La Vérité

e peut déclarer sa pensée à l’aide de la parole, une parole qui doit être raisonné. On dit que cette parole est raisonnée car elle est donnée suite à une réflexion propre à soi même.

La deuxième idée est qu’ « elles fissent plusieurs choses aussi bien ou peut-être mieux que nous » mais elles ont tout de même des défauts. La machine n’agit pas à l’aide de connaissance, elle possède des «disposition pour chaque action particulière ». On en déduit qu’elle réagit suite à sa programmation avec les éléments ou membres dont elle dispose. Tous ceci est le plus souvent crée par l’homme. Elle est disposée de réagir de tel sorte que l’on demande à une imprimante d’imprimé pour cela elle doit être muni d’encres, d’un jet d’encre de papier…L’homme l’a muni d’outil afin qu’elle puisse réalisé sa tache le mieux possible.

On peut dire alors que la machine n’a pas de raison du fait qu’elle ne possède pas de faculté propre a l’esprit humain dont la mise en œuvre lui permet de fixer les critères du vrai et de l’erreur tout en distinguant le bien et le mal. L’homme peut mettre en œuvre des projets contrairement à la machine.

Comme nous avons pu le constater que l’on peut distinguer jusqu'à maintenant machinalement l’homme de la bête tel que l’on peut distinguer l’homme d’une machine.

Par la suite il fait une distinction entre l’homme et la bête en nous introduisant « la différence qui est entre les hommes et les bêtes ».Cette distinction se fera à l’aide de différents procédées tel qu’en évoquant la pensée, la composition d’un discours, ce qui nécessite la présence d’organe spécifique. Pour illustrer sa distinction il prend les pieds et les perroquets comme exemple en précisant que certes ils peuvent énoncer des paroles mais les constituent point. Il le clarifie 6 lignes plus tard en disant « les bêtes ont moins de raison que les hommes, mais qu’elles n’en ont point du tout : ». Cela nous incite clairement a pensée que la bête n’a pas le pouvoir de formuler quelque chose de soi même. Tous ceci est pour pouvoir montrer l’inégalité entre les animaux.

Dans un troisième temps il cherchera a clarifié la différence entre les paroles et les mouvements naturels. Certes les bêtes font des mouvement mais qui pour la plupart non pas de signification. Il rentre a nouveau dans la comparaison entre animaux et machine en mettant en évidence que « les bêtes parlent, bien que nous n’entendions pas leur langage ». Il réfute alors lui-même sa thèse du fait qu’auparavant il disait « on voit que les pieds et les perroquets ne peuvent proféré des paroles ainsi que nous, et toutefois ne peuvent parler ainsi que nous, ». On voit alors un changement qui a été fait, un changement qui est du au changement de ses idées suite à la réflexion.

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II- Discussion :

Tout au long de ce texte on cherche a différencié l’homme et la bête. Pour exercer cette comparaison on les compare à la machine. Si l’on prend pour exemple la parole « « cela sert a exprimer sa pensée. L’homme peut aussi le faire par l’écriture . On sait que l’animal ne pense pas mais au contraire agit selon son intuition avec ce qu’il dispose. Il ne réfléchit pas à prendre des objets de son environnement extérieur pour réaliser sa tache contrairement à l’homme. On peut alors en déduire qu’il ne possède pas d’esprit ce qui est une faculté intellectuel.

On arrive à reproduire aisément à l’aide de la technique. Mais la technique a elle même ses limites tel qu’avec le clonages ou l’on trouverait un effet dangereux et illégitime.

De même la machine ne peut réfléchir d’elle même pour aboutir a une réponse qu’elle va constituer. La machine est munit d’organe destinée à réalisé dess taches parfaite à la différence de l’homme sui lui est munit d’organe mais pa seulment pour réaliser une ou des taches précise. Les réponses de la seront déjà toutes préparé ce qui fait des réponses dites de non raisonnée.

Peut-on en déduire que le langage suffit pour déterminer l’homme ?

Au sein de ce texte Descartes cherche a crée une discussion du fait qu’il cherche à distinguer l’homme de ma bête. Cette discussion est amener a nous faire réfléchir sur la possession de la parole pour l’homme et non pour l’animal. Au jour d’aujourd’hui on peut considéré la bête est comme une machine qui possède des organes. Certes comme on peut le constater le avec le perroquet qui dispose d’organe pour parler mais a qui l’on peut faire répéter tous et n’importe quoi . Par ailleurs il ne possède pas ce sens de réflexion du fait qu’il ne réfléchit pas au propos qu’il répète. Descartes le signifie en disant « les perroquets peuvent proférer des paroles ». En introduisant l’exemple du perroquet l’auteur cherche à crée ici une distinction entre la bête et l’homme.

Des sorte à émettre une discussion il introduit des conditions a ses arguments en employant différents connecteurs tel que « or » ; « et » ; « car » ; « c’est aussi ». Ceci nous pousse a réfléchir davantage sur le message et la thèse que veut nous faire passer l’auteur.

Sur le domaine des connaissance de l’homme, si l’on prend l’exemple d’Internet on remarque inévitablement qu’Internet est beaucoup plus instruit que l’homme car c’est un domaine qui regroupe une infinité d’éléments de réponse. Mais dans tous ces éléments n’y a t’il pas une part d’erreur ?

Bien sur que si du fait que chaque homme peut mettre tous et n’importe quoi sur internet. Donc cet outil machine ne possède pas de raison du fait qu’elle ne peut pas faire le tri d’elle même. La machine se distingue de l’animal par l’apparence physique et les organes qu’elles possèdent.

On se pose alors des questions