« Paris par la fenêtre », par Marc Chagall (1913)

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Revol

Mathys

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« Paris par la fenêtre », par Marc Chagall (1913)

Huile sur toile

Hauteur : 136 Largeur : 141,9 cm

J’ai choisi « Paris par la fenêtre » car ce tableau reflète l’amour du peintre, comme celui du poète, pour Paris.

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« Ophelia » par Sir John Everett Millais (1852)

Huile sur toile

Hauteur : 76 Largeur : 112 cm

    Ce tableau représente Ophélie « flottant comme un grand lys ». Nous retrouvons l’image du fleuve, qui est le topos de la fuite du temps. Ainsi, « L’amour s’en va comme cette eau courante » (vers 13).

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Rare album original sorti en 1957 sur le label ODEON

Texte de Guillaume Apollinaire : « La chanson du Mal-Aimé » Alcools (1913)

Musique de Léo Ferré

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Première de couverture du Roman «Les yeux mauves» d’Alice Mana paru en 2012                                      

    L’affiche représente un œil féminin mauve. La femme est présentée à travers le regard comme dans le poème « Les Colchiques » de Guillaume Apollinaire. La couleur mauve rappelle celle de la colchique, une fleur vénéneuse. Ainsi, il vaut mieux quitter les yeux de la femme bien-aimée car elle peut empoisonner.

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                         « Jumelles sous la neige » par Chantal Urquiza (2014)

                                               Huile sur toile

                                     Hauteur : 50 Largeur : 50 cm

    Le paysage enneigé peut nous faire penser à la référence aux saisons « neige » dans le poème « Marie » de Guillaume Apollinaire, qui marque le passage du temps. Les jumelles semblent s’effacer lentement comme Marie qui se disloque et disparaît dans le poème d’Apollinaire.