Paul Scarron

Paul Scarron[pic 1]

né à PARIS         le 04/07/1610        

mort à PARIS le 06/10/1660      

Paul Scarron est un auteur contemporain du XVIIéme siècle,  qui vivais sous le règne de Louis XIII.

Il est le septième enfant d'une famille de magistrats, il vie une vie bohème et libertine pendant sa jeunesse, avant de rentrais dans les ordres de 1632  à 1640 .  où il deviendra secrétaire de l'évêque du MANS

A partir de 1638,  il fut clouer a sa chaise due a une terrible maladie qui lui fit perdre l'usage de c’est jambes mais ne  perdre une humeur plaisante  .

Il créa le burlesque de part c’est écrit qui sont des comédie comme  «le typhon» (1644)  fait partie de la première épopée burlesque française.

Entre 1648 et 1652 il publiera «Virgile travesti»  qui parodie «l'Enéide» de Virgile.

Il publiera aussi neuf  pièces de théâtre et des poèmes peu ou pas connue  

 Il est principalement connu pour sont célèbre «roman comique» qu'il n'a pas pus achever,il a put publier deux des trois parti , il mourra pendant la rédaction de la troisième partie du  romans.

 «   Chapitre premier : Une troupe de comédiens arrive dans la ville du Mans (incipit du roman)

 Le soleil avait achevé plus de la moitié de sa course et son char, ayant attrapé le penchant du monde (1), roulait plus vite qu'il ne voulait. Si ses chevaux eussent voulu profiter de la pente du chemin, ils eussent achevé ce qui restait du jour en moins d'un demi-quart d'heure ; mais, au lieu de tirer de toute leur force ils ne s'amusaient qu'à faire des courbettes, respirant un air marin qui les faisait hennir et les avertissait que la mer était proche, où l'on dit que leur maître se couche toutes les nuits. Pour parler plus humainement et plus intelligiblement, il était entre cinq et six quand une charrette entra dans les halles du Mans. Cette charrette était attelée de quatre boeufs fort maigres, conduits par une jument poulinière dont le poulain allait et venait à l'entour de la charrette comme un petit fou qu'il était. La charrette était pleine de coffres, de malles et de gros paquets de toiles peintes qui faisaient comme une pyramide au haut de laquelle paraissait une demoiselle habillée moitié ville, moitié campagne   »