Argumentation/dissertation macroéconomie sur le protectionnisme
Discours : Argumentation/dissertation macroéconomie sur le protectionnisme. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Grizzly • 4 Décembre 2022 • Discours • 1 057 Mots (5 Pages) • 355 Vues
-« Libre-Échange. Cause des souffrances du commerce ». Ce sont les mots de l’écrivain de Gustave Flaubert (1821-1880) qui annoncent déjà au 19eme siècle une manière négative de voir le libre-échange et par conséquent une affection pour le Protectionnisme. Notre sujet qui induit de céder au protectionnisme est un réel débat depuis des siècles dont la question se pose encore aujourd’hui dans le contexte post-covid 19.
En effet tous les pays ou presque sont passés par des phases de libre échange et de protectionnisme. La problématique qui nous est posée de savoir s’il faut céder au protectionnisme induit qu’il faut donc se pencher sur les définitions et les applications ET du libre-échange et aussi du protectionnisme. En effet il faut donc trancher entre le protectionnisme et le libre échange qui sont deux idéologies que ne définirions dans nos parties respectives.
Or, cette perte de bien-être diffère selon la taille des pays. Enfin, lorsqu'une économie décide d’instaurer des barrières protectionnistes, la réponse ne se fait pas attendre. Par exemple il y’a le cas du bœuf américain et le fromage français, la France ayant arrêté les importations du bœuf américain des USA, Les USA ont donc augmentés les prix des fromages français.
Les mesures protectionnistes peuvent donc mener à une moindre diversité de produits proposés sur le marché, une suppression d’emplois car les mesures protectionnistes s’accompagnent quasiment toujours des réductions d’exportations. Les réductions des exportations diminuent donc la production de l’entreprise qui peut être forcée de supprimer des emplois et donc d’augmenter le chômage et par conséquent un ralentissement de la croissance économique.
- Dans l’énoncé, il est bien mis en avant que le protectionnisme est une tentation, tout simplement parce que très souvent, il n’est pas mis en place pour les bonnes raisons
Prenons l’exemple des Etats-Unis et du protectionnisme trumpien, dont les mesures ont été mises en place simplement pour contenter les électorats du MidWest vus comme des victimes de la mondialisation. Joe Biden également a maintenu ces mesures protectionnistes pour maintenir cet électorat. On voit alors que le protectionnisme est parfois instrumentalisé de façon politique et que les effets de ces décisions sont souvent pervers.
Ces mesures mettent également en danger les relations trans-atlantiques.
- Et au niveau international, les mesures protectionnistes ont un effet domino et entrainent des représailles de la part des autres nations, ce qui entraîne un cercle vicieux. Si les Etats-Unis décident de taxer les produits européens et chinois, alors il est évident que les autres pays vont réagir en taxant les produits américains, ce qui a d’ailleurs été proposé par le président de la Commissions Européenne Jean-Claude Juncker qui dit que si les américains appliquent cela, l’UE obtient le droit de taxer « le whisky, le bourbon et les Harley Davidson ».
-PARLER DU JAPON ERE D’EDO
PARTIE PROTECTIONNISME
- La crise financière de 2008 et ses effets déprimants sur l’économie réelle ont ravivé l'attrait du protectionnisme. La question se pose donc de savoir dans quelle mesure les appels au protectionnisme sont souhaitables.
Le protectionnisme par définition est une politique commerciale visant à protéger sa production nationale de la concurrence étrangère, par les droits de douane, ou les subventions aux producteurs ¬locaux, ainsi que la baisse du taux de change, ou par des limites, tel que les quotas, ou les normes techniques et ¬sanitaires. Ainsi deux produits, ayant la même fonctionnalité ne se vendent pas au même prix selon s’il est importé, ou bien s’ils proviennent du même pays sur lequel il est vendu.
De plus, il est essentiel de faire la distinction entre le protectionnisme tarifaire, qui comprend toutes les taxes payées par les importateurs, et le protectionnisme non tarifaire, qui comprend les quotas qui fixent des plafonds sur les importations, des normes techniques pour la fabrication des produits importés et des subventions aux entreprises du pays.
-Même les banques chinoises
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