Résumé Les Âmes grises
Note de Recherches : Résumé Les Âmes grises. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresy loger des ingénieurs. Le silence de Destinat. Année 1898-1899. Remise en service de la maison du parc par l’usine. Succession de locataires. Rythme immuable de la vie de Destinat. Se rend chaque semaine au cimetière sur la tombe de sa femme. Relation silence/Destinat/crime. Le juge Destinat : une machine à juger. Succession de rétrécis. Impitoyable. Affrontement Destinat / Mierck. Opposition et ressemblance. Rumeurs de la guerre. Portrait de Clélis. Intervention du narrateur : aurait-il dû poser LA question à Destinat ?
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1914. Veille du grand massacre. Fin des locataires. Allusion à l’esprit de Revanche (« les pères poussaient les fils », Déroulède. Bruit de guerre dans la petite ville. Départ des soldats. Départ de l’instituteur (Fracasse). Le Contre : remplace en classe. Folie de la guerre. La classe métaphore du champ de bataille, tout comme le logement du Contre. Nationalisme du drapeau. métaphore du pacifisme, attentat de Jaurès. 13 décembre 1914 : arrivée de Lysia Verhareine, institutrice pour remplacer le Contre un soleil. une fleur beauté sourire. Lysia incarne tout l’inverse de la guerre. Logement ravagé de l’instituteur apocalypse. Destruction des livres, merde. Géographie bouleversée métaphore de la guerre de Verdun. Odeur atroce. Noirceur humaine. Calligramme du fou réf. à Apollinaire ? Mais la merde, c’est encore la vie. Demande du maire à Destinat pour faire loger Lysia dans la petite maison du parc. Métaphore du carrelage en forme de damier. Procureur fétichiste de la propreté des chaussures (boue humide et « vivante » sur souliers Lysia). Propreté s’oppose à souillure, à merde, à vie. Trouble de Destinat à la vue de Lysia. Il accepte de la loger. Bruit de la guerre incessant. La petite maison du parc devient un paradis. Petit carnet de maroquin rouge. Lysia sème le bonheur et la joie autour d’elle. L’Amour. Barbe des années plus tard, parle de Destinat. (changement de narrateur) Un chapitre dialogué. « Tout le monde était mort… » Destinat mort en 21. Description de Destinat par le changement opéré par Lysia racontée par Barbe. Lysia apporte le déréglement. Destinat redevient humain (jugement narrateur/policier). Repas Destinat/Lysia. Regards, pas de paroles. Barbe remet la clé du château au narrateur. Ellipse (de 6 mois) Mort de Barbe. Le narrateur va sur la tombe de Clémence. Cela le décide de se rendre au château. (allusion à la belle au bois dormant). Le narrateur reparle de Lysia Verhareine. Printemps 1915, dimanche. Promenade en haut du coteau. Rencontre avec le narrateur (la carabine cédée par Gachentard, gravé « tu ne sentiras rien » « tu…rien »). Le narrateur parle de son écriture dans des cahiers pour se parler à lui-même. Introspection littéraire. Rencontre narrateur / Lysia sur le coteau. La guerre derrière le coteau. Lysia de nouveau associée aux fleurs. Regarde la guerre avec un sourire. Ecrit dans le petit carnet de ère maroquin rouge. Visage de morte quand elle regarde le narrateur (1 allusion Lysia/mort). Honte du narrateur. La guerre dure. Fête du 1 anniversaire (4 août 1915). Chansons des poilus. Métaphore vie des poilus ? Mort de Lysia. Narrateur appelé par le fils Marivelle. Lysia sur son lit, morte. Rappel fétichiste des chaussures. Boue séchée, transformée en poussière. Sillon sur la gorge : morte par pendaison. Métaphore du contrepoids : globe terrestre (= guerre mondiale). Bouquets de fleurs un peu partout dans la petite maison. Destinat hagard. Hippolyte Lucy : un brave docteur. Constate le décès. Ne réclamait jamais ses honoraires. Mort de misère (faim) en 1927. Opposition Lucy / Desharet.
