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Au rendez-vous allemand

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teur tout-ce que Péri avait-les choses pour lesquelles il était enfin mort, et des choses positives que tout le monde admire. La troisième fois qu'il répète la mort de Péri, il finit la phrase d'une façon contraire au dernière deux. Péri " continue la lutte "-cette phrase est dans la forme affirmative. Péri lutte " Contre la mort contre l'oubli "-cette phrase introduit des choses plus négatives dans le deuxième vers du pair au lieu de quelque chose de positif qu'il a déjà. Ce système d'opposition et de contraste dans cette strophe fait rappeler les caractéristiques positives associées avec Péri et la lutte dans laquelle il ne peut plus participer directement, et on commence à penser de Péri avec la pitié et l'admiration.

Les rimes de cette strophe aident aussi à lier les mots et phrases importantes de ce poème. " Vie " dans le deuxième ver et " oubli " dans le sixième ver rime, et on les lie dont plus automatiquement.

Ces deux mots décrivent deux choses qui sont dans ce poème complètement contraire à un l'autre-la vie est associée avec la bonté, l'espoir et la mémoire, pendant que l'oubli est associé avec la mort. Les idées des vers sont aussi liées ; l'idée dans le deuxième vers d'être ouvert à la vie et de la bienvenir est comparée avec celui de la sixième strophe qui finit l'idée de combattre la mort et l'oubli. " Route " à la fin du troisième vers aussi rime avec " lutte " à la fin du cinquième vers. La liaison entre ces deux mots est très important à cause du message d'optimisme et de résistance que Éluard veut communiquer. Il veut encourager le lecteur de suivre la même route que Péri, de combattre l'injustice et l'oppression allemand même si ça porte de danger à soi-même.

Dans la deuxième strophe, Éluard reconnaît plus spécifiquement le vœu que tous aient d'être comme Péri ; libre, indépendant, sur de soi-même, et assez courageux pour s'exprimer. La répétition encore aide ceci, surtout dans les premiers trois vers avec le verbe vouloir. Le deuxième et troisième vers encore utilisent la répétition de presque la même phrase avec l'exception du temps pour indiquer la duration du vouloir ; " Nous le voulions aussi / Nous le voulons aujourd'hui. " Cet effet devient plus fort à cause de la rime et la répétition de sons similaires entre " aussi " et " aujourd'hui. " Les quatrième, cinquième, et sixième vers de cette strophe renforce les idées positives de l'idéel vers laquelle Péri travaillait. Il décrit " le bonheur…Et la justice sur la terre. "

Cette référence à la justice se fait même penser de " Libérté, Égalité, Fraternité, " qui est toujours l'idéel du gouvernement et du peuple de la France. Éluard veut affecter le lecteur émotionnellement pour aider à le convaincre de ses idées résistantes. Il fait référence à la sentimentalité-" la lumière / Au fond des yeux su fond du cœur. " Le cœur est associé avec l'amour, l'amitié et la générosité, et les yeux, avec l'esprit ou l'essence d'une personne. Toutes ces choses sont des aspects émotionnels mais admirés, et c'est une grande partie de ce que le lecteur tiendra enfin de cette strophe et du poème dans sa totalité. Dans ces trois vers, la rime entre " lumière " et " terre " lie de plus les idées exprimées ici. La liaison entre ces mots suggère aussi l'espoir qu'il y a du bon (la lumière) dans ce monde (la terre) qui peut encore lutter contre tout. L'espoir sera donc une autre émotion que le lecteur tiendra avec soi.

La troisième strophe devient une liste de tout-ce qu'on voudrait et tout-ce qui est valable dans le monde social des hommes. Il introduit chaque mot, les donnant chacun presque un titre de " le mot. " Chaque vers devient plus long que celui qui précède. Éluard lie les introductions des mots qui sont dans le même vers avec " et " après les premiers deux, et les mots deviennent plus longs. Ces aspects de longueur et de répétition montent la tension dans cette strophe, qui est déjà plus long que les autres à cause de sa forme comme liste. Cette tension est agrandie même plus par le manque de ponctuation partout dans ce poème, même dans les strophes précédentes, jusqu'à la fin du poème.

Dans le cinquième vers de la fin, le vers et tout d'un coup plus court : " Ajoutons-y Péri. " On ajoute à cela qu'on trouve la première rime des vers entre ce vers et celui qui le précède, entre " amis " et " Péri. " Il est assez important que ces deux mots soient ceux qui riment, pas seulement à cause de leurs positions dans le poème, mais aussi parce qu'ils vont bien ensemble. Éluard veut bien que le lecteur finisse à lire le poème avec l'impression distincte que non seulement était Péri quelqu'un d'admirable, il était aussi un ami, quelqu'un qui a battu pour les mêmes idéologies que soi. N'importe quel résistant de l'époque serait bien heureux d'avoir un ami comme Péri, et on lui aurait donné ce titre sans problème. Souvent les résistants pouvaient et même devaient faire référence à l'un l'autre comme amis très justement, parce qu'ils étaient tous unifiés idéologiquement. Mais il est plus important que ce vers est si court en comparaison avec celui qui le précède. Ça laisse rester la tension autour du lecteur, et le laisse penser de ce que le poème vient de dire.

Les derniers quatre vers, encore partis de la troisième strophe, réintroduisent les idées les plus importants du poème. Péri est admiré dans sa mort comme héros pour avoir lutté

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