L'anglicanisme
Cours : L'anglicanisme. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar mehdichaoui • 25 Novembre 2015 • Cours • 1 457 Mots (6 Pages) • 999 Vues
Géographie sociale
Pourquoi parler de géographie sociale ?
-C’est une science qui est pratiqué par des acteurs donnés
➔Se définie par rapport un espace (terrestre, ou au cosmos : la cosmographie, donc une première écriture géographique ; cette science n’est pas réellement définie par une frontière terrestre)
C’est avec les géographes allemands (K.Ritter et F.Ratzel) que s’emerge la géographie comme étant une science. Avec comme idée que la géographie doit s’appuyer sur un déterminisme, qui veut que la nature détermine les activités humaines.
➔Paradigme determinisme
En France, c’est après la guerre franco-prussienne que l’idée de faire de la géographie s’installe, afin de prendre la revanche sur l’Allemagne.
Possibilisme : La nature propose et les sociétés disposent.
Le systemisme : Le fait de considérer une approche en fonction de systèmes. Pour les géographes, le monde est un système, c’est un régime de causalité circulaire (cf :Von Bertallanfy).
Nous avons 3 grands paradigmes émis en géographie :
-Le determinisme
-Le systemisme
-Le possibilisme
E. De Martonne : il a redessiné les frontières de l’empire Austro-hongrois au lendemain de la première guerre mondiale.
En 1945, Pierre Georges publie Géographie sociale du monde.
La géographie s’inscrit dans le champ des sciences sociales, donc si la géographie est une science sociale, comment peut exister la géographie sociale.
En France la géographie sociale est concentré principalement dans une grande région : L’ouest de la France (cf : Roger Brunet le père fondateur de la géographie contemporaine)
➔Merci à lui !!!
En 1976, A.Frémont consacre un article sur la géographie sociale selon plusieurs postulats : Il faut être Marxiste pour faire de la géographie sociale.
➔Inégalité sociale cf le courant de pensé de Karl Marx
Tout espace est un sujet et un objet : il est régit par une relation dominant/dominé : démarche pluriscanaire.
On va étudier la géographie sociale et la comparer à la géographie culturelle.
-La géographie sociale vient des Etats-Unis, issus de l’école de sociologie de Chicago.
➔On cherche à modéliser la ville de Chicago.
La géographie sociale s’est nourrie de la sociologie.
➔Prédilection pour les espaces urbains qui se trouvent facteurs d’inégalités sociales.
On s’intéresse alors à la relation dominant/dominé (cf : les travaux de Marx)
Ce sont des espaces urbains nourrit d’inégalités.
Les géographes sociaux se sont emparés des travaux de P.Bourdieu
➔Si l’on dispose d’un capital culturel, on dispose d’un capital spatial et cela influe sur la vie sociale.
Si on donne un sens aux choses, cela nous place du côté dominant.
Il faut savoir d’où l’on vient pour faire une étude.
Les géographes socials se sont engagés à étudier les inégalités entre races aux Etats-Unis dans les années 1940-1950.
➔Les noirs sont forcés d’habiter en périphérie des villes.
➔Les blancs vivent dans les suburbs, une banlieue pavillonnaire.
Ce qui influe sur la vie sociale, c’est le début de la géographie sociale.
Les années 1950-1960 et 1970 se voient développées d’une géographie sociale légèrement radicale.
➔C’est une géographie de discorde.
En URSS, un courant de géographie social s’assoit institutionnellement dans les années 1950. C’est une géographie du prolétariat ➔ (seul le progrès social existe). C’est une géographie qui se veut légitime.
En France, on retrouve à l’université de Caen et Rennes une géographie sociale comparable aux premiers balbutiements de cette discipline.
➔On reprend les travaux des chercheurs américains (L’analyse spatiale)
➔Créer des lois et des règles géographiques.
Courant structuraliste : Première approche d’une terminologie Marxienne.
R. Brumet va assoir les premières autorités de la géographie sociale.
En 1975, les géographes J.Levy et Charles Grataloup se définissent comme Marxiste et créent la revue « Espace temps ».
➔La géographie n’est pas une science naturelle mais une science sociale.
➔Mise en place de courants géographiques.
C’est une plateforme pluridisciplinaire et transdisciplinaire.
Yve Lacost est à l’origine du périodique « Erodote ».
Après de nombreux tourment, la géographie sociale se réconcilie avec la sociologie.
(Bibliographie : G.Dinéo « Géographie sociale du territoire »).
CF : Méta système.
Le courant de géographie culturel :
-Il s’agit de la revue « Géographie et culture » de Paul Claval (professeur à la Sorbonne). Il a compris qu’il fallait prendre connaissance des travaux de géographie d’Amérique ➔ New géography (rupture avec la géographie classique).
➔Largement diffusé dans les universités Françaises.
Le sport et la géographie sociale :
J-P Augustin et Loic Ravenel qui font une géographie du sport et plus largement le foot comme objet géographique avec comme description …
On observe une forme de hiérarchie par l’argent (tous les sports ne sont pas égaux, tous sports n’ont pas la même couverture médiatique..)
En sommes le sport au sens générique est un miroir d’inégalité mais qui vient surtout souligner des strates sociales mais aussi des strates sociaux-culturelles.
Le sport est un élément qui crée des liens socials ; le sport marque une certaine contagion spatiale. Le football, à l’échelle mondiale est le sport le plus diffusé ; avec des phénomènes d’inégalités à l’intérieur des Etats.
➔ Des différences entre villes et campagnes, donc le sport est véritablement un marqueur entre l’urbain et le rural.
Le sport produit du territoire, le sport produit une identité territoriale.
Bien évidemment, d’autres inégalités se retrouvent comme la disproportion des revenues générés par les club de foot néanmoins cela ne signifie pas que les clubs ruraux ne sont que spectateurs des championnats.
En réalité, un club de sport vient marquer le phénomène de domination urbaine.
Tout commence par la retransmission télévisuelle, qui établie une forme de hiérarchie en terme « d’élites sociales ».
➔Ses inégalités se retrouvent dans les arènes/stades avec d’abord le prix des places (la gratuité pour certains), suivit du placement de la population
Certains sociologues ont travaillés sur l’idée que la violence légitime est décline pour comprendre à quel point un ensemble social peut trouver comme expression …fuck
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