06Soso06
Mémoire : 06Soso06. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresogène. Le taux d’hormone étant trop élevé à long terme, cela entraine des répercussions sur le cancer du sein. Aux Etats-Unis, après l'accouchement les femmes ont le choix d'allaiter, ou pas. Il a été prouvé que le fait d'allaiter diminuait le risque du cancer du sein, le taux d'allaitement n'est que de 74% contre 93% en au Brésil. Il est donc fortement conseillé aux femmes d'allaiter au maximum pour réduire les risques.
Toute fois, les américains ont en majorité accès à différent mode d'information notamment internet. Cela leurs permettent donc de se renseigner et d'essayer de limiter au maximum les risques prévisibles.
Ils ont aussi accès aux soins dans de bonne condition.
b) Pays en voie de développement
La chine connait depuis quelques années un essor économique impressionnant. Le taux de croissance très élevé, l’intégration rapide dans le commerce international ainsi que l’influence du pays qui s’accentuent dans l’économie mondiale sont les facteurs du ce développement. Cette puissance économique qui se construit années après années engendre un déséquilibre au sein du pays de plus en plus important. Les inégalités se creusent entre les zones urbaines et rurales. Cela se répercute à différents niveaux à savoir, le revenu, l’éducation et la santé.
Selon des études, la Chine connaitrait une accroissement du nombre de cancer du sein dû à un régime alimentaire malsain, une dégradations de l’environnement ainsi qu’une augmentation de stress au travail.
Auparavant, le cancer du sein était moins présent dans les pays asiatiques que dans les pays occidentaux, comme les Etats-Unis ou l’Europe, dû à une alimentation plus équilibré et à un meilleur environnement.
Les femmes asiatiques avaient un régime alimentaire très sein et plusieurs ingrédients indispensable. Le thé est la boisson quotidienne mais aussi un rite très important pour la population chinoise. Le riz est la céréale la plus utilisée pour l’alimentation. Cela permet à l’ensemble de la population de se nourrirent.
La Chine tolèrent certaines viandes que les occidentaux ne tolèrent pas comme certains animaux domestiques.
Aujourd’hui, une partie de la population chinoise a une consommation alimentaire différente. Ils consomment moins de céréales et légumes et plus de matières grasse et de la nourriture industrielle.
De plus, la pollution industrielle (source d’énergies) et domestique (ordure ménagères, parc automobiles, etc.) entrainent une dégradations de l’environnement chinois.
Enfin, les conditions de travaillent en Chine font polémique. En effet, les chinois n’ont pas le même régime de travail que les occidentaux et certains secteurs auraient eu des problèmes éthiques en matière de droit du travail international.
Tous ces facteurs sont les raisons de l’augmentation du nombre de cancers du sein en Chine.
A Pékin, environ 45 femmes sur 100 000 sont actuellement atteintes du cancer du sein, soit 23% de plus qu'en 1997.
A Shanghai, ce nombre est de 55 pour 100 000, en hausse de 31% durant la dernière décennie.
Des chercheurs ont constaté que seulement 10% sont dus à l’hérédité. De plus la communication autour de cette maladie n'est pas assez répandu pour encourager les femmes a effectué un dépistage.
Selon un professeur, les femmes devraient arrêter de fumer et de boire de l'alcool, cesser d'utiliser des produits cosmétiques qui contiennent des œstrogènes, faire plus d'exercice, se coucher plus tôt et supprimer les aliments gras.
Pays les moins avancé
c) Pays peu développé
La Guinée compte en 2010 plus de 10 millions d’habitants sur un territoire d’un peu moins de 300 000m2. C’est un pays majoritairement musulman. Le reste de la population est principalement chrétien. C’est une république populaire et révolutionnaire. Ses habitants sont très axés sur la famille et leur ethnie. En Guinée, le cancer du sein est placé juste après le cancer du col de l’utérus alors qu’aux Etats-Unis, la situation est inversée. Une estimation par an des décès causés par cancer du sein a été effectuée. En effet, 999 femmes meurent du cancer du sein chaque année. Sur 1000 femmes, 16 en seraient atteintes et 9 en mourraient.
L’alimentation de guinéens n’est pas la même que celle des américains. Le repas principal consiste en un plat de riz accompagné d'une sauce à base de tomates, d'huile de palme, de beurre d'arachide ou de feuilles concassées. Cette sauce peut être servie avec des viandes, des poissons et des légumes comme le manioc, les patates douces ou les courgettes. Le mil est la céréale la plus répandue dans la région sahélienne proche du Mali. Les Malinkés mangent le too, une préparation à base de manioc ou de poudre de riz. Selon la saison, les guinéens consomment des avocats, des arachides, des mangues, des papayes, des bananes, des oranges, des ananas et parfois des pastèques. Les musulmans ne boivent pas d'alcool et ne mangent pas de porc. Malgré un apport en fruit et en légume, leurs plats sont souvent très gras. On constate un grand écart entre les malnutrition du a l’excès de graisse et gens atteint de sous-nutrition. Les hommes fessant majoritairement du sport ou un travail physique ne souffrent pas de surpoids alors que les femmes sont encore, dans ce pays, des mères au foyer qui se chargent des enfants et de la nourriture pour toute la famille. Il utilise la cuisine a feu de bois ce qui influx sur le cancer du sein. L’alcool n’est pas un facteur a risque puisque c’est un pays majoritairement musulman donc ils n'en consomment pas. C’est un pays encore peu développé ou les richesses sont très inégales. Ce pays n’a pas connu de révolution industrielle est sont développement économique est lent. Il manque cruellement de matériel, pour aider au dépistage du cancer du sein, le pays ne dispose que de 3 appareils de mammographie dont seulement 2 fonctionne et ne possède même pas de matériel pour effectuer la radiothérapie sur l’ensemble du territoire. Cependant chaque ethnie à son guérisseur et les habitants préfère y rester fidèle plutôt qu’aller a l’hôpital. Quand bien même certains souhaiteraient aller à l’hôpital, les soins y sont insuffisant et très onéreux. Les risques lier aux traitements hormonaux sont moindre puisque très peu de femmes prennent la pilule et/ou de traitement
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