L’environnement, un problème économique mondial ?

Sujet : L’environnement, un problème économique mondial ?

Intro :

Un des défis du siècle en cours est la préservation de l’environnement et le changement climatique.  251 pourcent cela représente l’augmentation des couts des catastrophes climatiques qui a explosé par rapport aux 20 dernières années ce qui représente 2.908 milliards de dollars.  

Ce sujet nous fait réfléchir sur les conséquences que la croissance économique peut avoir pour l’environnement et tous ce qui touche aussi au développement durable.

L’environnement désigne l’ensemble des conditions naturelles et culturelles qui peuvent agir sur les organismes vivants et les activités humaines, il désigne aussi le contexte écologique global.

L’économie mondial représente les échanges commerciaux internationaux, les faux de capitaux dans le monde, l’évolution des taux de change et pour finir les politiques monétaires dans chaque pays.

Ce sujet nous fait donc réfléchir sur une question : la croissance économique impact-elle la préservation de l’environnement ?

Dans un premier temps nous allons voir quelle est l’impact de la croissance économique qui représente la une augmentation de la production en longue durée et mesurée par le taux de variation du PIB sur l’environnement. Et ensuite nous verrons comment peut-on concilier croissance économique et préservation de l’environnement

I- L’impact de la croissance sur l’environnement

  I.a Les limites écologique de la croissance

Il y a eu beaucoup d’études au début des années 1970 qui ont montrer que privilégier la croissance économique comme facteur de progrès a la protection de l’environnement nous faisait courir un certain nombre de danger. Le rapport Meadows qui a été publié en 1972 est un rapport qui a été remis au Club de Rome en 1972 qui nous prédit un avenir catastrophique d’ici 2100 si aucun n’effort n’est fait sur la croissance actuelle. Ce rapport nous montre les 5 tendances majeures dans le monde : la première est l’industrialisation qui accélère, une croissance de la population de plus en plus rapide et en hausse, une malnutrition qui est de plus en plus présente dans le monde entier, un épuisement des ressources non renouvelables qui sont le gaz naturel, le pétrole, les minerais, métaux et pierres précieuses, le charbon. Et pour finir un environnement de plus en plus détérioré comme par exemple avec la fonte des glaces en antarctique qui est en train de s’accélérer. Mais ce qui est le plus alarmant c’est qu’aujourd’hui la croissance des 5 tendances ne cesse de continuer. Une des conséquences du modèle productiviste qui est utiliser dans le monde pour le moment est que tous cela peut avoir des conséquences sur la disparition des animaux sauvages. Comme par exemple la pèche de thons en grande quantité tous cela pour répondre à la demande accrue de poisson pourrait faire disparaitre certaines espèces d’animaux mais c’est aussi le cas pour les fourrures, sacs … Il suffit d’une 50 d’année a une espace d’animal pour disparaitre alors qu’il en faut des milliers à une autre pour apparaitre.

Le développement de l’industrialisation entraine aussi des pollutions qui contribue au réchauffement climatique qui sont dus au co2 produit par ces usines. Entre 1990 et 2012 les émissions de co2 augmenter de 51.3 % ce qui est une très forte augmentation. Une augmentation qui est surtout dus aux pays émergents notamment la chine qui elle a enregistrer une hausse de 262.2 %.

   I.b Une croissance difficilement soutenable  

Tous ces mauvais effets de la croissance sur l’environnement ont amené a la notion du développement durable qui a pour définition « Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. » Avec cette définition on voit bien qu’on essaye de faire marcher la croissance et la protection de l’environnement ensemble.

Il est démontré que pour assurer le bien-être d’une population il faut combiner physique, naturel, humains et constitutionnel. Une des conséquences des dommages causés à l’environnement est que cela réduit le capital naturel du au catastrophe. Selon la notion de soutenabilité forte, la perte de capital naturel ne permet pas aux futures générations d’assurer leurs besoins essentiels. La soutenabilité forte est une notion qui donne un statut particulier au capital naturel il est dit que le stock de ce capital doit rester le même ce qui fait que l’on peut remplacer un des 4 capital par un autre.

II- Comment allier croissance et préservation de l’environnement

  II.a Le progrès technique une solution à la préservation de l’environnement

Certains économistes défendent la vision forte de la soutenabilité comme René Passet d’autre eux pensent que l’on peut réussir a garder une croissance stable tous en préservant l’environnement. Ce sont des économistes qui font le plus souvent partis du courant de pensée des néoclassiques eux disent que la croissance dépend de l’alliance des capital physique, naturel, humains et constitutionnel. Si on compense la perte du capital naturel par la technique et par un capital humain plus important alors le niveau du capital dont a besoin pour soutenir la croissance a un niveau toujours élevé est alors suffisant. Grace aux progrès technique il faut essayer de chercher de nouvelles combinaisons qui serait tous aussi productive mais moins consommatrices de ressources non renouvelables. Grace a une hausse des profits les entreprises investissent plus dans le progrès technique pour assurer un meilleur développement durable en freinant la perte du capital naturel. En France en 2011 le pourcentage de brevets qui concernait les progrès techniques dans le domaine écologique du transport était de 31,4%. Grace à cette envie de favorises l’innovation la dépense pour la protection de l’environnement est donc augmenter et a doublé entre 1990 et 2012 alors que le PIB est resté lui le même.