Marguerritte de navarre
Dissertation : Marguerritte de navarre. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar eminha.01 • 28 Octobre 2021 • Dissertation • 1 726 Mots (7 Pages) • 355 Vues
Examen final : Dissertation
Orgon est un personnage, qui est très fourbe, il commet toujours des choses qui ne sont pas dignes, puis c’est un faux dévouer, il se châtie lui-même, et c’est une personne qui a trop de péchés et il dit que c’est une bonne personne, mais c’est tout le contraire. Il est jaloux, accusé d’avoir pris une puce, puis c’est un faux dévouer, donc il se châtie lui-même, et s’il fait trop de bruit pour avoir pris une puce durant sa prière et l’avoir tué avec trop colère, on ne pas voir ses autres péchés. Commettre le péché ne le met pas sur le bon chemin à suivre pour être une bonne personne, mais il ne veut seulement récupérer sa femme.
Après avoir remarqué que Orgon ne fait que malheur plutôt que bien Cléante surprise par ce discours, lui fera remarquer qu’il est fou et que ce discours ne fait que ce moquez de Cléante. Mais Orgon qui est devenu hypocrite les accusera de libertinage, libertines qui signifie critique une ou plusieurs personnes. Les vraies braves sont ceux qui font beaucoup de bruits, les bons et les vrais dévots qu’on doit suivre à la trace. Le libertinage à l'époque était quelque chose de mauvais, dire d’une personne qu’elle est libertine était quelque chose de grave, car on voyait cela comme une personne qui méritait la prison.
2. Pourquoi la fin du Cid n’a pas satisfait l’Académie française et les lois de bienséance? (5)
L'Académie française, fondée par Richelieu, a permis de régulariser la langue qui a été remise entre les mains des linguistes pour la protéger. La langue est un aspect important du nationalisme et son perfectionnement par l'Académie française, les grammairiens et la Préciosité montre à quel point il était important pour l'élite française d’augmenter ce sentiment d’appartenance à la nation au moyen d’une langue parfaite, uniformisée. Le cid de Corneille s’organise autour d’un conflit qui oppose une génération d’enfants à celle de ses pères, et qui remet en question leur qualité de modèle, voire même leur autorité.C’est pratiquement cela qui dérange l'académie, c’est contre les moeurs de la langue française d'écrire et de mettre en scènes une telle dramaturge. Cela a fait beaucoup de bruits et ça rentre en contradiction avec les lois de bienséance de l'Académie française.
Place qu’avait l'humour dans les œuvres de l'époque la classe sociale représentée était soit la classe sociale du peuple (les cordeliers) y avait beaucoup de rires associés. L’humour était associé à la classe qui était dans le bas de l'échelle et quand c'était des classes sociales plus élevées la noblesse et la bourgeoisie, il y avait moins d’humour. L’humour était présent quand les personnages mis en scène étaient de classes sociales basses il y avait plus d’humour.
L’analyse du rire et de la joie dans le texte ainsi que les occurrences d’ironie et d’humour permettent à Mme de Navarre à travers son Heptaméron. Les devisant, néanmoins menacés par la mélancolie, se livrent au jeu de la découverte de l´être humain tout en se sachant dans la main de Dieu. Quels profits vont-ils tirer de cette alternance des activités spirituelles qu´ils poursuivent pendant leurs huit jours au monastère. Apprendraient-ils à pouvoir sourire et rire d'eux-mêmes, bref à se relativiser et ainsi à devenir de vrais courtisans évangéliques ?
La pratique du rire étant dévalorisée par l'Église, la plaisanterie et tout ce qui provoque le rire est également suspecte. La codification du rire, la condamnation du rire dans le milieu monastique résultent au moins en partie de sa dangereuse liaison avec le corps. C'était une pratique mal vue par les religieux, le fait de simple de rire.
La Princesse de Clèves est un roman de Madame de La Fayette, qui fut d’abord publié de manière anonyme en 1678. L'amitié qui est un des thèmes importants de l’oeuvre, est beaucoup présent, ce thème et dans tous les aspects de l’oeuvre, cette amitié est remise en cause, mais aussi influencée par la jalousie et la passion, comment l'amitié est-elle représentée dans la princesse de Clèves, je vais montrer cela à travers mon analyse et mes exemples. Premièrement nous allons aborder l'amitié entre la mère Mme de Chartres et sa fille la Princesse de Clèves, ensuite l'amitié qui est présente entre la Princesse de Clèves et son mari, et pour finir nous allons parler de l'amitié entre le Prince de Clèves et son ami M. de Sancerre.
D’une part la mère de la Princesse de Clèves, Mme de Chartres qui est garante de l'éducation de sa fille ce qui nous donne une importance de la figure maternelle du récit et qui nous montre à quel point la mère était très achevale sur l’éducation de sa fille. Ce qui a été vraiment important dans son éducation et que la madame de Chartres proposait la vertu et l'amabilité pour éduquer sa fille. La mère apprenait à sa fille ce que les autres mères trouvaient tabou d’enseigner à leurs enfants, c’est-à-dire parler d’amour, de mariage et de passion à leurs enfants jeunes, car cela avait un risque, et c’est tomber dans la déloyauté, se faire séduire et finir dans la tromperie, dans le peu de sincérité des hommes, dans l'infidélité, les malheurs domestiques ou dans les engagements. La Princess de clèves qui avait obtenu que des échecs dans ses tentatives de mariages se décidât à se marie avec la Princesse de Clèves avec le consentement de sa mère, bien que ce mariage n’a été celui d’un amour sincère, à la rencontre du Duc de Nemours, la Princesse de Clèves tombe éperdument amoureuse de celui-ci et semble être en contradiction avec les dires de sa mère. Mme de Chartres étant gravement malade et qui apprend que sa fille a fait le contraire de ce qu’elle lui a instruit lui fait cette remarque : 《 songez ce que vous devez à votre mari, songez ce que vous vous devez à vous-même, et pensez que vous allez perdre cette réputation que vous vous êtes acquise et que je vous ai tant souhaitée. 》(Madame de Lafayette, 1678, p.27).
D’une autre part, l'amitié dont Mlle de Clèves porte à son mari qu’elle n’a pas choisi par amour, mais bien par devoir, elle ne songe pas à le tromper au contraire, ne voulant que le bien de son devoir extérieurement, mais intérieurement songeant a l’amour de son bien aimé le Duc de Nemours. Mlle de Clèves a tout fait pour ne pas croiser le Duc, mais hélas il ne faisait que la suivre, a même attendu deux nuits pour la voir. Un jour la sœur du Duc de Nemours se déplace pour aller voir la Princesse et a cette occasion le Duc de Nemours l’accompagne et c’est à cet instant que La Princesse de Clèves se rend compte que c’est lui qu’elle a vu deux nuits auparavant. Le Prince de Clèves qui avait envoyé un espion a reçu une réponse bien troublante a ces yeux, on lui confirma que le Duc de Nemours voyait la Princesse de Clèves et le Prince de Clèves persuadé d'être trahi, trompé rentra dans violente fièvre qui le mena à son lit de mort.
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