Les journaux.
Commentaire de texte : Les journaux.. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Evixdeadnuzh • 26 Février 2017 • Commentaire de texte • 699 Mots (3 Pages) • 590 Vues
Anglais
Tous les jours, les journaux nous rappellent à quel point il est important de bien verrouiller ses portes et d’activer le système d’alarmes, mais malgré cela il existe des problèmes que l’on ne peut pas éviter.
Cette histoire là c’est passé dans une banlieue chez un jeune couple, qui avait décidés de faire garder leur bébé pour la première fois. Comme il ne connaissait pas de nourrisse dans leur quartier et que les grands-mères et les tantes habitaient trop loin, ils avaient trouvés une nourrisse dans les petites annonces. Mais la mère était très nerveuse, c’était la première quel laissée son enfant seul. La nourrisse s’était présenté chez eux, elle était jeune, très jeune. Mais ils n’avaient pas vraiment le choix car s’ils voulaient sortir, ils devaient lui faire confiance. Ils lui avaient fais faire tout le tour de la maison, elle semblait motivé, elle posait des bonnes questions sur les besoins du bébé ainsi que sur le fonctionnement de la maison. Mais la mère lui expliquait qu’il y avait un règlement. Il ne fallait surtout pas toucher à sa collection de poupées. C’était tout une collection, il y en avait de toutes les grosseurs, il y en avait même en porcelaine. La maison en était remplit, il y en avait même dans la chambre du bébé. Après avoir répondu aux nombreuses questions de la mère, la jeune nourrisse parvenait à les convaincre de faire le job pendant quelques heures, surtout que le petit dormirait surement toute la soirée. Le couple s’en allait rassurer et prêt à profiter de ses quelques moments de liberté. Apres tout, ils ne partaient pas pour une semaine, c’était juste un diner entre amis, et cela faisait plusieurs mois qu’ils n’étaient pas sortis. La nourrisse finissait de s’installer pour regarder la télé. Elle regardait une émission d’ados par très intellectuel mais divertissante qui passait ce soir là. Elle se disait que sa serait de l’argent gagner facilement et que la soirée serait très tranquille. Mais un peu plus tard dans la soirée, il y avait quelques chose qui la dérangé. C’était cette espèce de poupée clown géante déposé dans un coin juste à coté du canapé. Elle était entourée d’autres poupée, cela était particulièrement dérangeante, la fille était persuadé que le clown l’observé. Elle essayait d’évité de le regarder mais elle était comme attiré. Elle se disait qu’elle pourrait peut-être la déplacer mais elle ne le faisait pas car elle était vraiment trop effrayante. Soudain la sonnerie du téléphone la surprenait dans ses pensées. C’était le père, il appelait pour savoir si le petit c’était réveillé. Elle lui disait qu’il pouvait se rassurer et que tout aller bien. Et la nourrisse lui demandait si elle pouvait bouger la poupée clown de place ou si elle pouvait la cachée avec drap, mais le mari lui avait rappelé de ne surtout pas touchées à la collection de poupée de sa femme car elle était très strict dessus. La fille raccrochait et continuait à regarder la télé. Mais elle n’arrivait pas à se calmer, la poupée la stresse vraiment, tellement qu’elle commençait même à s’imaginer que le clown bouge. Puis le téléphone l’avait fait sursauter. C’était encore le père, il voulait qu’elle prenne le bébé et qu’elle s’en aille de la maison chez la voisine la plus proche en y attendant les policiers au plus vite. Il lui demandait de ne pas poser de question et de se dépêcher. La fille se dépêcha donc d’aller chercher le bébé sans s’avoir pourquoi les parents paniquaient ainsi. C’était en sortant qu’elle comprenait se qui se passait. La poupée clown géante avait disparu. Mais elle n’avait pas rêvé, il y avait bien un clown dans la maison. Mais ce n’était une poupée mais un pédophile en cavale qui se déguisé en clown pour attiré les enfants. Elle se dépêchait de se dirigeait vers la porte avec le bébé, mais le clown l’a suivait. Le clown l’avait attrapé et mis dans la voiture. Au retour des parents avec la police, la nourrisse et l’enfant était introuvables, il ne restait plus que le drap de l’enfant au pied de la porte d’entré.
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