Pib Et Les Diférentes Mesure Pour Le Calculer
Rapports de Stage : Pib Et Les Diférentes Mesure Pour Le Calculer. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresLes indicateurs alternatives
Il en existe quatre autres différents :
* Le PIB vert est le PIB auquel on retire la baisse des réserves de ressources naturelles.
* L’indice de bien être soutenable (IBE), est un indicateur alternatif visant à remplacer le PIB.
Le calcul de L'IBE s'appuie approximativement sur la formule suivante :
Consommations marchande des ménages (base ou point de départ du calcul),
auquel on ajoute les services du travail domestique et les dépenses publiques non défensives
puis formation de capital productif et soustrait les dépenses privées défensives
et les coûts des dégradations de l'environnement puis enfin les dépréciation du capital naturel.
* L’indicateur de progrès réel ou variable (GPI), qui est un dérivé de l’IBE auquel on ajoute la contribution positive du bénévolat, des biens de consommations et les infrastructures de transport, puis on soustrait des couts supplémentaires.
* L’indice de bien être humain , il est composé de de différent indicateurs comme ceux relatifs a la santé et à la vie des familles , au revenu et au degré de satisfaction des besoins, à l’économie, au niveau d’éducation et aux moyens de communications …
II. La mesure des progrès économique et sociale
1. Une nouvelle mesure de richesse
Dans son discours d’ouverture de la conférence internationale, Monsieur Sarkozy, propose de développer des instruments de mesure de richesse des nations. Leurs objectifs : mettre plus en avant la mesure du bien être de la population au détriment de la production économique. Mais aussi délaisser le PIB pour se focaliser sur le produit national net (PNN), car celui-ci prend en compte les effets de la dépréciation du capital dans toute ses dimensions. Dans le but de ne plus comptabilisé des choses inutiles, car en cas de catastrophe naturel celui-ci augmente du fait que l’on doit tout reconstruire, alors qu’en revanche on ne comptabilise pas les effets de la catastrophe en elle-même.
Car en février 2008, lors de la création de la commission, les douze recommandations de celle-ci soulèvent des inégalités des systèmes comptables, ces systèmes n’ont pas joué leur rôle d’alerte lors de la crise. Les experts soulignent que nous ne devrions plus favoriser le court terme et favorisé la soutenabilité qui est la capacité économique a maintenir dans le temps le bien être de sa population.
Mais pour le moment tout reste à faire, car Monsieur Sarkozy a bien insister sur le fait que la France ne devait pas être la seule a modifié sa comptabilité.
2. Les progrès économique et social
Le développement économique et social fait référence à l'ensemble des mutations positives (techniques, démographiques, sociales, sanitaires...) que peut connaître une zone géographique (monde, continent, pays, région...).
Il ne doit pas être confondu avec la croissance économique. Celle-ci est habituellement nécessaire ou consécutive au développement mais elle n'en est qu'un aspect. Il existe même des zones en croissance par simple inertie de tendance ou sous l'effet de dopants artificiels de types dits keynésiens, sans pour autant connaître les transformations de structure et la « destruction créatrice » propres au développement, qui assurent sa pérennité. Cela peut conduire à un épuisement des ressorts de la croissance. On peut alors retrouver le phénomène de cycle de vie.
Le développement économique nécessitant notamment de la création de richesses, on associe développement économique et « progrès », puisqu'il entraîne, généralement, une progression du niveau de vie des habitants. On parle alors d'amélioration du bien-être social (au sens économique). La volonté de concilier simple développement économique et progrès ou amélioration du bien-être a mené à forger, à côté des indicateurs de développement traditionnels (PNB, PIB), d'autres indicateurs, tels que l'indice de développement humain (IDH), qui prend en compte la santé, l'éducation, le respect
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