L'Assomoir

e la paraisse. Il se repose sur son épouse Gervaise et exploite son salaire. Il devient définitivement alcoolique. Son ivresse se dégrade petit a petit. Au final il devient fou méchant agressif et menace Gervaise de l’abattre. Notamment Gervaise est issue d’une famille alcoolique. Elle buvait dés son plus jeune âge puis adulte elle s’oppose strictement a l’alcool mais retombe dans l’ivresse. Il y a une déchéance morale et physique jusqu'à la mort. Ainsi Zola illustre l’hérédité de l’alcoolisme.

Toutefois l’écrivain s’écarte du naturalisme

Zola a une vision noire du monde ouvrier. En effet il accentue la souffrance des personnages par des hyperboles, il n'est pas objectif, il assombrit la situation, il n’hésite pas a utiliser des images fortes, et des scènes frappantes souvent emprunté aux mélodrames. Il a une vision pessimiste qui va sur le pathétique. Tous les ouvriers sombrent dans l’alcool car c'est le seul moyen pour eux d'atteindre un paradis artificiel, nous pouvons remarquer que la vie de Gervaise se dégrade tout au fil de l’histoire, tout le malheur est tombé sur elle, elle qui ne parvient même pas a atteindre son simple rêve qui était de "vivre dans un trou propre avec un mari qui ne la bat pas".Notamment la famille Bijard avec l'épouse qui meurt maltraité par son mari alcoolique sous les yeux de ses enfants impuissants. Zola nous montre la vie des ouvriers sous un angle triste, malheureux, mélancolique et misérable.l les personnages du roman sont des hypocrites comme Virginie ou bien Lantier, les Lorilleux sont des jaloux des envieux et des ingrats.

Par ailleurs, l’écrivain donne aux personnage des noms d'animaux tels que Mme poisson, Mme Putois, Mme Lerat et bien d'autres. De plus il attribut des surnoms a certains personnages la Banban pour Gervaise, Gueule d’or pour Goujet, cadet cassis pour coupeau. Nous y retrouvons ainsi une certaine ironie. De plus Zola idéalise certains personnages comme Goujet ce dernier incarne le personnage parfait. Aucune critique n’a été mentionné sur lui, lui qui est parfait, sobre, généreux, économe travailleur qui ne manque aucune journée de travail, bon ouvrier, poli. Il incarne la force du bien. Notamment Lali Bijard, l’ainé qui s’occupe de se frères et sœurs malgré son père qui l’abat

Zola utilise rapporte la parole au style indirecte libre afin de dissoudre la parole omniscient du narrateur, il utilise un procédé d’écriture enrichi en métaphores poétique et d’images

notament lorsqu'il décrit les personnages "ce son des bête de somme"; "on entend un piétinement de troupeau". Gervaise est souvent comparée a un mouton et a une mule dévouée, son rêve "avoir la niche et la pâtée", les Lorilleux sont comparés a des araignées, Mme lorilleux est "la femelle de son mari", Virginie et Lantier sont "des chats", Coupeau un "singe".Une fois de plus Zola donne son point de vue a travers sa vison des ouvriers.

Conclusion :

Malgré sa documentation approfondie, des enquêtes sur le milieu ouvrier, la vie des personnages , ses visites sur le terrain, et les appuis sur les faits réels dont il a entendu parler et sur ses expériences personnelles, Zola dépasse le naturalisme comme nous l’avons vu il n’est pas totalement