’appui

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Le sujet de travail

Plan détaillé

INTRODUCTION

• Sujet amené :  

• Époque : 19ième siècle
• Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine
• Titre de l’œuvre/de l’extrait : <>, 10ième poème du recueil <>
• Date et lieu de publication : Publié en 1820 à Paris, France
• Courant, genre et forme littéraires : Du courant du Romantisme, du genre poétique, c’est un poème sur le malheur amoureux.
• Lien avec le contexte : La délusion occasionnée par le rendez-vous manqué avec la femme de sa vie, Julie Charles. Poème directement inspiré de cet amour perdu.

• Sujet posé : Démontrer que dans le poème <>, le poète sollicite la nature de pérenniser (rendre permanent) son bonheur passé.
• Sujet divisé :  

•  La vision de la nature.
•  Sa frustration.
•  La nostalgie du poète.

DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF

I.        (1er argument principal) Le poète est nostalgique

A.        (1er argument secondaire) Il envie l’immortalité de la nature.

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical de la nature

a)        <> (v.3), <> (v.9), <> (v.51)

b)         

🡪        La récurrence des termes, dans ce poème, tend à démontrer la permanence

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) L’accumulation du point d’exclamation

a)        << Ô lac! rochers muets! grottes! forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir>> (v.51-52)

b)          

🡪        On voit alors, grâce au procédé d’exclamation, son mécontentement et sa jalousie.

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Le poète voudrait être capable de contrôler quelque chose.

B.        (2e argument secondaire) Il est triste

1.         (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Le deux-points

a)        <> (v.31-32)

b)         (si nécessaire)  

🡪         Comme le veut le procédé du deux-points, le narrateur tente de convaincre le temps et la nature.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) L’emphase sur le mot <>

a)        <> (v.53-54)

b)         (si nécessaire)  

🡪         Prouve, cette fois-ci au sens propre, son désir de préserver ses souvenirs.

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Il témoigne de son envie de pouvoir sauvegarder les parties heureuses de sa vie.

C.I. :        (conclusion de la partie I) La nature possède ce que le poète désirerait posséder, c’est-à-dire la capacité d’immortaliser un moment.

II.        (2e argument principal) Il est frustré envers les méfaits du temps.

A.        (1er argument secondaire) Ses belles années sont passées.

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Le discours rapporté

a)        <> (v.25-26-27-28)

b)         (si nécessaire)  

🡪         En implorant de faire passer le temps au malheureux, et de le faire arrêter aux gens heureux, il partage son bonheur passé. Les déductions ne doivent pas paraphraser ;a preuve.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) L’utilisation répétée des participes passés liés à la <>

a)        <> (v.10), <> (v.44), <> (v.47)

b)         (si nécessaire)  

🡪         Témoigne de l’importance donnée au passé de l’écrivain dans l’extrait en question.

C.A. : (conclusion du paragraphe A) L’auteur blâme le temps pour son malheur présent.

B.        (2e argument secondaire) Il s’adresse au temps.

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) L’accumulation

a)        <<Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez?>> (v.47-48)

b)         (si nécessaire)  

🡪         Le poète fait passer sa tristesse,

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical du temps

a)        <> (v.35), <> (v.2), <> (v.38)

b)         (si nécessaire)  

🡪         Témoigne de son obsession envers le temps.

C.B. : (conclusion du paragraphe B) En dialoguant avec le temps, le poète nous fait part de sa démence.