Reportage issu d’un journal télévisé de la chaîne PBS news

Ce document est un reportage issu d’un journal télévisé de la chaîne PBS news.

On y retrouve une présentatrice ainsi qu’un reporter du nom de Miles O’Brien et une personne interviewée appelée Hao Li. Le thème principal de ce reportage est l’utilisation du « Deepfake » qui est une vidéo modifiée dans le but de prendre l’apparence et/ou la voix de quelqu’un d’autre.

        Dans un premier temps, on retrouve la présentatrice de ce journal télévisé qui annonce le thème du jour qui est le l’inquiétude grandissante face aux vidéos du nom de deepfakes. Celles-ci sont de plus en plus sophistiquées et peuvent porter préjudice à la sécurité d’un pays. Elle conclue son introduction du sujet en disant que ces vidéos qui peuvent être faites dans un but récréatif peuvent être manipulées à des fins néfastes.

        Ensuite, le reportage se concentre sur le cas de Hao Li qui est un professeur à l’université « Southern California » mais également le co-fondateur de l’application Pinscreen. Cette application permet aux clients de faire en temps réel des avatars en 3D qui leur ressemble pour l’intégrer dans des jeux de réalité virtuelle et pour du shopping en ligne.

        De plus, nous avons l’avis personnel de Li sur ce sujet qui explique que le but premier de cette application était de créer un outil drôle et divertissant pour faciliter les effets de mode et le style de vie des clients.         

        Enfin, on nous explique le principe de ces deepfakes qui reprennent les visages de personnes synthétisées par ordinateur pour les transposer sur un visage en temps réel. Par exemple ici, Li et le reporter imitent des personnalités politiques comme XI Jinping, le président de la Chine ou encore Vladimir Poutine, le président russe. Ces passages vidéo sont assez drôles, Li imite Poutine en disant qu’il aime la vodka.

        Pour finir, la voix off explique que ces technologies se développent de plus en plus rapidement grâce aux ordinateurs de plus en plus compétents et à l’intelligence artificielle qui utilise une technique appelée en anglais « machine learning » rend ces deepfakes de plus en plus difficile à détecter à l’œil nu. En simultané, ce passage du reportage montre des exemples de deepfakes sur des passages de films ou des vidéos d’acteurs et présentateurs connus. On peut reconnaître par exemple l’acteur Shia LaBeouf tout à la fin.

        En conclusion, la technologie des deepfake est de plus en plus avancée et peut se répandre partout puisque des applications de divertissement la développe facilement. Avec le temps, on comprend qu’il va être de plus en plus difficile de repérer ce qui est vrai de ce qui est faux avec les nouvelles technologies. Ce reportage traite d’un sujet sérieux puisqu’il passe dans les journaux télévisés d’une chaîne américaine mais cela est abordé de façon plutôt humoristique puisque les exemples montrés sont drôles. Il ne faut pas perdre de vue que ce document tend à démontrer les dangers des deepfakes. Les intervenants de cette vidéo sont tous d’accord sur les possibles dangers de cette technologie.