Les Émeutes Londoniennes Et Françaises

ondoniennes ce qui ne donne pas un bon exemple pour la jeunesse future et qui montre également la violence et la brutalité de ces émeutes londoniennes.

Tandis qu’en France si les émeutes urbaines constituent le mode d’action le plus médiatique car les jeunes sont connu pour ce même type d’action violente qu’à Londres particulièrement de brûler des voitures lorsqu’ils ne sont pas content, un certain nombre de jeunes adultes originaires des cités réagissent à travers un ensemble d’initiatives associatives nationales et locales tels que « music avenir » « association au-delà des mots » qui est une association qui a pour but la promotion de la musique en banlieue c’est donc grâce à une passion que les jeunes pourront s’exprimer de manière pacifiste.

II_ Cause

Que ce soit en France ou en Angleterre les causes de ces émeutes sont à peu près similaires sur quelque point en Angleterre le chômage. Comme nous avons pu le voir dans l’introduction il y a beaucoup d’injustice en Angleterre par exemple existait, et existe toujours certaines discriminations raciales je prends l’exemple de Mark Duggan, un Britannique d'origine antillaise âgé de 29 ans et père de 4 enfants, soupçonné d'être un dealer de cocaïne et d'appartenir au Star Gang tandis qu’il n’y avait pas de preuve a été est abattu au cours d'une fusillade avec la police dans un quartier multiethnique et pauvre de la capitale britannique, le 6 août 2011 à Tottenham. A la mort de ce dernier sa femme affirmait à channel 4 news l’innocence de son défunt mari et réclamait au contraire que justice lui soit rendu. La famille a été d’effectuer une marche de protestation afin que justice lui soit rendu, ce qui a entrainé des émeutes du 6 aôut au soir jusqu’au 10 aôut 2011.

Ces émeutiers sont les produits violents imbéciles et irresponsables des années de récession et de coupes sombres y compris dans le budget d’une police parfois dépassée et corrompu. Ils sont aussi les sujets d’un système qui pousse à l’achat et à la consommation sans forcément avoir les moyens et la possibilité de le faire car aujourd’hui nous ne sommes plus définis par ce que nous faisons mais par ce que nous achetons, les violences ont été caractérisés par des pillages opportunistes ce n’est tant le désespoir d’un ghetto mis à l’écart par la société mais la décadence d’une époque. Ils sont également à l’origine les perdants d’un modèle social peu protecteur d’une politique d’austérité visant à augmenter les impôts et à baisser les dépenses sociales ce qu’ils critiquent fortement et d’une société élitiste. Ils sont les objets d’un univers ou la télé réalité est encore plus populaire et ou tout se passe dans le superficiel et l’immédiat sans le respect de l’humain et ou les personnes vivant dans les quartiers défavorisés sont négliger par l’Etat

En France, les principales émeutes proviennent des jeunes dits « des cités ». Pour cela il faut nous intéresser aux modes de vie de ces jeunes structurés depuis plus de trente ans maintenant autour du chômage, de la précarité et de nouvelles formes de ségrégation et aussi d’injustice comme l’exemple de deux jeunes zied benna 17 ans et bouna traoré 15 ans qui ont trouvé la mort électrocutés dans un transformateur EDF alors qu’ils fuyaient la Police à clichy sous-bois le 27 Octobre 2005 deux policiers ont été mis en examen pour non assistance à personne en danger mais un non lieu a été prononcé en faveur des deux policiers car le procureur a estimé qu’il ne résultait pas de l’information une charge suffisante pour le délit de non assistance en personne en danger ainsi que le délit de mise en danger délibéré de la vie d’autrui et le crime de délaissement de mineur cet exemple prouve encore les injustices de l’état et le dénigrement des classes moyennes d’autant plus que le président n’a pas daigner faire un hommage à ces deux jeunes tandis que pour les deux militaires assassinés le 11 et 15 MARS un hommage a été rendu a Monteauban. Cette situation engendre chez les jeunes une certaine frustration sociale se manifestant sous la forme d’un sentiment d’injustice, plus ou moins diffus. A la fin des années 2000 il semblerait que la situation des jeunes dans les banlieues populaires s’est sensiblement dégradée. Les classes populaires dans leur globalité sont plus que jamais au cœur de la question sociale et se voient définitivement assignées à des situations de chômage, de précarité de pauvreté et de marginalisation sociale. De plus les banlieues étant caractérisés comme des cités ou seul vivent des délinquants et tout autres préjugés les chances pour ces jeunes de réussir sont moins bonne comparé à un