Hypersexualité

e au niveau créativité, quitte à provoquer et choquer le jeune public. Ils en profitent car ils n’ont tout simplement rien à craindre, alors, qu’est ce qui est le mieux au niveau marketing ? Provoquer et qu’on parle de la marque ou être discret et oublié ?

Le contrôle éthique belge les pousses à produire des publicités sexuelles.

HYPERSEXUALISATION CHEZ LES JEUNES :

Plusieurs facteurs interviennent dans l’hypersexualisation de certain jeunes :

- L’âge de la puberté : les habitudes alimentaires ont avancé de 2 à 3 ans l’âge de la puberté, et, par conséquent, les changements physiologiques, morphologiques,…

- La psychologie

- les médias : l’omniprésence du sexe dans les médias

- La publicité : le quotidien est sans cesse bombardé de publicités mettant en scène le corps,…

- L’argent

- Les idoles : Tel que Lady Gaga ( et temps d’autres).

=> L’objectif est clair : utiliser le sexe pour faire vendre.

Exemple très simple la nouvelle vidéo « mon minou tout doux » de Veet, marque convoité par de nombreuses jeunes filles victimes de leur nouveau corps.

Mais ce n’est pas tout, Veet avait visé plus loin en créant un ‘ test’ interactif qui permettait aux jeunes filles de choisir un minou à épiler et de faire inspecter le résultat par un chat mâle.

/!\ On les retrouve partout, les caractères sexuel, que ce soit sur les affiches publicitaires, dans les clips vidéo, dans les programme tv,…

Représentant toujours la femme comme étant ; belle, mince, douce, gentille,..

Et l’homme comme étant ; fort, remplis de compétitivité, qui domine,…

Ces deux modèles proposés sont la « salope » et « l’étalon » et sont présents dans toutes les expressions de l’hypersexualisation.

Conclusion :

L’hypersexualisation a un impact réel sur les jeunes, filles ou garçon, sui est, selon les cas, plus ou moins alarmant.

- L’hypersexualisation conduit les jeunes à adopter les comportements propagés par les annonces publicitaires et les médias.

- L’hypersexualisation dégrade l’estime de soi : Nous remarquons que l’estime de soi chez les jeunes est inversement proportionnelle à la consommation télévisuelle et que les gros consommateurs estiment que dans la vie, il est plus facile d’être un garçon.

-L’hypersexualisation peut entrainer des dépressions, des troubles scolaires et alimentaires : Plus de 300 études souligne les conséquences négatives, particulièrement pour les filles, de la réduction d’une personne à son sex-appeal. Cela peut conduire à des dépressions, troubles de l’alimentation et à de mauvais résultats scolaires.