Dans la solitude deschamps de coton

eviendrais une vision pessimiste des rapports humaines.

Le vendeur est sencé avoir ce que l’acheteur désire, mais lui aussi désire: il veut vendre, donc que l’autre achète. Il n’y a aucune inégalité entre l’offreur et demandeur mais une complémentarité. Ils sont comme un «couple». Cependant le vendeur a une supériorité sur le vendeur car il peut refuser ce qu’on lui propose. ( page 47 : «...je ne veux pas endurer de refus, qui est la chose au monde que tout commerçant redoute le plus...» )

Le texte est fait de métaphore et d’accumulation d’image. Ainsi, la transaction commerciales est la métaphore du conflit entre les deux hommes. Il n’y a pas de marchandise seulement devant les yeux de l’acheteur, la forme du vendeuse qui fait qu’il se sait acheteur, et pareil pour le vendeur. La marchandise témoignerait de la réalité de la rencontre des deux partenaires. L’un en vendrait, mais il refuse de dévoiler, l’autre est pris d’un désir secret qu’il refuse de nommer.