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Apres la mort de dieu quel place pour l'esprit dans la société

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fférentes notions nous verrons si la place de l’esprit dans la société a changé après la mort de dieu. Nous verrons d’abord la mort de dieu selon Nietzsche, puis la place qu’occuper l’esprit dans la société avant cette mort et enfin celle qu’elle occupe dans notre société actuel.

L’idée de la mort de dieu vient en grande partie de Nietzsche, philosophe dont une des principales idées est de penser l’homme par lui-même et non par dieu. La libération de l’homme, selon lui ne pourrais s’accomplir qu’une fois sa séparation de dieu faite, autrement dit une fois que l’homme serrais capable de ce voir à travers lui-même sans se référer à dieu. La mort de dieu ce doit d’être vu non comme une fin mais comme un commencement, celui de la transformation et de l’émancipation de l’homme. Nietzsche pousse les hommes à apprendre à voir la réalité plutôt qu’à croire ce qu’elle pourrait être. Il veut la libération de l’homme à la religion parce qu’il voit qu’elle est vécus douloureusement et que chaque religion conduit à la névrose. Les hommes sont donc la cause de la mort de dieu et le christianisme est la religion de « la sortie de la religion ». La mort de dieu est une notion qui, avec les années c’est vue évoluer dans les esprits. La réflexion nous à emmener à réaliser les sacrifices fait pour l’amour de la religion, ‘pour le bien’. D’abord on sacrifie les hommes, par des jeûnes, l’abstention, les commémorations etc.. , pour la religion, parce que c’est ce qui est bon de faire. Puis nous sacrifions nos instincts et enfin dieu lui-même. L’idée que dieu est mort s’amplifie par l’image de Jésus, mort sur sa croix. Mais, dans un contexte peut-être plus politique, la séparation de l’église et de l’état en 1924 c’est également inscrit dans les causes du recule de place de la religion dans la société. Le nihilisme, thèse née dans le Grèce antique avec Gorgias peut aussi être ajouté à la liste des événements marquant la mort de dieu. Il se résume, au départ en trois points important: rien n’existe, si quelque chose existe il ne saurait être connus ou même appréhender par l’homme, et même si il l’était, son appréhension ne serait pas communicable aux autres. Pour Nietzsche le nihilisme est la négation de l’être, soit un rejet de l’idéalisme. Il posséderait deux formes. Le nihilisme passif, qui lui vient de la doctrine de Schopenhauer, puis le nihilisme actif, quand les croyances sont dépassées et qu’alors elles s’effondrent. La religion, dieu, a donc était éloigner de la vie quotidienne et de l’esprit de la société, avec une diminution du nombre de personnes pratiquante, par diverses causes, qui sont parvenus au fils des années avec comme déclenchement les premières idées d’ Hegel, reprises et approfondis, plus tard par Nietzsche.

Avant l’apparition de l’idée de la mort de dieu, il semblait guider non seulement les individus mais la complète société. Encré dans la vie quotidienne de chacun il occuper la fonction de guide pour certains, de référents pour d’autre, mais dans chaque cas il montrer le chemin à suivre en imposent des règles qui paraissaient comme morale, mais qu’il fallait suivre à la lettre, règles qui reposer sur la bible, longtemps considéré comme une œuvre principale des fondements de la vie. Il s’est imposer comme étant le destin de tous, le maitre de chacun et la cause de chaque choses, bonnes ou mauvaises, qui ce produisez. La vie de certaines personnes était régler sur et par la religion. De ce fait il n’était, semble-t-il pas nécessaire de réfléchir et de développer son propre raisonnement sur la vie mais non plus de ce laissé guider pas ses envies plutôt que par une quelconque divinité. Il a été voué un tel culte à ce dieu, soit disant bon pour l’humanité, que malgré les horreurs qui ont pu être commises dans le monde depuis sa création, peut d’individus ont su remettre en question la bonté de ce dieu, puissant et toujours bon, faisant sans cesse le meilleurs pour chacun. Quoi que le meilleur pour un ne peut-il pas être le pire pour l’autre ? Tel un tyran qui aurait appris à bien parler pour enrôler un peuple dans sa folie, la religion a su trouver et crée ce dont les plus faibles, les plus démunis avaient besoins pour continuer à se battre, comme l’idée d’un soutiens bienfaisant. Mais elle a su faire bien plus encore, elle n’est pas seulement là pour les faibles d’esprits qui peuvent plus facilement être manipulé, elle a également Se faire voir comme un Surhomme, pour les riches et les seigneurs, un être suprême que tous devrait respecter et qui ainsi ferait entré sous son contrôle, chaque homme aussi différents qu’ils puissent être ; avoir le contrôle sur tous, et l’assurance d’une certaine obéissance aux représentants de dieu. La religion a ainsi pu dicter à chacun son rôle, son destin, mais elle a par-dessus tout fait croire à tous que dieu, l’être suprême, était là pour réfléchir à notre place et faire en sorte que le meilleur arrive toujours à tous. Si un tel être, sachant distinguer le bien du mal puis faire régner le bien, exister alors pourquoi, pour quelles raisons, nous, petits hommes nous embêterions-nous à penser par nous-même ? L’esprit, dans le sens capacité à penser, à ce crée une opinion, n’avait alors aucune place ni même lieu d’être dans la société. Si je sais que quelqu’un veille à ce que le meilleur m’arrive toujours, je peux bien faire ce qu’il exige de moi, entrés dans le moule, suivre les autres. Ce qu’a fait la religion de plus impressionnant encore, que d’aliéner ces hommes, c’est d’être parvenus à leur faire croire que tous les malheurs qui peuvent arriver ne sont que par entière de leurs unique destin ou qu’il est arrivé pour apporter quelque chose de mieux à l’humanité. Les crimes les plus atroces sont pardonner puisque dieu les as laissé faire, il se devait qu’ils arrivent, pour le bien de tous. Quelle place donc pour l’esprit dans la société avant la mort de dieu ? Aucune, vivez donc sous la prise de l’Eglise, la si puissante, indestructible et intouchable Eglise.

Si la religion occuper la majeur partie de la vie des hommes, ainsi que leurs unique activité ‘’spirituel’’ avant la mort de dieu, dans la société moderne, nombreux sont les hommes qui ont appris à se défaire du pouvoir religieux. De nos jours, et depuis l’arrivée et l’acceptation de l’idée que dieu est mort, la société

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