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Mort de Lysia mort de la petite ville. Le narrateur regrette de ne pas avoir posé des questions à Destinat. Mort de Lysia qualifié de suicide par le narrateur. Le narrateur se rappelle comme Destinat lui a raconté comment il y avait découvert le corps. Le facteur informe qu’il remettait toutes les lettres à Destinat, qui se chargeait de répartir le courrier aux différents habitants du château, dont Lysia. Visite à L’instruction publique : Lysia s’est portée volontaire pour venir dans la petite ville. (secrétaire de l’Inspecteur. Mazerulles). Inspecteur antipathique (répète « bien » comme Mierck). Le narrateur n’a pas envie de raconter l’enterrement de Lysia. Grand changement de Destinat. Plus de cœur pour son métier. Il fait fermer la petite maison du parc. Plus de maître d’école jusqu’à la fin de la guerre. Destinat a payé le cercueil et le monument. Destinat a la retraite quelques mois plus tard. « Ensuite il entre dans le silence. » Matin de 1917 (1 décembre) au moment de la découverte du corps de Belle de jour. reprise du récit du chapitre 2. Narrateur compare sa vie en morceaux à l’embrouille de son récit. « essayer de comprendre les hommes » la motivation du narrateur. Mierck, toujours avec son jaune d’œuf. Porte qui donne sur le jardin du château ouverte. Herbe foulée. Mierck toujours aussi antipathique. Levée du corps. Narrateur pense à Clémence. On apprend qu’elle est enceinte. « assassin sans visage » guerre + assassin de Belle de jour. Colonel Matziev ; son portrait. Représentant de la guerre. Hôtel de Bassepin ; prospérité économique grâce à la guerre. « le commerce fait homme. » Bassepin : métaphore du capitaliste. Mort en 31 (« étouffé par sa richesse ») Matziev loge chez Bassepin. La chanson obsédante de Matziev (phonographe). Maziev, une sorte de dandy pervers. Parallélisme œufs/chanson. Parallélisme Matziev/Mierck. Côté gris de Matziev : il y a été dreyfusard 23 ans avant l’affaire (donc en 1894). Le narrateur apprend cela en fouillant dans les affaires de son père décédé. On apprend la mort du père du narrateur en 1926. la mère est morte aussi, il y a bien longtemps. La maison familiale est une tombe. Le narrateur parle de son enfance, de sa famille, de son père. Retour 1 jour après mort de Belle de jour. Le narrateur retourne sur le lieu du crime, au bord du canal. Rencontre Josephine Maulpas. Dialogue narrateur/Josephine : Josephine dit que le narrateur a du remords ? Pourquoi ? À quelle date se passe le dialogue ? confusion temporelle. Dialogue ambigu. On apprend que Mierck est mort en 1931. On apprend que le narrateur est policier (p.131). Rencontre avec Josephine, 3 jours après la mort de Belle de jour (soit le 4 décembre 1917). Métalepse. Dialogue avec narrateur après la mort de Clémence. Joséphine : « t’es une âme grise. » Retour au dialogue 3 jours après la mort de Belle de Jour. Joséphine confie au narrateur que la veille du meurtre de Belle de Jour (à 6 h), elle à vu Belle de Jour en discussion avec Destinat sur le lieu du crime. Invalides de la guerre ; bruits de la guerre (on entend). Tabou sur la guerre, puis habituation (temps + nombre). Distinction soldats / civils fortes (il y avait comme 2 villes, 2 mondes) le sexe universel (prostituée Blanchard). Comparaison Belle de jour / fleur. La neige qui se transforme en boue.
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Départ pour V., pour aller témoigner auprès de Mierck. Dernier mots de Clémence. 15 À V. dans le bureau de Mierck. Allusion à la route (voie royale). Mierck et Matziev. Matziev, le double de Mierck. ème Animosité Mierck/narrateur. Interrogatoire de Joséphine. Parle à Joséphine à la 3 personne en sa présence. Tue par les mots. C’est le narrateur qui parle à la place de Joséphine. Interrogatoire serré de Joséphine par Mierck et Matziev. Haleine fétide (bouffe) de Mierck. Mierk interdit au narrateur d’aller importuner le procureur. Ellipse, retour à une discussion bien postérieure avec Joséphine. Puis juste après cette discussion analepse sur la vie de la famille Bourrache (déjà une fleur, vertus dormitive de cette fleur) métaphore de l’oubli ? Crime commis le dimanche soir. « les bonnes gens partent vite, seuls les salauds ont la vue dure ». Analepse, retour au moment de la déposition chez le juge Mierck. Description de V. Va voir Le restaurant Le rebellion et Bourrache. Remémoration douloureuse de belle de Jour par le narrateur. Bourrache : tentative de meurtre du narrateur (serre le cou). Début de la mort de Clémence dans l’autre ville. La pluie (eau) sur V. Route réquisitionnée pour les convois militaires (Voie royale). Il dort à l’évêché de V avec le père Lurant. Le narrateur ne peut pas téléphoner à Clémence (ligne téléphonique réquisitionnée). La passion de Lurant : les fleurs. Science des mots comme Destinat. Mierck, mais Lurant en fait de belles choses. Remémoration douloureuse de Belle de Jour par le narrateur. Narrateur à voulu faire fleurir pendant des années des belles-de-jour dans son jardin sans y parvenir. Métaphore du début de la bataille de Verdun / mort de Clémence
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