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Le rapport scientifique

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Par   •  17 Avril 2019  •  Cours  •  2 006 Mots (9 Pages)  •  620 Vues

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Éléments pour la rédaction du rapport scientifique

CC de biostats le 24/04 de 10h à 11h.

CC rapport en trinômes à rendre avant le 30/04 à 16h.

  1. Les données

Les interactions symbiotiques Légumineuse-Rhizobium sont elles spécifiques.

On a 456 nodosités à analyser.

On nomme les symbiovars avec les lettres, de A à L (ou plus si on en a plus).

TD2 : on comparera nos résultats de gels à ceux déjà trouvés les années précédentes, mais c’est pas exclu qu’on en ait de nouveaux. En biostats, on regardera comment les données se distribuent. On regardera aussi d’autres données morphométriques : les formes des nodosités, la masse fraîche des racines, de la plante entière, le nombre de nodosités par gramme de racine etc. Le nombre de nodosités par gramme de racine peut informer sur l’effet de la symbiose sur la plante (si elle est plus encline à développer des nodosités ou pas).

Sur moodle : PDF des consignes pour le rapport.

Après le TD2, on aura les photos des gels de TP et le tableau de la compilation des données.

  1. Le rapport scientifique
  1. Restitution du rapport

Le rapport se fait en trinômes. Il est à rendre avant le 30/04 à 16h. Il faut utiliser les consignes sur moodle, il y aura des pénalités (points en moins) si les consignes ne sont pas respectées.

Il faut rédiger le rapport sous la forme d’un fichier pdf. Il faut nommer le fichier L2BioEx_Noms. Il faut l’envoyer par e-mail en pièce jointe (fichier attaché). herve-gryta@univ-tlse3.fr. Dans le message, on redonne les noms.

  1. Le sujet du rapport

Il faut traiter la question principale en bioex : les interactions symbiotiques entre légumineuses et rhizobiums sont-elles spécifiques ?

Pour répondre à la question, on va se baser sur la compilation de toutes les données de la promo et de tous les sites. Mais il faut trier, on va éliminer les données inutiles par rapport à la question (notamment des choses qu’on va faire en biostats qui ne nous aideront pas dans le rapport). On va voir besoin des données des symbiovars des nodosités de tous les sites et de toutes les plantes (deux colonnes uniquement).

  1. La rédaction du rapport – consignes

Il faut mettre à profit tous les enseignements de BioEx. Le rapport doit être rédigé sur ordinateur en français. Il doit avoir l’aspect d’une publication scientifique : ce n’est pas un rapport de TP ! Il comprend trois éléments : une première page (page de couverture), un développement, et une page à la fin. On ne mettra pas d’annexes.

  1. La première page :

Titre, nom des autreurs, résumé, mots-clés.

Il faut obligatoirement : Rapport L2 BOPE Biologie et Ecologie Expérimentales, année 2018-2019/Titre/Prénoms et noms/Résumé de 200 mots maximum/4 mots-clés.

  1. Développement

Il se compose de quatre parties : Introduction/Matériel et méthodes/Résultats/Discussion.

On peut rajouter des sous-parties, mais les quatre sont obligatoires.

Il faut respecter le format : 2000 mots maximum dans le développement. Il faut mettre entre  2 et 5 illustrations (figures et/ou tableaux).

On doit être en format A4, avec des marges de 2.5 cm, des interlignes de 1.5 lignes. On doit écrire en Times New Roman, 12.

  1. La page de fin

On doit respecter les mêmes consignes sauf qu’on a le droit de mettre al talle de police et les interlignes qu’on veut. On doit suivre une présentation des références imposées. On doit aussi faire des références bibliographiques ou iconographiques (qui ont des consignes particulières).

Il faut citer les références dans le rapport entre parenthèses, et les lister à la fin dans la partie références bibliographiques, dans l’ordre alphabétique.

Si il y a plus de deux collaborateurs sur une référence, on met le nom du premier auteur et ensuite on met et al. Il ne faut pas faire de plagiat, rédiger avec nos mots à nous.

Normalement, le nombre de références citées dans le rapport est égal au nombre de références listées dans la partie « références bibliographiques ».

Présentation des références :

→ Publication d’une revue scientifique : Auteur : nom + initiale. (année). Titre de la publication. Nom de la revue numéro : page-page.

→ Livre, ouvrage

→ Chapitre d’un livre, ouvrage

→ Autres travaux (rapports, thèses, cours, documents)

→ Sites internet

Il faut essayer de lettre des références bibliographiques intéressantes.

CF MOODLE

  1. La rédaction scientifique
  1. Le texte scientifique

Il faut faire des phrases courtes avec une seule idée par phrase pour bien comprendre ce qu’on veut dire. Le sujet d’une phrase est l’objet étudié, les données qu’on utilise. On emploie souvent la forme passive dans le rapport pour que le sujet soit l’objet étudié et pas nous même. On peut utiliser un peu le nous et le jeu mais il ne faut pas en abuser. Il faut donc éviter le « on », il faut centrer le sujet étudié. Il faut faire des paragraphes.

Il y a quatre parties imposées, mais on peut rajouter des sous-parties, surtout pour « matériel et méthodes » et « résultats », mais il n’est pas obligé d’en faire dans l’introduction et la discussion. Il faut aller directement aux faits. Il ne faut pas faire de phrases « cosmétiques » vides de contenu scientifique, pour faire joli.

  1. Les illustrations scientifiques

On trouve soit des tableaux, soit des figures (ou les deux). Il faut numéroter les illustrations et les légender. Le titre du tableau se met au dessus du tableau. Il faut numéroter dans l’ordre dans lequel on les cite dans le rapport. On dissocie la numérotation des tableaux et des figures, on cite entre parenthèses. Le titre sur les figures se met en général au dessous.

Il ne faut pas faire de figures et de tableaux inutiles (puisqu’on doit être spécifiques).

Il faut éviter les tableaux où on n’a qu’une seule ligne de données ou les diagrammes avec une seule donnée et privilégier les tableaux, diagrammes en bâtons etc qui comparent des données.

  1. Titre, résumé, mots-clés

On les trouve sur la première page. C’est ce qui va être lu en premier, et va donner envie au lecteur ou pas de continuer, il faut essayer de donner une bonne impression.

Pour le titre, il faut donner une idée du rapport en un minimum de mots, il faut donc être précis.

Le résumé est un condensé des quatre parties du développement. Il doit être attractif et clair. Il ne faut pas donner d’autres résultats et informations que ceux donnés dans le rapport. Ce n’est pas une introduction mais une conclusion. On doit aussi résumer nos interprétations dans le résumé.

Il faut trouver uniquement quatre mots-clés (spécificité, et trois autre).

  1. Introduction

ça doit être un entonnoir à idées. On part d’un point de vue général qui am_ne à un point de vue particulier, où on pose notre question, nos hypothèses ; ça annonce le plan : on voit le fil conducteur de ce qu’on va faire dans la suite du rapport.

Il faut présenter le contexte de l’étude et introduire l’état de l’art. On appâte, sucite des questions, et on montre l’intérêt de l’étude. Ensuite, on apporte les informations nécessaires à la compréhension du sujet : on cerne le sujet (attention aux hors-sujets). On arrive alors au point de vue particulier.

À la fin de l’introduction, on aura la question posée (sous sous une phrase ou posée directement). Il faudra ensuite mettre les objectifs et la démarche.

Deux objectifs principaux :

→ Discriminer par PCR/RFLP du gène NodCdes symbiovars dans les nodosités des plantes

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