Le Barbier de Séville ou La précaution inutile
Rapports de Stage : Le Barbier de Séville ou La précaution inutile. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresecs, mais rien n'a entamé sa vitalité et sa joie de vivre. Il dirige les opérations pour empêcher le mariage de Rosine : en effet, il donne les idées et conseille le compte.
L’HISTOIRE
ACTE 1
A Seville, Le Compte Almaviva se fait passer pour un étudiant sous le nom de Lindor. Il cherche à seduire Rosine, une jeune fille qu’il a rencontrée au Prado. Mais cette dernière est promise à Bartholo, un medecin avare et brutal. Rosine, désespérée, lâche un papier de sa fenêtre pour demander à son soupirant de se faire connaître. Ayant rencontré Figaro, son ancien valet, le compte décide d’empêcher le mariage forcé de Rosine avec Bartholo. Le valet étant au service de Bartholo ( barbier et apothicaire ), élabore un plan : il mettra a mal toute la maisonnée par quelques médication puis le Compte, déguisé en cavalier, se présentera chez le medecin avec un billet de logement et ouera le soldat ivre pour endormir tout soupçon. Mais Bartholo découvre s’être fait duper et accélère son mariage avec Rosine grâce à Don Bazile, le maître de musique. Rosine se rend compte que son courtisan est le Compte Almaviva.
ACTE 2
Rosine et Lindor partagent leurs sentiments, et Figaro permet aux deux amants de s’écrire. Lorsque Bartholo arrive dans la pièce, Figaro se cache. Rosine avoue finalement avec vu Figaro. Rosine sort, irritée. Bazile informe le docteur que le compte Almaviva est en ville et qu’il se deguise tous les jours. Il accuse donc le compte pour l’éloigner de Rosine. Il avance la date de son mariage avec l’aide de Bazile qui reçoit de l’argent. Figaro prévient Rosine de la date du mariage. Le compte, déguisé en soldat, entre dans la pièce. Il tente de donner une lettre à Rosine mais le medecin s’en aperçoit et envoie Rosine dans se chambre. Bartholo accuse Rosine d’avoir écrit une lettre au compte, celle ci se debrouille pour echanger sa lettre avec celle de son cousin. Lorsqu’elle feint de tomber dans les pommes, le compte prend la lettre et reconnaît son errreur en s’excusant. Le couple se reconcilie et Rosine s’en veut car dans la lettre du compte, ce dernier lui recommandait de faire durer la querelle.
Acte 3
Peu après, le comte se présente à nouveau chez Bartholo, cette fois déguisé en maître de chant, Alonzo. Il prétend être le remplaçant de Don Bazile qui serait atteint d'une maladie.
Bartholo le croit. D'abord réticente, Rosine reconnaît Lindor et accepte une leçon de chant qui se transforme en duo d'amour. Arrive Figaro pour accomplir son office de barbier. Il renverse la vaisselle afin d'attirer Bartholo dehors. Quand Don Bazile fait irruption dans la maison, la vérité menace d'être découverte. Grâce à une bourse d'argent et quelques petits commentaires sur sa capacité à réflechir, Don Bazile est mis à la porte... Alonzo réussit à se débarrasser de Don Bazile et à préserver la supercherie.
Acte 4
Bartholo et Don Bazile s'accordent sur le mariage qui devra avoir lieu à minuit. Mais le notaire est retenu par une ruse de Figaro qui feint le mariage d'une nièce. Bartholo apprend à Rosine que son bien-aimé Lindor est en vérité le messager du comte Almaviva, et il le prouve en lui montrant la lettre que Rosine lui a écrit le matin même. Rosine est humiliée et promet sa main à Bartholo.
Dans la nuit, pourtant, Figaro et le comte montent dans l'appartement de Rosine et font entrer le notaire et Don Bazile après que le comte eut dévoilé sa véritable identité à Rosine, qui tombe sous le charme, désormais convaincue qu'Almaviva (Lindor) l'aime vraiment. Le mariage est signé juste quelques instants avant que Bartholo ne revienne à la maison. Don Bazile a signé en tant que témoin.
UNE SATIRE
Par l'intermédiaire de Figaro, le personnage par qui Beaumarchais fait passer ses messages dans la pièce, l'auteur fait une satire de la noblesse. Il défend aussi la condition des valets.
THEMES ABORDES
La liberté d’expression.
Le valet ( Figaro ) est le porte parole de Beaumarchais dans la pièce, en effet, l’auteur lui accord un long monologue. Ce choix explique la liberté de ton de Figaro.
La critique sociale.
Figaro, le valet, se permet de critiquer ouvertement son maître, en lui reprochant son comportement. Ce thème est aussi abordé avec Suzanne qui critique le libertinage et la malhonnêteté du Compte. Figaro s’attaque aussi aux privilèges de la noblesse.
L’injustice sociale.
Beaumarchais
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