Synthèse Le Rire Est-Il Le Propre De l'Homme

cela, le rire est avant tout un phénomène physiologiques et collectif ce qui sera démontré dans la seconde partie.

Deuxièmement, le rire est provoqué par plusieurs faits. Henri BERGSON dans son essai Le rire : essai sur ''la signification du comique'' paru en 1900 pense que l’on rit de l’homme et de ce qu’il fait ou des ressemblances que l’on peut retrouver avec les expressions humaines et appuis aussi que le rire est un phénomène de groupe en montrant qu'une personne écoutant simplement d'autre personne en discussion se racontant des histoires drôles et riant de bon coeur, l'autre personne seul ne rira pas forcément, le rire est donc un phénomène de groupe avec une importance proportionnelle à la taille du groupe et reflète une certaine entente entre les membres de ce groupe. De même, Charles BAUDELAIRE dans ''De l’essence du rire'' au Salon de 1846, nous explique que le rire est provoqué par l’homme qui rit par sa perception de ce qui se passe plutôt que par l’objet du rire lui-même. Pour Charles BAUDELAIRE, le rire est aussi provoqué par le sentiment de supériorité de l’homme. Ensuite, pour Jim HOLT, on peut rire à cause de chatouille, de la gène, de l'exultation de la revanche.Charles BAUDELAIRE appui que l'homme est un animal qui sait rire et qui sait rire de lui même et de autruis, les animaux les plus comiques sont les plus sérieux, l'Homme peut donc être l'objet du rire.

Mais le rire n'a pas que de bon côté, le rire peut être aussi satanique et liés à la moquerie et peut donc exclure l'homme de lui même, ou d'un groupe ce qui est appuyé dans le texte de Charles BAUDELAIRE qui montre que les caricatures de l'homme le font rire lui même. Il est aussi démontré que les livre sacrés ne rient jamais et pour eux le rire est signe de moquerie et appartient à satan, et clotûre cela avec la phrases '' Les nations se mettent à rire diaboliquement du rire de Melmoth'' Melmoth étant un personnage romanesque du XIXème siècles auquel satan à donné d'immenses pouvoirs, ce qui montre le côté maléfiques et diabolique du rire.

Pour conclure, Ce corpus montre donc que si le rire est proprement humain, c'est qu'il combine deux dimensions : une corporelle et l'autre mental, Il existe des formes de rire sans reflexion, voire un rire proche du reflexe corporel mais il est rare et plus intense que le rire social et partagé, mais que le rire malgré son premier plan plutôt bénéfique pour l'homme peut aussi parraitre comme un phénomène maléfiques et naifaste pour l'homme.