Rapport de lecture "Les Héros"
Commentaire de texte : Rapport de lecture "Les Héros". Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Angelina Egorova • 8 Mars 2016 • Commentaire de texte • 1 060 Mots (5 Pages) • 1 100 Vues
Rapport de lecture : «L'Étoffe des Héros»
Depuis ces dernières années, la puissance marketing des personnes publiques ne cesse de croître.
En effet, la représentation de «people» à forte notoriété constitue une vraie valeur ajoutée pour l'identité d'une marque à condition que l'image voulu et l'image perçue soit en adhéquation.
Pour comprendre ce phénomène, nous analyserons le point de vue de Claire Biyache, auteur de l'article «L'Étoffe des Héros» parue en juin 2015 et publié dans L'Équipe Magazine appartenant au groupe Amory.
Ce support média fédère son lectorat autour de l'univers sportif en proposant des articles de fond tel que celui nommé ci-dessus.
Claire Biyache affirme qu'une histoire efficace doit être authentique et réel. Elle interrogea donc une référence dans l'art du langage Bruno Lalande pour connaître son point de vue.
Bruno Lalande est le directeur stratégique de REPUCOM, qui est une agence mondiale d'études en marketing sportif. Il aide les agents sportifs, les marques, les célébrités a maximiser leurs résultats et a atteindre leurs objectifs stratégiques part le biais de données, de recommandations, de conseilles et d'accompagnement personnalisé.
Selon Claire Biyache, la maîtrise de la parole représente la clée du sucèss de Bruno Lalande c'est l'art de raconter une histoire, en marketing celà s'appel le story-telling. Elle souligne également le faite que l'humanité a vu sa culture renforcé en terme de communication et de lien social, c'est la raison d'être des égéries.
L'art de communiquer a beaucoup évolué depuis 1990, Claire Biyache l'exprime par un leadership difficile a détroné de part les logiques de communication émises. Les campagnes de publicité recrute des techniciens experts en management et en digital dont le but est de formater les esprits des consommateurs car les professionnels du story-telling ont compris que l'imagination est très lucratif.
D'après l'auteur, l'objectif premier est de touché directement la cible souhaité car toutes personnes à besoin d'un héro, d'un symbole propre a l'attente des marques et des individus divers.
L'égérie choisit doit avoir un caractère adapté et correspondre aux attentes de l'annonceur, son histoire doit véhiculer une image positive, rempli de réussite et en cohésion avec le message.
Dans cette même optique, Claire Biyache sollicita l'avis de Mariette Darrigrand, sémiologue spécialiste de l'analyse du discours médiatique et directrice du cabinet d'étude « Faits et Signe ».
Selon ses dires, l'appétit des marques pour les égéries s'explique par une argument majeur, l'égérie est au cœur des séries, des romans, leurs succès correspond à une sous-culture qui consiste à composer des œuvres mais en s'appuyant toujours sur des personnages aux problématiques bien distinctes, sur des accumulations d'archétypes. Les personnages eclipsent le fond du récit par le paraître établi.
Mariette Darrigrand note depuis 15 ans une transformation de la litérature en pure fantaisie avec «l'art de l'égérie».
Claire Biyache lui fait alors par de son interrogation face a cette nouvelle art qui crée vraisemblablement un besoin de repère, qui au final semble être une bonne nouvelle.
Mariette Darrigrand lui rétorque que cela représente dans tout les cas une forme de résistance au péssimiste ambient ce qui apporte un avis plutôt positif sur la question malgrès quelques abstentions.
L'auteur ne peut que constater que le sponsoring est aujourd'hui dépassé et que les maisons de luxe et le monde de la mode profitent de ce nouveau canaux de transmission. Puisque l'endorsement possède un fort potentiel addictif qui donne l'envie au public de revenir,
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